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Après avoir lu l'accroche, j'ai été intriguée. Je me suis demandé où cela allait me mener.
Il s'agit d'un homme qui remet toujours tout au lendemain, enfin à plus tard. Il s'est donné un mois pour écrire ce livre défi et il ne lui reste plus que 18 jours, mais il n'a toujours rien. Alors il se raconte. On apprend qu'il entend une voix…
Ce premier chapitre est tout à fait intrigant. Je ne sais pas où je vais « atterrir ». Un polar, un fantastique, une descente dans la folie ? Je vais continuer, je dois savoir !
Chapitre 2 : Bon, je ne connais toujours pas le nom du héros. Un peu normal, vu que c'est écrit à la 1ère personne. Je sais juste que c'est un écrivain en proie à la page blanche. Je ne sais toujours pas où je vais. Mais c'est bien écrit et il me tarde d'en savoir plus. Ca a l'air de partir sur le fantastique finalement, avec des réverbères qui s'éteignent après le passage du héros, avec un inconnu qui lui dit d'abandonner son roman sinon il aura affaire avec un certain Monsieur Karl. Les choses se préciseraient-elles ? En tout cas, je continue cette histoire, j'ai envie d'en apprendre plus !
Chapitre euh... je ne sais plus. Les pages s'enchaînent. On retrouve les pensées du narrateur, toujours en manque d'inspiration. Il entend toujours des voix. Et ce médecin, appelé alors que le héros fait un malaise ? Comment sait-il que son patient entend non pas des mais une voix ? Je dois suivre la piste de la folie alors ? Décidément, l'auteur a le don de me faire tourner en bourrique et de me donner envie d'aller encore plus loin ! On ne sait pas grand-chose sur le héros, ni son âge, ni rien si ce n'est qu'il a une compagne. Mais ça ne dérange en rien la lecture, au contraire. C'est un monsieur « tout le monde ».
Chapitre machin…J'ai perdu le compte. La curiosité me titille. Très étrange ce bouquin. Mais aussi très sympa. On se laisse facilement emporter par l'écriture et le style agréables à lire.Une chose est sûre, j'ai très envie de continuer.
J'ai fini le livre. Zut, déjà ! Je n'ai pas vu le temps passer. Un vrai bon moment de lecture. Vous avez envie de savoir vous aussi ? Eh bien je ne dirai rien de plus !! Rendez vous compte par vous-même et laissez vous emporter par l'imagination de Phileas , vous ne regretterez pas !
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Le commentaire de Martine :
Un roman qui vient éveiller ma curiosité, par le sujet, le défi que s'impose le héros, ce pari de réussir en 30 jours d'écrire un roman. Plus nous cheminons avec lui, les jours passent et la tension monte, plus la tension monte, plus le manque et l'échec perce la pensée de notre protagoniste. Une course contre le temps, qui permettra à l'auteur de créer le personnage fictif du roman en préparation, un homme qui marque les bases de la mystérieuse enquête que notre héros va écrire.
Tout au long de cette lecture, nous apprenons à connaître notre héros puisque nous sommes au coeur de sa pensée, de sa création, de son inspiration. En tournant les pages, on passe de la procrastination, au manque d'imagination, à la folie, une aventure qui garde le lecteur connecté et assoiffé de curiosité, jusqu'au moment où le mot de la fin arrive, et pour ma part m'a surpris, j'en demandais encore, pas si vite, je veux poursuivre l'aventure, mais bon le délai est passé, trente jours se sont écoulés. le héros, a-t-il réussi à relever le défi ?
