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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Un vrai coup de coeur en lisant cette B.D, mettant à l'honneur six artistes, pas tout à fait comme les autres ; autodidactes, aucune formation artistique, des origines et des métiers très modestes… Des « quasi-invisibles »… des « exclus » de la société !

La découverte, hormis le Facteur Cheval, de cinq personnalités originales, artistes méconnus !...

Augustin Lesage (1876-1954), Madge Gill (1882-1961) Aloïse Corbaz (1886-1964), [ le facteur Cheval (1836-1924)], Marjan Gruzewski (1898-?) et Judith Scott (1943-2005),

Passionnée depuis fort longtemps par l'art brut… je remercie jamik qui m' a fait connaître cet album, pour enrichir ma sélection bibliographique sur « Les Outsiders de l'Art… « ...
J'ai eu le grand plaisir de découvrir que ma médiathèque le possédait, je l'ai réservé aussitôt , afin de le lire.

Introduction de Michel Thévoz, fondateur et conservateur honoraire de la collection de l'Art Brut à Lausanne, qui restitue la place complexe de l'Art Brut, trop vite catalogué « Art des Fous » !!!....

Six reconstitutions des vies de ces créateurs hors normes…accompagnées d'illustrations très vives, contrastées, de facture très éclectique…

Augustin Lesage , fils et petit-fils de mineur… sans formation artistique, entend un jour des voix lui apprenant qu'il va devenir un « artiste »… Son ami, Ambroise, l'invite un soir avec d'autres amis pour l'initier au spiritisme. « Une activité secrète très appréciée dans les milieux ouvriers du Nord « [p. 15 ]. On découvre très rapidement qu'Augustin est un medium hors pair… parallèlement, il se met à peindre , dans des sortes de transe !...

Augustin Lesage est mort à 78 ans… Il avait peint environ 800 toiles.

Madge Gill. (1882-1961), née dans un quartier très pauvre de Londres, en 1882…Elle se passionna pour le dessin, qui transfigura son existence…

Judith Scott (1943-2005), sourde et muette, avec des difficultés à comprendre son environnement. Une soeur, jumelle, qui, elle, va très bien. Judith sera mise dans une institution d'enfants attardés ; sa soeur, Joyce, dès qu'elle le pourra, se battra pour la retrouver et la prendre avec elle, deviendra sa tutrice. Elle la mettra en journée dans un endroit, avec des ateliers créatifs. Pendant deux années, il ne passa rien jusqu'à ce qu'une animatrice vienne faire un atelier d'art textile…Et un déclic se fera !

Aloïse (1886-1964)rêvait d'être cantatrice ; elle fut envoyée en Allemagne pour y travailler. Elle arrive à Postdam, à la cour de l'Empereur de Guillaume II. Elle y a trouvé une place de gouvernante auprès des enfants des filles du « chapelain » .Elle revint…et « durant des années, jusque vers 1940, Aloïse avait dépassé la cinquantaine, ses dessins finissaient invariablement à la corbeille ». Une étudiante, devenue docteur, rencontra Aloïse et lui rendit visite jusqu'à la fin, apporta ses dessins à Dubuffet, qui se mit à les collectionner. Il les exposa à Paris, mais le succès fut des plus mitigés !

Le texte est de qualité comme le dessin , très beau, très contrasté, avec des scènes du quotidien de chaque artiste, très vivantes et éloquentes… Une alternance de dessins par vignettes et bulles comme dans une BD classique et des dessins libres à pleine page… comme des envols !

Bravo aussi à la couverture, particulièrement réussie, pleine de couleurs, de poésie,de fantaisie, avec un dessin des plus évocateurs : des personnes attachées à un fil, évoluent dans le ciel, survolant très haut dans le ciel, la ville…au-delà du monde matériel , de la réalité commune !

Un album fort réussi, qui possède, outre la qualité de nous faire découvrir des artistes oubliés ou fort méconnus, une grande sensibilité qui nous fait toucher du doigt la difficulté de saisir ce que représente la Folie ou la normalité… ? Une part non négligeable est consacré au spiritisme, aux phénomènes paranormaux… dans lequels , au moins, deux de ses artistes sont largement immergés !

