Changer l'eau des fleurs

Eh bien, c'est à n'y rien comprendre! Tant d'éloges !
Pour ma part il n'y a QUE LA PREMIERE PAGE QUI PRESENTE UN INTERET.
Le reste: c'est un roman de gare pur beurre: des personnages hyper caricaturaux, une enquête complètement bâclée et truffée de Oh combien de coïncidences ! Si ce livre n'avait pas été écrit ( ou prétendument écrit) par une habituée des plateaux, il n'aurait jamais vu le jour ! Son éditeur a du bien s'arracher les cheveux d'ailleurs, pour retravailler tout ça! En tout cas j'ai beaucoup aimé la première page ! oui ça c'est de l'écriture , ça donne envie de lire la suite. Mais la suite ... Oh malheur ! Ensuite, l'éditeur a été obligé de découper le roman en morceaux pour faire des flash back répétés pour camoufler à quel point l'enquête est bancale, pour masquer l'épaisseur femtométriques des personnages. Seule violette a un tant soit peu d'existence, mais de là à ressentir des émotions. Je me demande comment j'ai pu lire tant de pages ? C'est fou comme on peut être influençable parfois ... Et comme les critiques sont capables de nous faire prendre du pipi de chat pour un Château Cheval Blanc 1947 ... Hallucinant! Et qui a eu l'idée de ces petites culottes déchirées à tour de bras ? C'est probablement jubilatoire pour certains, mais si vous aimez la VRAIE littérature passer votre chemin.

Après avoir adoré « trois » je voulais découvrir cet autre succès de Valérie Perrin. Ce roman est touchant; on retrouve de « trois » l'intime, les drames qui se dévoilent au fur et à mesure de la construction du roman tout en flashbacks, une galerie de personnages secondaires hauts en couleurs… le personnage de Violette Toussaint, garde-cimetière, est attachant. Un homme arrive De Marseille dans ce cimetière de la région lyonnaise, pour déposer les cendres de sa mère sur la tombe d'un inconnu, selon ses dernières volontés. Chaque chapitre commence par une épitaphe, tantôt drôle, tantôt émouvante. Je n'ai pas été autant emporté que par « trois », mais j'ai passé un très bon moment.

Que dire de ces pages interminables et ces détails inutiles.
Je dois dire que j'ai été déçue. Je suis arrivée au bout de ma lecture mais en quête de sens jusqu'à la dernière page.
Ces descriptions sur les enterrements (qui n'apportaient rien), les redondances et fautes de style. Et puis ces personnages franco français pour la plupart…

Un bouquin que je ne recommanderai pas.

J'en ai lu des livres dans ma vie mais jamais un qui me bouleverse à ce point.
«  changer l'eau des fleurs » est juste, rythmé, incroyablement agréable à lire.
Tout dans ce roman est réussi, Valérie Perrin nous transporte dans la vie de Violette dans un tourbillon d'émotion

Je viens de finir ce roman qui, sincèrement, ne m'a jamais accroché. J'ai tellement honte du temps que ça ma pris pour le lire, d'une part parce que je suis pas locutrice native, mais d'autre part parce qu'il était bien trop long. Mais quand même! Je me suis perdu dans tous les sauts temporels. Quel plaisir de le fermer pour toujours.

C'est un grand et énorme coup de coeur. J'ai aimé suivre Violette tout au long des pages. Découvrir son histoire qui m'a profondément touché. Je suis passée par toutes les émotions au cours de cette lecture. du rire aux larmes, de la colère à la compassion. Ce livre a traîné beaucoup trop de temps dans ma PAL mais qu'est ce que je suis contente d'avoir sauté le pas. le titre ne me donnait pas spécialement envie et pourtant, après cette lecture, il est justement trouvé. Découvrir Valérie Perrin a été pour moi un réel bonheur. Une plume très belle et facile à lire. Dans le personnage de Violette j'y ai un peu revu le personnage de Joanne dans "Tout le bleu du ciel" de Mélissa Da Costa.

Je ne m'attendais pas du tout à ce que ce livre prenne cette direction (à savoir le côté « enquête »). J'ai beaucoup aimé le début de l'histoire mais quand elle a basculé du côté enquête je n'ai plus trop apprécié. Une histoire qui a le mérite de se lire vite car l'autrice arrive à nous tenir en haleine grâce à son écriture fluide.
J'ai moins apprécié la multitude de personnages et de points de vue, avec des chapitres qui se succèdent avec une chronologie différente et des récits de personnages différent, c'est parfois compliqué de s'y retrouver.

J'ai trouvé également qu'il y avait un petit côté parisien vantant les mérites des gens « de province » ; la plupart des personnages sont pour moi fantasmés voire carrément improbables. mais ça ne peut être qu'un à priori de ma part.

La fin est beaucoup trop longue

Je confirme ce que beaucoup d'amies lectrices m'ont dit sur ce bouquin : une fois en main, vous ne voulez plus le lâcher, tant l'histoire est poignante et tellement bien écrite !!!

Valérie Perrin, par son écriture simple et brut de pomme parfois, nous transporte dans ce petit cimetière d'un village de Bourgogne, où se croisent et s'entremêlent les multiples histoires de nombreuses personnes, qu'elles soient mortes ou vivantes...

Elle y dépeint une galerie de personnages hauts en couleur, que l'on apprécie ou que l'on déteste aussi...

Entre rires et émotion, l'histoire de Violette Toussaint, gardienne de cimetière, ne vous laissera pas indifférent...

Un vrai bol d'air pur à mettre entre toutes les mains !

Par ce livre j'ai découvert cet auteur, qui n'est autre que la femme de Claude Lelouch. "Changer l'eau des fleurs" est son second roman.

ce roman, dont le scénario est très finement et habilement écrit, nous entraîne dans le destin de Violette. Une petite vie, ballottée par des tragédies, et des rencontres lumineuses. Ce roman est une vraie réussite. Un page-turner qu'on ne lâche pas jusqu'à la fin. Les personnages sont attachants. Pas de méchants et de bons, chacun doit faire avec la vie.

Changer l'eau des fleurs… quel beau titre. Quelle phrase qui sous entend tellement de choses.
Il est des livres qui laissent des traces et se distillent en toi. Il est des livres qui parlent immédiatement à tout un chacun.
Changer l'eau des fleurs de Valerie Perrin en fait partie.
Le pitch pourrait sembler tellement banal alors que l'auteure nous mène dans la profondeur des sentiments.
L'émotion nous tient tout au long du livre pour atteindre son paroxysme vers les 3/4 du livre quand tout prend forme définitivement et que nous comprenons les comportements de chacun des protagonistes, leur histoire et leur douleur.
Chacun d'eux nous apparaît alors attachant.
Un libre d'une grand intensité