Je vous invite à lire ce roman pour savoir s'il arrive à son objectif ou non. L'auteur a une belle plume, qui créé l'addiction, on se laisse emporter par l'imagination féconde de Phileas, j'ai passé un vrai bon moment de lecture.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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MON AVIS : un livre qui a éveillé ma curiosité ne serait-ce déjà que par le titre et la personnalité de l'auteur et franchement pas déçue . Suite à un défi lancé par Ray lors d'une soirée arrosée, un homme ( on ne connaîtra jamais son nom) doit écrire un livre en 1 mois . le problème, il remet toujours tout au lendemain , il souffre de proscratination. Il ne lui reste plus que 18 jours et la tension monte . Question existentielle : quoi écrire ? Quel genre ? 1 personnage déjanté , des situations déjantées et le syndrome de la page blanche histoire de l'achever . L'auteur passe du coq à l'âne en 1 claquement de doigts. Notre protagoniste est conscient de son manque d‘implication mais toute occasion est bonne pour reporter au lendemain ou plus tard ce qu'il doit faire : un apéro avec un copain , une partie de tennis , une mouche qui vole ... voilà qu'il commence à déteindre sur moi . Vais-je sortir indemne de cette lecture? Pas certaine. Alors qu'il rentre chez lui des ampoules de réverbère claquent et un homme avec une cape et un bandeau surgit tel zorro... Albator comme le nomme l'auteur lui dit d'arrêter d'écrire sous peine de rencontrer Karl ...C'est qui ce Karl? l'auteur nous entraîne dans un déferlement de situations plus folles et inattendues les unes que les autres . « Je » car il parle à la 1er personne tout au long du livre entend des voix, a des hallucinations. Il va même jusqu'à sentir une présence quand il est chez lui quand il essaie d'écrire . Serait-ce le début de la folie? On avance dans la lecture mais on ne sait toujours pas de quoi parle le roman qu'il doit écrire. « Je » avance mais où va-t-il ? Ou nous emmène t'il ? Plus l'échéance approche et plus son état mental se dégrade( celui du lecteur n'est pas mal non plus ). A 8 jours de l'échéance il lui arrive même d'invoquer les esprits , de voir des choses en rapport avec la date de sortie ... sa compagne , oui il a trouvé chaussure à son pied , fait appel à un doc , un certain Zorba sosie de Sean Connery. Il lui demande s'il entend une voix ... comment sait il cela? J'ai le cerveau en ébullition ... folie ? Vrai , faux je ne sais plus . L'auteur nous entraine dans un tourbillon de situations et on se laisse volontiers aller . Lu en moins de 2h c'est vous dire ... un livre inclassable mais très agréable à lire . Et l'auteur nous mène par le bout du nez jusqu'à la fin ... si vous avez suivi où Phileas voulait vous embarquer la fin est logique et ne pouvait être autre . L'écriture est fluide , simple et déjantée à l'image du livre . Un livre que je ne peux que vous conseiller pour passer un excellent moment . Hâte de lire autre chose de cet auteur atypique.
Lien : https://www.facebook.com/237..
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Après avoir lu l'accroche, j'ai été intriguée. Je me suis demandé où cela allait me mener.
Il s'agit d'un homme qui remet toujours tout au lendemain, enfin à plus tard. Il s'est donné un mois pour écrire ce livre défi et il ne lui reste plus que 18 jours, mais il n'a toujours rien. Alors il se raconte. On apprend qu'il entend une voix…
Ce premier chapitre est tout à fait intrigant. Je ne sais pas où je vais « atterrir ». Un polar, un fantastique, une descente dans la folie ? Je vais continuer, je dois savoir !
