La réunion de textes et récits aussi différents pourra dérouter le lecteur, jusqu’à ce qu’une unité de fond lui apparaisse.
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En réalité, la mort véritable n’est pas la fin du fonctionnement du corps physique, c’est le fait de vivre dans la mémoire et non dans l’instant. Mais nous vivons dans la mémoire même en croyant vivre l’instant car nous ne recevons pas le monde, nous sommes seulement en contact avec la mémoire que nous avons de chaque chose et la projection que nous en faisons.
S’accorder, faire le vide, poser aussi des actes nouveaux pour de nouvelles perceptions, c’est la fonction de l’ascèse – qui signifie ascension, élévation, loin des macérations coupables – de nous remettre en harmonie avec quelque chose de plus vaste et de plus intérieur, autour de nous et en nous, où l’intime est si grand qu’il se révèle cosmique.
Q(O)uest, de l'ère des Poissons au Verseau, le réveil de l'âme des peuples et les moissons du Ciel 1