Un été sans maman

Le graphisme de cet album est plutôt mignon. J'ai été gênée plus par l'absence de dialogues. J'ai l'impression de ne  pas avoir tout compris. L'aspect fantastique ne m'a pas parlé du tout. 

Une fillette est déposée par sa mère en vacances chez un couple d'amis. Elle passe ses journées à des jeux d'enfants au bord de la mer, ponctués par l'apparition d'étranges créatures.
Le récit est quasiment sans paroles, tout comme l'était "Un océan d'amour". Mais cette fois Gregory Panaccionne signe cet album seul et ... n'est pas Wilfrid Lupano qui veut. J'ai trouvé le scénario de "Un été sans maman" assez confus et pas très prenant, sauf à se laisser porter par la langueur de l'été et la rêverie teintée de fantastique à laquelle semblent inviter ces étranges bestioles, fantômes d'enfants morts noyés sur une île au large de la côte italienne.
Je suis passée à côté de cet album d'un illustrateur dont j'avais pourtant hâte de découvrir d'autres titres.

(LX971) Pas trop convaincu par cet album. J'aime bien le graphisme et l'absence de dialogues (encore qu'elle n'est que de façade et c'est dommage à mon sens). Par contre, l'univers fantasmagorique m'a semblé trop fumeux ; l'album a d'ailleurs du mal à garder le cap entre onirisme et récit initiatique. Dommage car les ingrédients étaient prometteurs. Non pour le prix
(SC971) Je sors un peu perdue de la lecture de cet album, et pas très convaincue non plus. En fait je n'ai pas compris grand-chose. Non pour le Prix

La jeune Lucie passe les vacances d'été en Italie mais sans sa mère. Elle est déposée chez un couple d'amis qui ne parlent pas français. La petite fille va devoir libérer son imagination pour s'occuper mais une fois que cette dernière s'emballe, elle va faire face à l'histoire de Roberto.

Une BD plutôt mignonne, en tout cas au début. Elle fini plus profonde que ce à quoi je m'attendais.
Je ne veux pas en dire plus si ce n'est que cette BD s'attache à une histoire vraie plutôt touchante.

Cette bande dessinée, en noir et blanc, nous raconte l'été de Lucie, qui passe un moment chez des amis de sa maman, des italiens qui ne parlent pas le français.
La barrière de la langue, le manque de parole, les planches de dessins nous permettent de comprendre l'histoire.
Lucie, dubitative au début de ses vacances, rencontre des êtres extraordinaires, qui vont l'amener vers une grande aventure.
Très bon moment de lecture.

Une bande dessiné sans paroles en noir et blanc qui nous plonge dans un univers qui vacille entre réalité et monde imaginaire.
Un dessin très expressif et détaillé qui nous fait ressentir les émotions fortes que vit la petite fille. Dommage, les scènes d'imaginaires et de personnages étranges m'ont laissé pantoise et dubitative.