Chapitre 2 : Bon, je ne connais toujours pas le nom du héros. Un peu normal, vu que c'est écrit à la 1ère personne. Je sais juste que c'est un écrivain en proie à la page blanche. Je ne sais toujours pas où je vais. Mais c'est bien écrit et il me tarde d'en savoir plus. Ca a l'air de partir sur le fantastique finalement, avec des réverbères qui s'éteignent après le passage du héros, avec un inconnu qui lui dit d'abandonner son roman sinon il aura affaire avec un certain Monsieur Karl. Les choses se préciseraient-elles ? En tout cas, je continue cette histoire, j'ai envie d'en apprendre plus !
Chapitre euh... je ne sais plus. Les pages s'enchaînent. On retrouve les pensées du narrateur, toujours en manque d'inspiration. Il entend toujours des voix. Et ce médecin, appelé alors que le héros fait un malaise ? Comment sait-il que son patient entend non pas des mais une voix ? Je dois suivre la piste de la folie alors ? Décidément, l'auteur a le don de me faire tourner en bourrique et de me donner envie d'aller encore plus loin ! On ne sait pas grand-chose sur le héros, ni son âge, ni rien si ce n'est qu'il a une compagne. Mais ça ne dérange en rien la lecture, au contraire. C'est un monsieur « tout le monde ».
Chapitre machin…J'ai perdu le compte. La curiosité me titille. Très étrange ce bouquin. Mais aussi très sympa. On se laisse facilement emporter par l'écriture et le style agréables à lire.Une chose est sûre, j'ai très envie de continuer.
J'ai fini le livre. Zut, déjà ! Je n'ai pas vu le temps passer. Un vrai bon moment de lecture. Vous avez envie de savoir vous aussi ? Eh bien je ne dirai rien de plus !! Rendez vous compte par vous-même et laissez vous emporter par l'imagination de Phileas , vous ne regretterez pas !
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Un livre quelque peu déroutant, qui m'a donné à réfléchir ces derniers jours. Aux toutes premières pages, j'ai eu la désagréable sensation que l'auteur se moquait de moi. Néanmoins, il avait réussi à titiller ma curiosité, à tel point que j'ai poursuivi ma lecture, sans me lasser. Ce qui est saisissant dans cette découverte est que l'intérêt porté à ma lecture grandissait au fur et à mesure que j'avançais dans l'intrigue. Car intrigue il y a, même si ce n'est pas flagrant au début du récit. Ce que je soulignerai maintenant que j'ai terminé ce livre, c'est la profondeur du sujet évoqué, qui donne à réfléchir à tous les rêveurs qui aiment écrire. Comme explicitement évoqué sur la quatrième de couverture, « il y aura un avant...et un après ». C'est bien vrai, je pense ne plus pouvoir écrire sans avoir au fond de moi, une pensée pour ce livre. Je recommande donc cette lecture originale car l'auteur réussit, à l'insu du lecteur, à plonger ce dernier dans une manoeuvre insolite, qui se solde étonnamment, et surtout, donne matière à réfléchir. Félicitations à l'auteur pour ce récit original, et à sa maison d'édition Libre2lire qui excelle dans sa ligne éditoriale avec des « livres qui donnent envie de tourner la page ».
Lien : https://libre2lire.fr/livres..
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Ce livre est une pure merveille, alors procrastineuse née je dois avouer je m'y retrouve dans le personnage, par chance je ne suis pas auteure. Mais voilà si on me demande de parler du livre il est pour moi difficile car il est ouf et c'est pour ça qu'il est génial, un conseil lisez le.
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Des livres j'en lis beaucoup ... Des connus, des inconnus, des timides tout simples, des boursouflés de prétention, des qui t'emmènent en voyage, d'autres qui te font voir la vie en couleurs. Certains te font verser une larme ou exploser de rire, d'autres te font regretter d'avoir fait chauffer ta carte bleue... mais un livre comme celui-là c'était inconnu à mon bataillon.