Je renouvelle mes remerciements à l'ami jamik… d'avoir attiré mon attention sur cette BD… passionnante ! Pris dans l'enthousiasme de cette lecture, j'ai aussi emprunté « La Lionne », une BD des mêmes auteure et dessinatrice, sur le parcours de la baronne karen Blixen…




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Le facteur Cheval (1836-1924), Augustin Lesage (1876-1954), Madge Gill (1882-1961) Aloïse Corbaz (1886-1964), Marjan Gruzewski (1898-?) et Judith Scott (1943-2005), sont des artistes de l'Art brut. L'Art Brut, c'est l'art des fous, des simples, c'est un art introverti, un art qui n'a que faire des modes et du marché, un art totalement affranchi des règles de la société. Plusieurs de ces artistes ont d'ailleurs été internés, d'où le titre de l'album. Je m'intéresse depuis longtemps à l'Art Brut, découvert par l'intermédiaire de l'oeuvre picturale et les écrits de Jean Dubuffet. Et cette bande dessinée rend un très bel hommage à ces artistes. C'est très difficile de parler d'eux sans tomber dans le pathos sur la folie, ou l'explication psychologique ou de la critique d'art, Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Risbjerg évitent ces écueils*. Ce qui caractérise ces artistes, c'est leur évasion au monde réel, leur fuite volontaire ou non de la réalité, analyser ne servirait à rien, ils ne créent pas pour nous, pour un public, et ça c'est bien montré dans l'histoire, mais au contraire pour nous échapper, pour échapper aux gens “normaux”. On voit bien que leurs méthodes diffèrent, certains sont très mystiques, ou adeptes du surnaturels, mais ce n'est pas une règle. de toutes façons, on n'enferme pas l'Art Brut dans des cases.

Le graphisme est en adéquation avec les créations de ces artistes, déstructuré, brut, dynamique, un peu fou, émancipé des carcans de la bande dessinée classique, certaines planches sont de véritables merveilles. Terkel Risbjerg a su y mettre leurs forces, leurs convictions et leurs errances dans ses illustrations.

On pourrait suivre six biographies à la suite, mais les auteurs, par la mise en scène judicieuse les ont liées entre elles, leur ont donné une unité de traitement avec en toile de fond cette défiance du monde réel, Ils nous raconte un surréalisme qui n'a pas besoin de manifeste, des images qui n'ont pas besoin de mots, l'Art Brut quoi… On peut déjà considérer cette bande dessinée comme une référence sur le sujet.

* Là dessus, je suis bien moins convaincu par la préface de Michel Thévoz.

à la manière de ninonairose, un texte qui a trottiné dans ma tête pendant cette lecture :

Vous êtes extrêmement prévenant de penser à moi ici
Et je vous suis très obligé de montrer clairement
Que je ne suis pas ici.
Et je ne savais pas que la lune pût être si grosse
Et je ne savais pas que la lune pût être si triste
Et je vous suis très reconnaissant d'avoir balancé mes vieilles godasses
Et de m'avoir, en échange, amené ici tout de rouge vêtu
Et je me demande qui peut bien écrire cette chanson.
Je m'en fous si le soleil ne brille pas
Et je m'en fous si rien n'est à moi
Et je m'en fous d'être fébrile avec vous
Je ferai l'amour en hiver.
Et la mer n'est pas verte
Et j'aime la reine
Et qu'est-ce qu'un rêve exactement
Et qu'est-ce qu'une blague exactement.

Syd Barret, Jugband Blues (1967, dernière contribution avec Pink Floyd)
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Une couverture magnifique a attiré mon regard, l'album de Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Risbjerg. E route vers l'imaginaire, vers la création, à la découverte de six artistes hors du commun : Augustin Lesage, Magda Gill, le Facteur Cheval, Aloïse, Marjan Grozewski et Judith Scott.

Tous ces noms ne vous évoqueront pas toujours quelque chose mais ils ont une chose en commun, l'art brut.

6 personnes qui deviendront de vrais artistes.

6 personnes enfermées dans une certaine solitude, dans leur bulle, dans leur folie peut-être, qui poussées le plus souvent par une voix intérieure vont se mettre à créer.

Création, monde intérieur, renaissance le plus souvent, une évasion. Leurs oeuvres interpellent, nous questionnent.

"La création c'est une bénédiction, tout devient plus grand n'est-ce pas ? Il y a plus d'espace, plus de temps."

Des artistes qui vivent leur rêve, dans leur monde, dans leur tête.

"Le corps est là, l'esprit s'évade"

L'album est une réussite, les dessins sont captivants, magnifiques, les textes interpellants. On apprend beaucoup de choses en passant un excellent moment de lecture.

La liberté, la "normalité" qu'en est-il vraiment?

"Les gens sont bizarres. Ils ont peur de ce qui est libre ou sauvage. Si la folie c'est de réussir à ne pas s'adapter à une vie de rien, alors la folie c'est normal"

Une belle découverte, à lire cet été.

