Trop prévisible, trop sombre, trop gore.
Dès les premiers chapitres on a une impression de déjà-lu.
Beaucoup de tourments pour faire illusion : tempête, esprit dérangé, meurtres atroces…
Mais aucune surprise à la fin et surtout beaucoup de déception.
L'élément surnaturel que ses collègues évoquaient était simplement la conséquence de leur confusion face à une acuité mentale qu'ils ne pouvaient pas comprendre. Tel un surdoué de la musique ou des mathématiques, Jake était capable de percevoir des choses que les gens de son entourage ne percevaient pas, moyennant quoi ils étaient mal à l'aise en sa présence. Certains avaient même peur de lui.
Après tout, vous n'atteignez pas le sommet d'un milieu aussi nombriliste que celui de l'art moderne sans être un baratineur de première. Un doctorat de léchage de cul ne faisait pas de mal.
Les types comme Francis Collins estiment que Dieu a dû être mêlé à notre création parce que la moralité existe. J’examine notre foutue espèce et je ne vois absolument pas de quoi il parle. L’histoire de ce monde – surtout l’histoire religieuse – est un infâme bain de sang. » Jake secoua la tête. « Donc, non, je ne crois pas au diable. Je n’en ai pas besoin, l’homme a commis suffisamment d’horreurs pour m’impressionner. Donnez aux humains la possibilité de se comporter de façon monstrueuse et vous ne serez jamais déçu. »
On fait pour la famille des choses qu'on ne ferait pour personne d'autre
- Vous êtes un Ancien alcoolique
- Juste un ivrogne entre deux cuites
Donc, non, je ne crois pas au diable. Je n'en ai pas besoin, l'homme a commis suffisamment d'horreurs pour m'impressionner. Donnez aux humains la possibilité de se comporter de façon monstrueuse et vous ne serez jamais déçu.
(P165)
On aime les choses qui nous détruisent
Le parfum caractéristique de la solitude emplissait la maison
On fait pour la famille des choses qu'on ne ferait pour personne d'autre