Il m'a fallu un certain temps pour le «digérer» et le partager.
Ben, oui, quoi ce n'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de découvrir un O.L.N.I. (Objet Littéraire Non Identifié) parce que c'est bien de cela dont il s'agit ... un «truc» à part, qui va passionner les amateurs du mot juste, interpeller les curieux du processus de création, titiller les interrogatifs de la page blanche ...

L'auteur ? On ne sait pas grand chose du bonhomme ... et, même quand on en sait plus, il reste encore à découvrir. Une seule certitude, c'est l'un des rares albatros humains que je connaisse ... (tu vois ce que je veux dire si t'as lu Baudelaire ...). Il ne sait pas quoi faire de ses ailes de géant alors il écrit des livres. A toi de voir ...

Le titre ? Ben c'est Ouf ! Tu parles d'un titre ! Déjà, là, t'as même pas commencé le bouquin que t'es en pleine agitation neuronale. Alors est-ce que c'est Ouf parce que c'est Fou (tu vois ce que je veux dire si tu parles le verlan couramment) ou parce que, Ouf, ... enfin, le héros arrive au bout de son projet (tu vois ce que je veux dire si tu es un procrastinateur avéré) ? Ou les deux ? Ou aucun des deux? A toi de voir ...

L'histoire ? C'est l'histoire d'un mec (tu la vois l'allusion à Coluche?)... qui écrit un roman ... ou presque. Toute la nuance est là ... C'est un roman ou presque ! J'invente rien, c'est marqué dessus. Et c'est pas la 4ème de couverture qui va illuminer ta réflexion... on te propose le choix entre «un roman, un soulagement, une bouffée d'air ou une apologie de la folie».
Donc, le héros, qui ne s'appelle pas Bob Morane (tu vois ce que je veux dire si tu connais Indochine), essaie d'écrire un roman ... ou presque, en un mois, de passer de la procrastination à la procrastinaCtion. Mais c'est sans compter le piège tendu par un certain Karl. Son pote Ray Charles, sa Douce, le docteur Zorba et La petite voix dans sa tête (Je te l'ai dit ou pas que le gars il est pas tout seul dans sa tête?) composent une attachante galerie de personnages qui rendent la quête et l'enquête du personnage d'autant plus passionnantes. A toi de voir...

Et la fin ? Et bien la fin, elle est magistrale, un point c'est tout ! A toi de voir...

En bref, si t'es un peu curieux, si tu t'intéresses au processus créatif, si tu aimes réfléchir et sortir des sentiers battus, si tu aimes les auteurs et les histoires atypiques tu vas te régaler, sinon ben c'est raté ! A toi de voir ...

Un roman qui mérite d'être lu pour te bousculer un peu.
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Bonjour à tous !
Voici mon retour de « OUF ! » un roman très atypique de Phileas.
Je ne chercherai pas à le résumer, la 4ème de couverture le fait très bien :

« Un procrastinateur patenté relève le défi d'écrire un roman en un mois. Au fur et à mesure que la date fatidique approche, il se voit confronté à des situations pour le moins étranges. À deux doigts de perdre la raison, il tire un constat implacable : « lire, c'est risquer de se faire bousculer par un auteur embusqué derrière des intentions inavouables. Ecrire, c'est pire. »

Cela ne va pas s'arranger lorsqu'un inconnu lui suggère d'abandonner ce projet, lui soufflant qu'il ne s'agit que d'une machination initiée par un certain Karl, personnage énigmatique aux intentions obscures. Celui qui s'improvise écrivain va tout tenter pour s'extirper de ce piège. L'enquête doit être menée. Qui est ce Karl, et quel est son but ? »

Mon ressenti :
Je souhaite plutôt rendre compte de la particularité de ce « roman… ou presque… ».
Au départ, un maître mot : « la procrastination » qui provient sans doute de la peur devant la page blanche, hantise de tous les écrivains, ou de la puissance créatrice des mots qui font naître un décor, des personnages, des actions.
L'auteur est-il maître de ses personnages et ses personnages peuvent-ils le modifier et influer sur sa vie ? L'auteur doit être le « chien de berger » de ses personnages pour les empêcher de dérailler… Pour Phileas c'est le contraire qui se produit.
On assiste à une vengeance : un personnage mécontent du sort qui lui a été attribué harcelle l'auteur qui l'a créé.
Faut-il brûler les livres ? C'est ce qu'affirme le personnage.

Mon opinion :
« Kafka » et « Alice au Pays des Merveilles » disputent une partie de flipper…
On est secoué dans tous les sens par la multiplicité des procédés des différents genres littéraires utilisés mais détournés à d'autres fins.
Policier : enquête, enlèvement, séquestration, interrogatoires… Thriller : l'auteur et le lecteur en permanence dans l'inquiétude grâce à de multiples rebondissements. Fantastique : des mots s'effacent ou refusent de se faire entendre, des réverbères s'allument tout seuls, un orage se localise sur l'auteur, une présence invisible dans la maison, la folie semble s'installer comme dans « le Horla » De Maupassant … SF, avec la multiplicité des univers imbriqués, chers à Philip K. Dick, l'auteur d'«Ubik » et de P.J. Farmer, dans la série « Les Portes de la Création ».

