L'héritage, tome 1 : Eragon

Même si j'ai trouvé le début très accrochant avec la découverte de la "pierre" et l'arrivée des Raz'zacs j'avoue avoir trouvé le milieu un peu répétitif, fuite cachette, Urgals... Mais la fin redonne de l'entrain et du suspens au récit, je l'ai avalé d'une traite ! de toute façon pour lire ces presques 700 pages il ne faut pas trop s'ennuyer sinon on est tenté(e)s d'abandonner... Eragon est parfois un peu énervant mais on s'y attache quand même rapidement, les choix qu'il a à faire ne sont pas faciles... Je n'aimerai pas être à sa place même si la compagnie d'un dragon doit être assez magique.
Pour finir, je dirai que c'est un bon livre mais que compte rendu du temps que j'ai mis à le lire je ne le classerai pas comme "coup de coeur". Je vous le conseille quand même, surtout pour les ados !

🐉 J'ai tellement entendu parler de cette série que je l'ai ajouté à ma PAL. Pourtant, moi les dragons et autres, ce n'est pas mon genre de prédilection.
Mon grand a testé et s'est arrêté au cours du troisième.
Ma cop's @valou83 a testé et s'est arrêtée au premier...à la fin.
Les deux m'ont informé qu'il fallait passer les 80 premières pages.

🐉 J'ai donc essayé à mon tour, aidé par un coup de pioche dans ma PAL de 12/2021, de @Taganga2000.
Malheureusement, après 4 jours, je ne suis même pas à 1/4 du roman. Impossible de passer plus de temps dans un roman qui ne m'appelle pas.

🐉 Il y a, c'est vrai, en début de roman, beaucoup de descriptions et trop peu d'actions.
Je préfère donc en rester là et passer à autre chose pour finir l'année 2021. Elle est déjà bien assez mauvaise, sans en plus, en rajouter un livre qui ne m'attire pas pour la terminer !

Eragon est un livre destiné à un public jeune. On voit donc les limites que cela implique tout au long de l'histoire : intrigue peu complexe et pas de scenes violentes.
J'ai tout de même était emballé par ce premier tome. L'histoire est simple mais efficace. On voit le personnage principal se développer tout au long de son aventure. Les scènes d'actions tiennent en haleine.
Un livre qui reprend les codes de la fantasy et qui ne sort pas des sentiers battus.
Les points négatifs sont tout de même compréhensible au vu de l'âge de l'auteur au moment de l'ecriture (15 ans je crois)!

Superbe découverte !

J'avoue sans honte que ce sont les dernières éditions poche, aux magnifiques tranches dorées, qui m'ont fait acheté la série complète. Et j'ai bien fait de céder au chant des sirènes du marketing car j'ai adoré cette lecture.

L'écriture est fluide, très agréable à lire et avec la parfaite dose de détails pour qu'on puisse se plonger dans l'atmosphère sans que ça soit difficile à digérer. 
Les personnages sont très intéressants et l'intrigue tout autant.

Tout est dosé parfaitement: l'amitié, l'action, la magie..

Pour moi c'est typiquement le type de lecture fantasy qui peut ravir enfants ET adultes !

Je vais lire la suite, c'est certain =)

Une fois n'est pas coutume, j'ai découvert Eragon après tout le monde comme cela a été le cas pour d'autres séries jeunesse comme Artémis Fowl ou l'Epouvanteur. Mais comme le livre est vraiment prenant, je pense rattraper mon retard et me lancer dans cette tétralogie fantastique et entraînante.
Lorsque Eragon, un jeune fermier de 15 ans, part chasser quelques jours, il s'attend plutôt à ramener du cerf ou même du chevreuil mais certainement pas un oeuf de dragon. Surtout quand on sait que ces derniers ont disparu en même temps que les derniers dragonniers il y a des années. Son éclosion et la naissance de Saphira vont alors mettre les vies de notre jeune paysan et de sa dragonne en danger. Parachutés au milieu d'une guerre, traqués par l'Empire et le roi Galbatorix, nos deux compères, aidés par le courageux et très avisé Brom, vont alors entamer une quête où ils croiseront autant d'amis que d'ennemis mais surtout un voyage qui les mènera bien plus loin que tout ce qu'ils avaient pu imaginer.

