Les Lames du Cardinal, tome 1

Pour commencer, parlons des personnages, et notamment des fameuses Lames : je les ai trouvé bien fades ! Durant une grande partie du livre, on navigue de l'un à l'autre sans en apprendre assez sur chacun pour s'y identifier, ou tout simplement être intrigué. Même La Fargue, qui devrait être un personnage fort puisque c'est le chef des Lames, m'a paru effacé. En fait, au terme de cette lecture, les Lames restent pour moi des personnes sans visage, sans personnalité propre. C'est un groupe qui oeuvre dans l'ombre pour le Cardinal et qui lutte contre la Griffe Noire, et c'est à peu près tout ce que ça m'inspire. Je ne les vois pas comme des humains « complets » ayant chacun une personnalité développée et une histoire personnelle, je les vois comme un ensemble un peu flou dont on connait très peu de choses. Par exemple, que s'est-il passé durant la dernière mission des Lames et pourquoi cela a entrainé leur chute ? Comment l'un d'entre eux a été amené à trahir les autres et pourquoi ? Comment chacun d'entre eux ont été amenés à intégrer les Lames ? Comment se sont-ils rencontrés ? Quel genre de mission effectuaient-ils pour le Cardinal ? Quelle était la spécialité de chacun au sein du groupe ? C'est le genre de questions auxquelles j'aurais aimé trouver une réponse. Peut-être de plus amples explications ou quelques indices se cachent-ils dans les tomes suivants ? Je ne le saurais peut-être jamais, car je ne pense pas continuer à lire cette trilogie, sauf si les avis émis par les participants de la LC sur les tomes suivants m'en donnent l'envie.

Car je n'ai pas seulement été déçue des personnages, mais aussi de l'intrigue. Elle est trop lente à se mettre en place, ce qui fait que je n'ai pas tout suivi avec attention et que je me suis retrouvée paumée à certains moments. J'ai trouvé qu'il y avait très peu d'action, pas de rebondissements (ou peu) ni de grosses surprises. Certes c'est une trilogie, et le premier tome est souvent « en-dessous » des autres dans le sens où l'histoire et les personnages sont introduits en douceur, mais là je n'ai pas trouvé le petit truc qui m'a donné envie de continuer. Je n'ai pas été intriguée par la Griffe Noire par exemple, pour l'instant j'ai trouvé ça un peu bateau cette histoire de sphère d'âme, ou encore le mal qui touche ceux qui côtoient trop longtemps des dragons.

Bref, certains me trouveront dure avec ce livre, mais j'en attendais plus. C'est vrai que les cinquante dernières pages m'ont semblé meilleures que le reste, il y avait enfin un peu d'action et de rebondissements, quelques révélations. Encourageant, mais pas assez pour me décider à acheter le tome 2 pour l'instant.
Lien : http://lecturestrollesques.b..

Un excellent exemple de ce qui se fait de pire en SFFF Français.

Sexiste, raciste et convenu, il n'y a bien qu'un certain style d'écriture et le peu de romans de cape et d'épée existant pour sauver celui-ci.

Si vous adorez les hommes virils et gris (comprendre immoraux) et les femmes minces et belles qui se font harceler vous allez être servi. Sinon vous risquez de lever très souvent les yeux au ciel.

Les scènes d'actions sont bien écrites mais incohérentes ou du moins juste là pour servir les besoins de la narration (parfois les personnages peuvent toucher une cible à 30m ou défaire 4 ennemis sans suer et parfois ils ratent un éléphant dans un couloir).

En supposant les bonnes intentions de l'auteur, il n'en serait pas moins temps que les auteurs/éditeurs prennent leur responsabilité et arrêtent de sortir des oeuvres avec aussi peu de recul.

Ce roman va me permettre de mettre en place ma nouvelle manière de noter les livres à histoire racontée, donc pas les bio où les livres de type ésotériques. Cela va me permettre, je l'espère d'être plus juste avec certains livres et avec d'autres voyez vous-même.

Idée de départ / Accroche du début de livre : 6/10
Développement des personnages : 2/10
Style de l'écriture : 1/10
Rendu de l'histoire : 3/10

Total 12/40 Babelio 1,5/5

Parfois je me demande si Bragelonne est capable de sortir quelques chose de bon avec ses auteurs francophones. Les lames du cardinal n'est pas un choix personnel mais un cadeau qu'un ami m'a fait pour mon anniversaire. Mais je savais déjà que le livre risquait de tomber de haut avec moi.

Pourtant j'ai essayé de donné une chance à ce roman comme je le fais avec chacune de mes lectures. Hélas, essayé de marcher sur les traces de Dumas n'est pas une chose facile à faire. Sauf si on a le talent pour le faire ce qui est loin d'être le cas de Pierre Pevel.

Pourtant au début j'ai eu quelques espoirs avec sa belle présentation des personnages. Et puis ? Eh bien et puis plus rien. En faite Pierre Pevel est trop timoré pour m'avoir fait croire à son histoire. On a l'impression qu'il a peur d'osé en faire trop. Pourtant un fantasy il faut osé si on veut captivé ses lecteurs.