Sur un « sujet bateau », l'angoisse devant la page blanche que connaissent tous les auteurs, Phileas a réussi un exercice de style brillant qui aboutit à un véritable « page-turner ».
Un roman qui sème le chaos dans votre tête, qui multiplie les interrogations, parfois existentielles, les genres et leurs poncifs, dont vous risquez de sortir K.O.
OUF ! …
L'ai-je bien défendu ? À vous de lire ! … ce Roman… ou presque
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Bonjour à tous !
Voici mon retour de « OUF ! » un roman très atypique de Phileas.
Je ne chercherai pas à le résumer, la 4ème de couverture le fait très bien :

« Un procrastinateur patenté relève le défi d'écrire un roman en un mois. Au fur et à mesure que la date fatidique approche, il se voit confronté à des situations pour le moins étranges. À deux doigts de perdre la raison, il tire un constat implacable : « lire, c'est risquer de se faire bousculer par un auteur embusqué derrière des intentions inavouables. Ecrire, c'est pire. »

Cela ne va pas s'arranger lorsqu'un inconnu lui suggère d'abandonner ce projet, lui soufflant qu'il ne s'agit que d'une machination initiée par un certain Karl, personnage énigmatique aux intentions obscures. Celui qui s'improvise écrivain va tout tenter pour s'extirper de ce piège. L'enquête doit être menée. Qui est ce Karl, et quel est son but ? »

Mon ressenti :
Je souhaite plutôt rendre compte de la particularité de ce « roman… ou presque… ».
Au départ, un maître mot : « la procrastination » qui provient sans doute de la peur devant la page blanche, hantise de tous les écrivains, ou de la puissance créatrice des mots qui font naître un décor, des personnages, des actions.
L'auteur est-il maître de ses personnages et ses personnages peuvent-ils le modifier et influer sur sa vie ? L'auteur doit être le « chien de berger » de ses personnages pour les empêcher de dérailler… Pour Phileas c'est le contraire qui se produit.
On assiste à une vengeance : un personnage mécontent du sort qui lui a été attribué harcelle l'auteur qui l'a créé.
Faut-il brûler les livres ? C'est ce qu'affirme le personnage.

Mon opinion :
« Kafka » et « Alice au Pays des Merveilles » disputent une partie de flipper…
On est secoué dans tous les sens par la multiplicité des procédés des différents genres littéraires utilisés mais détournés à d'autres fins.
Policier : enquête, enlèvement, séquestration, interrogatoires… Thriller : l'auteur et le lecteur en permanence dans l'inquiétude grâce à de multiples rebondissements. Fantastique : des mots s'effacent ou refusent de se faire entendre, des réverbères s'allument tout seuls, un orage se localise sur l'auteur, une présence invisible dans la maison, la folie semble s'installer comme dans « le Horla » De Maupassant … SF, avec la multiplicité des univers imbriqués, chers à Philip K. Dick, l'auteur d'«Ubik » et de P.J. Farmer, dans la série « Les Portes de la Création ».

Sur un « sujet bateau », l'angoisse devant la page blanche que connaissent tous les auteurs, Phileas a réussi un exercice de style brillant qui aboutit à un véritable « page-turner ».
Un roman qui sème le chaos dans votre tête, qui multiplie les interrogations, parfois existentielles, les genres et leurs poncifs, dont vous risquez de sortir K.O.
OUF ! …
L'ai-je bien défendu ? À vous de lire ! … ce Roman… ou presque.

Genre : Roman… ou presque…
Nombre de pages : 156
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Un livre très original, inclassable!
Un vrai moment de plaisir.
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