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Citations sur L'invisible (35)

Donc, non, je ne crois pas au Diable. Je n’en ai pas besoin, l’homme a commis suffisamment d’horreurs pour m’impressionner. Donnez aux humains la possibilité de se comporter de façon monstrueuse et vous ne serez jamais déçu.
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Écorchés vifs.
Ce n'est pas une coïncidence.
Écorchés vifs.
Je ne veux pas que ce soit lui.
Écorchés vifs.
Pas maintenant.
Écorchés vifs.
Pas après tout ce temps.
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Très déçu et furieux en refermant le livre ! je ne dis pas que c'est mal écrit, je dis simplement qu'on prend le lecteur pour un imbécile, le récit est tout à fait incohérent et l'auteur n'a pas la moindre idée que la psychiatrie criminelle. la dualité du comportement de l'écorcheur est absolument irréaliste et contraire à toute la nosographie. Bref, une imposture qui commence bien, qui tient en haleine un bon moment, il faut le reconnaître, mais qui se termine lamentablement .
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Sa mère lisait un épais livre de poche dont la couverture représentait un homme superbe à la superbe chevelure étreignant une femme superbe à la superbe chevelure. Ils portaient de superbes vêtements, et au loin, au-dessus de leurs épaules [...] on devinait la superbe propriété dans laquelle ils vivaient leur vie superbe. Le livre s'intitulait Les Sang bleu du Connecticut et Jake savait déjà qu'il y aurait des chevaux dedans. Des chevaux à la longue queue bien peignée. Probablement un jet privé. Des baisers et des étreintes musclées. De la pure merde.
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Et il trahit alors la promesse qu'il avait faite à une morte quarante-deux ans plus tôt.
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Car notre esprit n'est pas conçu pour oublier, mais pour ignorer.
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Quelques anciens, ceux qui avaient tout abandonné pour le boulot – leur famille, leurs rêves, leur vie – s’apercevaient qu’une fois qu’on leur avait repris leur plaque et que leur arme était remisée au coffre il n’y avait vraiment plus grand-chose à attendre de l’existence. Après tout, quand vous aviez tout sacrifié pour votre boulot, qu’est-ce qui vous restait après?
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"Je croyais que vous étiez une espèce de tordu qui donnait dans le paranormal."
L'expression de Jake se fit un peu plus dure.
"Les médiums n'existent pas. Ça s'appelle la lecture à froid. Vous vous souvenez du Signe des quatre, l'aventure de Sherlock Holmes ?
- Je suis plutôt branché cinéma."
Jake sourit.
"Watson tend une montre à Holmes et lui demande ce qu'il peut déduire rien qu'en l'observant. Watson suppose que comme c'est un objet produit en série, il ne révèlera rien de son propriétaire. Holmes l'examine, la lui rend, et il débite une série de détails sur le type à qui elle appartenait - qu'il identifie comme le frère de Watson. C'était un alcoolique, il était souvent fauché, et ainsi de suite, avec cette foutue suffisance que tout le monde connait à Holmes. Watson s'énerve et accuse Holmes d'avoir contacté sa famille pour apprendre l'histoire de son pauvre frère." Jake but une gorgée de café. "Mais les déductions étaient simples. Holmes a vu les initiales et il a su qu'elle avait appartenu au père de Watson, après quoi elle avait fini entre les mains du fils ainé - comme le voulait la coutume. Il y avait des numéros de prêteur sur gages gravés sur le boitier, ce qui indiquait que le frère était fréquemment endetté - sinon il n'aurait pas mis la montre en gage, et il n'aurait pas non plus été en mesure de la récupérer. Le trou de la serrure du fermoir était éraflé et Holmes en a déduit qu'aucun homme sobre n'aurait manqué aussi fréquemment le trou. Pour Holmes, c'était évident. Watson prenait ça pour de la sorcellerie.
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Il n'y a pas de vie après la mort. Il n'y a pas de lutin, pas d'illuminations religieuses, pas de visiteurs extraterrestres. Il n'y a que des ruptures psychotiques avec la réalité, des hallucinations provoquées par des substances chimiques et, surtout, il y a de bons vieux mensonges à la con.
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Bon thriller à lire pendant les vacances mais trop d'incohérences. Il ne faut pas chercher la petite bête mais se laisser porter... par la tempête ?! J'ai lu certaines critiques mais selon moi, si l'idée de cette tempête est bonne, la tempête en elle-même manque de densité. Je me suis laissée prendre par l'intrigue. C'est le but ! Mais je reviens sur l'incohérence, je me suis dit à plusieurs reprises qu'il y avait des questions que je me serais posées si j'avais été policier, ce que je ne suis pas, loin de là ! Et ces mois sans mémoire ??? Les idées sont excellentes mais j'ai eu l'impression que tout n'était pas abouti. Bah ! C'est tout de même un bon polar pour l'été !
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