Un coup de coeur de plus ; ♥
Lien : https://nathavh49.blogspot.c..
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On vient de me prêter cette BD et j'ai adoré ! Découvrir ces 6 artistes a été absolument enrichissant, je suis partie après ma lecture me renseigner sur leurs oeuvres. le palais du facteur Cheval avait déjà été pour moi une bien belle merveille à découvrir sur place il y a quelques années mais je ne connaissais pas les autres artistes présents dans cette BD. de plus, les auteurs ont fait en sorte d'avoir un fil conducteur entre les personnages et la transition n'en est que plus poétique. On traite d'artistes mais les auteurs n'en sont pas des moindres !
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Excellente introduction à l'art brut, via six créateurs ou créatrices, que Pandolfo fait dialoguer entre eux. Leur origine sociale, leur place au sein de la famille et leurs « pathologies » personnelles sont abordées avec précision, discrétion et bienveillance.
En même temps la reconnaissance récente de l'art brut est esquissée, ce qui situe bien les différents univers et leurs traits communs.
Pour les amateurs et regardeurs à l'esprit ouvert, on conseillera, outre des initiatives locales très enrichissantes comme le Hang'art à Saffré 44390, des expositions parisiennes à la Halle Saint Pierre dans le XVIIIe, et L'hôpital Sainte Anne, dans le XIVe, dont les réserves mériteraient d'être mieux connues.
Les auteurs de la BD montrent les couleurs sombres, de ces artistes «  en souffrance » comme les réalisations extravagantes qui correspondent aux périodes exaltées de leurs existences. de quoi inspirer les imaginations et encourager des productions personnelles, bénéfiques à tous égards.
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Faut-il être fou pour créer ?
La création artistique a-t-elle un prix ? Est ce celui de la liberté ?
C'est à travers ces questionnements que nous sont présentés 6 artistes. Pardon 6 Artistes avec un grand A.
Vivants entre le 19 ème et le 20 ème siècle iels ont fait l'expérience d'être incompris.e.s, montré.e.s du doigt parce qu'iels étaient au coeur de phénomènes paranormaux, parce que leurs expériences de vie ou un chromosome en plus les a rendus différents, parce qu'il eût sur le chemin beaucoup de souffrance, parce que créer est devenu une question de survie, une façon de se réinventer.
Je conseille deux choses : avant d'entamer cette lecture, munissez-vous d'un paquet de mouchoir (pour le côté bouleversant) et d'un téléphone ou un ordinateur (pour la curiosité d'aller jeter un oeil au travail de chaque artiste parce que ça vaut le détour)
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Cette bande dessinée nous présente 6 histoires hors normes qui se déroulent toutes entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle. A cette époque, "Les femmes et les enfants n'ont aucun droit. Les paysans n'ont plus de terre, ils deviennent pauvres ou ouvriers. Les vieux et les malades gênent, on les préfère isolés et enfermés."

Augustin Lesage d'abord, un mineur du nord de la France qui selon ses dires va être guidé par un "esprit" qui lui fera peindre en tout 800 toiles.
Madge Gill, une londonienne bâtarde, qui via "Myrninerest", se met à dessiner d'interminables rouleaux de dessins.
Le fameux facteur Cheval (le seul que je connaissais), qui a construit, jour après jour à Hauterives dans la Drôme, un formidable palais surréaliste, avec les pierres qu'il ramassait au cours de sa tournée. 33 ans, 10 000 journées, 93 000 heures de dur labeur.
Aloïse, suisse à l'âme sensible et aux dons d'artiste, qui fera un passage à la cour allemande de l'empereur Guillaume II. Développant tous les symptômes de la schizophrénie et recluse dans un "asile" (nom de l'époque), elle consacrera la deuxième partie de sa vie à dessiner des oeuvres qui seront exposées à Paris.
Marjan Gruzewski, fragile somnambule handicapé de la main droite, qui deviendra médium et peintre, lui aussi.
Enfin Judith Scott, sourde, muette et trisomique qui devient une artiste contemporaine en fabriquant des "cocons textiles" inégalables.

Toutes ces personnes ont en commun de ne pas appartenir à une classe sociale élevée. Pour beaucoup d'entre eux, ils ont été mis au ban de la société. Sans aucune formation artistique, ils sont pauvres, femmes, malades et "fous". Et pourtant, ils sortent du commun du mortel par l'expression de leur art majestueux.
Voici une approche de l'Art Brut en images et en vies, à travers quelques uns de ses artistes prodigieux. La lecture est très simple, fluide. On est emporté par les couleurs et dessins de Terkel Risbjerg. La couverture en particulier, est magnifique, surtout avec le texte qui l'accompagne à l'intérieur de la bande-dessinée, "Les hommes pensaient que la broderie retenait les femmes à la maison, que c'était une belle invention. Mais quand elles piquaient, tiraient, piquaient... au rythme du balancier de la pendule... ... étaient-elles vraiment là ?".
Entre deux tranches de vie d'artiste, les morts se retrouvent pour discuter entre eux. On suggère au lecteur que la schizophrénie d'Aloïse était un subterfuge, et qu'Augustin Lesage n'était guidé par aucun esprit. Je ne connais pas la vie de ces artistes, donc il faudrait que je me documente plus pour savoir si c'est un parti pris de l'auteur, ou si cela repose sur une réalité. J'ai envie d'en savoir plus sur ces artistes, de découvrir l'IMI et un musée d'art brut !





