Il était une fois, au Palazzo dei Leoni, à Venise, une femme qui possédait plus de pierres précieuses que tous les sultans d' Arabie. Sa vie n'était qu'ivresse et volupté. Un jour, elle décida d'organiser un grand bal...
Loin de ma maison, de mes obligations, de mes faux amis, des contraintes familiales et d'un amour tyrannique. Lorsqu'on réalise que la vie devrait ressembler à une promenade les cheveux dans le vent d'hiver plutôt qu'à cette suite d'emmerdements déguisés en échéance.
Une belle phrase est une chose fugace et fragile, si on ne l'attrape pas au vol elle disparait.