L'univers mis en place par Christopher Paolini est dépaysant à souhait et nous entraîne dans un monde fantastique où se côtoient dragons, magiciens, elfes, nains, ombres et même un chat-garou (les loups sont démodés !!!). L'intrigue tient la route et sans atteindre la précision de Tolkien, l'auteur parvient à créer un univers intéressant et qui lorgne parfois du côté du Seigneur des Anneaux.
La fantasy est ici mise à l'honneur, ce que j'ai bien apprécié !! Par contre j'ai eu beaucoup de mal à retenir les noms de certains lieux et des personnages qui peuplent le monde d'Eragon. Mais cela ne m'a pas empêché de dévorer ce volumineux roman (presque 700 pages quand même !) en quelques jours tellement l'histoire est prenante.
Autre point positif : la fantasy n'est pas le seul genre mis à l'honneur. L'humour et l'émotion sont aussi de la partie, de même que l'action et le suspens. Les rebondissements sont en effet nombreux et même si certains sont assez prévisibles, ils ont réussi à me tenir en haleine jusqu'à la dernière page ! Autant vous prévenir, Eragon et Saphira ne sont pas au bout de leurs surprises…

Les personnages sont attachants et j'ai pris plaisir à suivre leurs aventures surtout s'agissant de Brom et de Saphira. Pour Eragon, qui est pourtant le personnage principal du livre, je suis un peu moins enthousiaste. Je l'ai trouvé beaucoup trop naïf dans la première partie du roman, en tout cas beaucoup trop pour quelqu'un de 15 ans. Mais au fur et à mesure des évènements et des circonstances, celui-ci apprend à s'endurcir et à réfléchir comme dans tout bon voyage initiatique qui se respecte. Par contre, j'ai eu un vrai coup de coeur pour Saphira la dragonne et sa personnalité car si elle sait faire preuve de sagesse et de courage, elle peut aussi se comporter comme une enfant gâtée et jalouse. Pour moi, sa relation avec Eragon est vraiment le fil conducteur de l'histoire et est souvent prétexte à des scènes pleines d'émotion ou d'humour qui rythment l'intrigue au même titre que les machinations de Galbatorix et de ses sbires.

La plume de Christopher Paolini est fluide et élégante, tout en restant facile d'accès, ce qui est d'autant plus impressionnant quand on sait qu'il n'avait pas 20 ans lorsque son roman a été publié pour la première fois !

Dépaysant et addictif, Eragon est un roman réussi et qui pose les bases d'une saga qui s'annonce vraiment passionnante. On n'a qu'une hâte, découvrir la suite des aventures de Saphira et d'Eragon.
Lien : http://drunkennessbooks.blog..

Je me rappelle être allé voir le film il ya environ huit ans et j'ai été un peu déçu.
Il me tardait donc de lire le premier volet de cette saga.
L'histoire y est un peu plus riche mais manque un peu d'originalité mis à part quelques petits événements surprenants.
Par contre, à mon sens, l'intérêt principal de ce Tome1 réside dans la communication par télépathie et la relation entre Eragon et son dragon.
Un livre néanmoins agréable à lire et très divertissant qui aura suscité un minimum ma curiosité pour tenter la lecture du Tome2.

J'avais beaucoup entendu parler de ce roman, et, je me suis (enfin) décidée à le lire.
Pour tout avouer, j'ai adoré. Je suis entrée tout de suite dans l'histoire. En ce qui me concerne, j'ai beaucoup apprécié l'évolution de la relation entre Eragon et sa dragonne ...
Pour moi, cela n'a rien à voir avec l'univers de Tolkien qui est totalement différent et surtout inimitable ...

C'est à lire et/où à découvrir si l'on veut passer un excellent moment de détente.