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Quand je suis tombée par hasard sur cette BD, je n'ai pas pu y résister ! La couverture m'a complètement happée ! Et puis en lisant la 4ème j'ai compris qu'elle parlait de ces destins atypiques de créateurs, que l'on regroupe dans l'art brut. Ça a achevé de me convaincre, je suis repartie avec à la maison.

Enferme-moi si tu peux de Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Risbjerg nous présente 6 destins hors du commun, ceux d'Augustin Lesage, Madge Gill, le Facteur Cheval, Aloïse Corbaz, Marjan Gruzewski et Judith Scott. Comment et pourquoi des personnes sans aucune formation artistique se mettent-elles à créer à profusion du jour au lendemain ? Qu'ils ou elles soient guidé.e.s par une voix intérieure, poussé.e.s par un esprit, traumatisé.e.s par la guerre, ces gens souvent pauvres, parfois malades ou fous, se sont révélés dans leur pratique artistique, devenue une réelle forme d'expression.

Cette BD, magnifiquement illustrée, leur fait honneur. On y découvre leurs vies singulières, leur art et cette part de mystère qui l'accompagne. Un vrai coup de coeur pour moi.
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Les auteurs de cet album, Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Risbjerg ont choisi six artistes de l'art brut, trois hommes et trois femmes. Augustin Lesage (1876-1954) mineur, fils et petit-fils de mineurs, qui, à la suite d'une séance de spiritisme va se mettre à peindre une toile gigantesque, puis n'arrêtera plus du reste de sa vie. Madge Gill (1882-1961), une enfance misérable et bientôt, une révélation, elle se met à jouer et composer de la musique et à la peinture, totalement habitée par un esprit. le Facteur Cheval (1836-1924), est-il besoin de le présenter, qui lors de ses tournées ramasse des pierres et construit son désormais célèbre palais. Aloïse (1886-1964), obligée, par convention, de quitter l'homme qu'elle aime, elle ne sortira pas indemne de la guerre, sera internée et diagnostiquée schizophrène et s'isolera au sein de l'institut pour dessiner jusqu'à la fin de sa vie. Marjan Gruzewski (1898-?), enfant, il ne peut se servir de sa main droite, qui pourtant, lors de crises de somnambulisme -après une séance de spiritisme- lui permettra de dessiner, peindre une oeuvre assez conséquente. Judith Scott (1943-2005), trisomique, sourde et muette, elle produit une oeuvre étrange, des cocons de cordes, fils liens, renfermant des objets du quotidien.

L'album est très très beau, en plus de présenter des artistes peu connus et de parler de leurs vies peu communes. Pour tous, c'est l'art qui les a faits sortir de leur condition misérable ou pauvre. Souvent moqués, raillés, ils ont persisté jusqu'à la fin. Les deux auteurs montrent très bien la part de décalage, de surnaturel, d'irréalisme voire de surréalisme -certains furent repérés par André Breton, le pape du genre. Les dessins et couleurs sont très parlants, sombres et torturés lorsqu'ils montrent les souffrances, très colorés à certains moments -notamment pour Aloïse. C'est une bande dessinée qui donne envie de découvrir chacun des artistes cités et ses oeuvres. On sait que la vie d'artiste n'est pas aisée, ces six-là sont allés très loin, au plus profond d'eux-mêmes, de leurs ressources, de leur personnalité voire de leur santé pour faire ce qu'ils se sentaient obligés de faire, mus par des forces extra-ordinaires.
Lien : http://www.lyvres.fr/
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C'est une bande dessinée que je trouve nécessaire d'un point de vue sociétal. Il met en lumière le faite que des personnes ayant présenté des différences en comparer avec une personne « lambda » est rencontré des difficultés et autres rejets de la part d'autrui.

Heureusement, ce que j'ai trouvé formidable c'est la manière dont s'en sont sorties ces personnes car elles ont appris la notion même de résilience et ont sublimer ce qui, justement, faisait tout le charme de leurs différences.

Chaque personne est unique et c'est un cadeau pour l'humanité en cela.

C'est inspirant, poétique, extraordinaire même parfois. Nous apprenons des choses incroyablement intéressantes, qui nous donnent envie, nous aussi de nous exprimer à notre manière et faire surgir notre créativité que l'on porta tous en nous mais qui est, pour chacun(e)s revêt une couleur différentes par son expression.

Ce sont, des histoires vraies donc j'ai d'autant plus adoré ma lecture et elle fera partie de, je pense mon TOP 5 2023 niveaux bande dessinée !

Foncez la découvrir dans vos bibliothèques elle est vraiment genial !
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