Ce premier tome de cette trilogie est insipide et sans saveur et cela ne risque pas de s'améliorer après. Car rien ne semble sortir de la tête de l'auteur. En faite on a l'impression qu'il a été puisé toutes ses idées dans les royaumes oubliés et Lancedragon (tsr). Aussi dans le second tome vous verrez apparaitre les Drac des sortes de draconiens.

Bref ce petit livre est un savoureux mélange de fausses intentions et de plagiat. Pas plagiat au sens propre, c'est clair mais moi cela m'a profondément déranger. Sans parler de ce manque de créativité manifeste.

En résumé c'est du déjà vu et c'est sans originalité. Moi qui m'attendait à une version Dark des trois mousquetaires avec des chassé-croisé avec l'histoire d'origine d'Alexandre Dumas (peut-être une confrontation mousquetaires blancs et mousquetaires noirs même si se sont les lames du cardinal), j'ai été profondément déçu par cette histoire ou les personnages sont à la limite du risible. Sans parler d'une écriture trop scolaire pour me faire décoller. Juste une extension des orteils et encore là je suis généreux...

J'ai apprécié la plume de l'auteur et c'est pour ça que je suis allée jusqu'à plus de la moitié. Cependant, je n'ai vraiment pas réussi à passer outre mon manque d'intérêt pour l'époque où se place le récit, particulièrement en fiction. C'est une question de goût uniquement, je le reconnais. Mais je dois aussi dire que j'ai trouvé qu'il était difficile de séparer individuellement les lames, ou même les autres personnages. C'est la première fois qu'il me faut du temps pour me souvenir de qui est qui, à chaque chapitre, ce qui n'aidait évidemment pas l'immersion ou l'attachement. Les lames me donnaient l'impression de ne pas avoir de réelles personnalités en dehors d'un seul trait de caractère (parfois exacerbé), censé les définir entièrement. L'aspect fantastique était aussi bien trop discret à mon goût, dans le sens où je n'en ai pas vu l'intérêt. Je n'ai pas compris ce que ça apportait au récit. (Du moins, jusqu'au chapitre où je me suis arrêté.) Au final, je me suis ennuyée. Page après page, j'attendais le moment où j'allais enfin être emballée, emportée par le récit et l'univers, mais ça n'est pas arrivé.

peut être parce que ce roman m'a choisi par dépit, peut-être parce que ce n était pas le bon moment, qu'il me fallait quelque chose de plus profond et que je n'y ai vu qu'une maigre pataugeoire, je n'ai qu'effleuré ce roman, sans retenir les personnages, peut-être par fatigue, peut-être parce qu il y en avait trop, j'ai suivi l'intrigue comme on suit les nouvelles de pays lointains qui nous impactent peu au quotidien, intéressant, mais vite relégué à autre chose, et puis je n ai pas compris ce qu'apportent les dragons dans un aventure historique.

Depuis le temps que mon entourage m'embêtaient avec cette trilogie, il a bien fallu que je m'y plonge.
Quelle déception mes aïeux.
En lisant cette histoire, j'avais vraiment l'impression de voir se dérouler sous mes yeux un récit sans âme. Sorte de golem littéraire aux personnages qui se limitent à une caractéristique (pour certains, il peut simplement s'agir de rester adossé à un mur les bras croisés, true story). Sans compter l'intrigue à proprement parler qui n'est qu'un archétype grossier des récits de cape et d'épée, sans prise de risque aucune.
A éviter.

Encore une fois, je remercie le site covid19.confinementlecture sans qui je n'aurais jamais découvert tous les livres numériques et audios qui sont arrivés dans ma boite mail ces derniers jours. Je les remercie aussi d'avoir fait augmenter ma PAL audio qui – de base – devait rester très bas…

Pas que je n'aime pas les livres audios, hein, mais je trouve que c'est un exercice particulier que d'écouter un livre. Parfois ça passe, parfois ça casse.

Et aujourd'hui, ce n'est pas passé avec « Les Lames du Cardinal » de Pierre Pevel. Bon, c'est un auteur et titre que je connaissais la semaine dernière, et ça a eu le mérite de me le faire découvrir et peut-être que je le lirai en version papier ou numérique, parce que j'ai eu la vague impression que l'histoire était intéressante…

Après en audio, avec moi, ça ne fonctionne pas… Tout simplement, parce que la voix du lecteur ne m'inspire pas… Elle me donne pas l'envie de continuer l'histoire. Je la trouve beaucoup trop grave et pas du tout adapté pour l'histoire… :/

Du coup, je n'arrive pas à dépasser le chapitre 7… Et, ça fait une semaine que ça dure alors qu'il y a 10H de lecture…
Lien : https://bookscritics.net/202..

J'ai eu du mal à accrocher à ce livre. Beaucoup de personnage. Les chapitres sont courts donc on passe d'un personnage à un autre très rapidement. Ceci ne nous laisse pas le temps de s'attacher à un personnage ou de se souvenir de leur action.
Personnellement ça ne m'as pas donné envie de lire la suite.

Cape et d'épée et fantasy, voilà qui a de quoi allécher. Oui mais, ce tome est confus, on se perd entre les différents héros, l'action se concentre à la fin. de plus, on peut avoir l'impression désagréable de suivre un guide touristique. Bref, plaisir mitigé malgré des personnages sympa. (chronique complète sur le site)
Lien : http://www.imaginelf.com/201..