Eragon est la pierre d'angle de mon imaginaire. C'est un des premiers livres de fantasy que j'ai lu et c'est celui qui m'a fait aimer la SFFF. Quand je l'ai découvert, je me suis prise de passion pour les personnages, l'histoire, ainsi que l'univers. J'étais tellement saisie que j'avais l'impression d'explorer la Crête avec Eragon, de voler sur le dos de Saphira, d'affronter les ennemis avec eux…
J'ai lu dans un article que l'auteur avait écrit ce roman parce qu'il aurait voulu en être le lecteur. Je suis d'accord avec lui : à l'époque, c'était également la saga qui complétait parfaitement mon imagination.

C'est la première fois que je le lis adulte. J'avoue que j'avais un peu d'appréhension : pas sûr que ça me plaise encore. Je ne m'identifierai plus aux personnages comme avant, je ne vivrai plus l'histoire comme avant, et j'en retirerai certainement un mauvais souvenir.

Mon nouveau regard sur le premier tome de cette série est effectivement différent, mais pas tant que je le croyais. J'ai un tel souvenir de l'univers et du personnage principal que je ne peux qu'être influencée par mes impressions précédentes.
Eragon restera toujours pour moi un jeune garçon indécis qui a à coeur de bien faire, mais qui fait des erreurs et qui est bien souvent obligé de se reposer sur les autres. Ce n'est pas un héros au sens propre du terme, et il est très proche de l'adolescent lambda. D'ailleurs, il vit une passion à sens unique pour la belle Arya, mais manquant d'expérience, il est bien souvent embarrassé par ses sentiments, qui l'entrainent dans des situations gênantes.
J'apprécie toujours Arya pour son mystère : ses émotions et pensées restent le plus souvent indéchiffrables – au grand dam de notre protagoniste. C'est une elfe, et par conséquent, elle ne réfléchit pas comme nous. le fossé culturel entre elle et Eragon semble parfois sans fond – l'écart de maturité aussi.
Et c'est avec plaisir que j'ai retrouvé Brom pour cette énième relecture. Ayant déjà lu les quatre volumes, je sais déjà qu'il cache une somme astronomique de secrets lors de ce premier tome. le savoir dès maintenant me fait sourire.

Alors soyons clairs : qu'est-ce qui a changé pour moi ?
Tout d'abord, les descriptions. Alors qu'autrefois, elles se contentaient de vaguement ralentir ma lecture, là elles m'ont carrément gênée. Il y en avait trop, Christopher Paolini aurait pu alléger son texte sans que ça nuise à l'histoire. En réalité, plus que trop nombreuses, je crois qu'elles sont mal dosées. Désormais, l'heroic fantasy est un domaine que je connais bien, et les univers, personnages et descriptions sont très souvent inspirés les uns des autres. Toutefois, il faut se rappeler que l'auteur était âgé de quinze ans lorsqu'il a écrit ce premier livre.
Ensuite, j'ai trouvé le scénario très – très ! – bateau. Un garçon tout ce qu'il y a de plus banal est choisi par la dernière dragonne pour devenir un puissant Dragonnier, capable de manier l'épée et la magie, afin de sauver le monde de la tyrannie du vil Galbatorix ? C'est plus que déjà-vu.
Et puis, bien sûr, je me suis moins reconnue dans le personnage principal et ses atermoiements. Je dois certainement avoir mûri. Les quelques fois où il désobéi à Brom m'ont hérissé le poil parce qu'on sait pertinemment que ça va mal finir. Par ailleurs, il ne lui faut que deux ou trois mois pour devenir un épéiste hors pair qui n'a presque pas d'égal dans tout l'Alagaësia – ce n'est pas rien ! Christopher Paolini n'a aucune pitié pour ceux qui s'entrainent depuis des années s'il suffit de quelques semaines pour les supplanter !
En fait, chacun a un rôle très marqué dans le genre de la fantasy : Eragon est le Héros (Frodon), Brom est le Maître (Gandalf), Arya est l'Amante (Arwen), Galbatorix est le Tyran (Sauron), etc.
Quand j'étais plus jeune, je me suis souvent demandée pourquoi ce cycle n'avait jamais reçu de prix littéraire. Maintenant je comprends pourquoi : le manque d'originalité est flagrant, une fois qu'on a lu d'autres livres. Même le scénario est classique : c'est une histoire de vengeance qui prend des proportions trop importantes et implique le protagoniste dans la lutte contre un empire tout-puissant et machiavélique.

Pour terminer, j'ai aussi repéré quelques failles au niveau de l'univers, et notamment de son étendue. Au-delà du désert du Hadarac, ce ne sont que des terres inconnues, mais ce n'est pas logique. La société d'Alagaësia est comparable à notre Moyen Âge. Comment se fait-il qu'il n'y ait eu aucun conquérant pour tenter de passer outre le désert et explorer ces nouvelles contrées ? Ils n'ont pas eu d'Alexandre le Grand ou d'Attila le Hun ? Par le Nord ou le Sud, le chemin ne semble pourtant pas si ardu. Mais non, il a fallu attendre la création des Dragonniers pour que les races intelligentes étendent leur empire. Mais aussitôt leur ordre révolu, on a perdu ces connaissances et personne n'a cherché à les déterrer. Comment est-ce possible que personne ne se soit demandé : 1. pourquoi on ne le sait pas ; 2. qui a caché les informations et pour quelle raison ?
Galbatorix a-t-il dû falsifier ou détruire de nombreux documents pour enfouir la vérité ? Quelle réalité serait suffisamment compromettante pour exiger tant d'énergie pour l'occulter ?

Mais au-delà de ces défauts, Eragon a un goût d'enfance et de réminiscence inégalable. Ça a été un plaisir pour moi que de redécouvrir ce classique de ma jeunesse. Mon jugement est clairement subjectif, mais tant pis pour ma crédibilité. J'assume.

Très bon livre. Une écriture et un langage d'une qualité surprenante lorsque l'on connaît l'âge de l'auteur à l'époque. Une histoire bien tournée, riche en rebondissement qui nous permet de suivre l'évolution, tant psychologique que physique, du jeune Eragon et de sa compagne Saphira.

Composé par un adolescent (qui il faut se l'avouer quand même, est parvenu au sein graal du romancier amateur (faire éditer son premier roman) grâce à la maison d'édition dirigée par papa et maman), Eragon est un livre qui peut être lu par les jeunes et les moins jeunes.

Les lecteurs les plus aguerris trouveront ici un roman type du genre héroïque-fantasy. L'histoire du jeune homme qui suit une quête initiatique l'amenant doucement mais surement vers l'âge adulte est un filon bien connu. Toutefois les ingrédients proposés ici sont plutôt sympathiques.

Le jeune auteur parvient ici à réunir à peu près tout ce qu'il faut pour que la recette prenne : une histoire d'amitié, d'amour, d'héroïsme, avec des personnages attachants et une bonne dose d'imaginaire (dragons, elfes, nains…), les points de passage obligatoire… tout cela est tout à la fois désespérément classique et franchement sympathique.

Le style est agréable et fluide, simple mais efficace. Voici donc une lecture facile, idéale après une journée remplie de contrariétés ou si le lecteur recherche un roman facile d'accès, sans prise de tête. Il faudra toutefois accepter de lire ce qui reste un pavé… difficile, toutefois de s'arrêter en cours de route, car le dénouement de l'intrigue n'est pas l'ordre du jour. le travail de traduction est réussi et la barrière de la langue ne se fait pas sentir.

Il faut également reconnaître que les éditions Bayard jeunesse nous offrent un agréable travail avec une édition soignée : papier de qualité, lettrage réussi, première de couverture alléchante, carte et annexes sous oublié un petit liseré doré… Bref une belle pièce de collection.

Voici tout à la fois un bel objet et une lecture intéressante, idéale pour faire découvrir la fantasy, aux plus jeunes ou aux moins jeunes.