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Vérence , roi bienveillant et diplomate du royaume de Lancre, décide d'inviter les vampires d'Underwald au château. Sauf que ceux-ci décident que ce sera leur nouveau fief ….mais c'est sans compter sur la résistance de nos sorcières préférés et de Lavoine, l'envoyé de la religion d'Om. Un tome encore bien réjouissant au côté de Mémé, Nounou, Magrat et Agnès (sans oublier Perdita) et de vampires plutôt originaux ! Un grand plus avec Igor et les pixies qui m'ont beaucoup fait rire :) Je suis triste de savoir qu'elles ne seront plus les héroïnes d'un tome mais j'espère les recroiser assez vite , ce serait chouette ^^
Challenge Mauvais genre
Challenge Séries 2019
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Rester dans le Cou Et Tasse de thé

Ce n'est pas toujours facile d'être moderne. On a vécu beaucoup de changements à notre petite échelle. Abandon des corsets et crinolines, électricité, moteur à explosion, internet, l'indifférence dans les villes (sauf quand il y a besoin de quelque chose).
Ce n'est pas facile donc.
Le roi Verence, toujours aussi co-naïf, souhaite s'ouvrir au monde quel qu'il soit.
Le comte Malgopyr essaie d'être corporate et à l'écoute de ses victi-collaborateurs pour imposer un vampYrisme productif d'open space.
Les sorcières vieillissent, leurs pouvoirs faiblissent.

Heureusement les Phoenix meurent toujours pour revivre.
Et le disque monde sur sa tortue continue d'avancer.

On y gagne une joyeuse bazardoatmosphère, de celles qui continuent à nous accrocher à l'univers. A rire, grincer, ricaner.
Sans se moquer des sorcières. 'Tention.



[lecture commune]
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En lisant les Pratchett dans l'ordre, je me rends compte de la richesse, l'épaisseur du monde au fur et à mesure des tomes. Pratchett construit son univers au fil de ses romans et ça marche, comme un vin qui vieillit bien. Il semblerait que la même chose s'applique au sein de ses cycles : Carpe Jugulum est le dernier tome à mettre en scène les Sorcières il semblerait. J'en viens à le regretter tellement ce tome m'a plu, c'est sûrement mon préféré. C'est rare que pour un Pratchett les pages se tournent seules et que je ne veuille pas poser le livre. Ca m'est pourtant arrivée dans ce tome-ci. Avec plaisir, nous retrouvons le royaume de Lancre : Vérence et Magrat baptisent leur princesse, Mémé boude, Nounou est... égale à elle-même et Agnès Créttine a fort à faire avec sa double personnalité. 4 sorcières... une de trop, non?
En plus de ça, Vérence en roi très moderne qu'il est, décide de développer la diplomatie et accueille chez lui d'autres créatures... comme un clan de vampyres ( ils y tiennent) ayant pour devise "Carpe Jugulum" ( Saute à la gorge ...). Une lecture de circonstance avec Halloween dans quelques semaines... ^^



#PumpkinAutumnChallenge
LC et Challenge Pratchett
Challenge le tour du scrabble en 80 jours ( 6e éd)
Challenge Trivial Reading IV
Challenge Mauvais Genres
Challenge 50 objets 2019-2020
Challenge Séries.

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Voilà un Pratchett épique ! Entre la famille de vampires Margopyr et les sorcières de Lancre ça va chauffer . Énormément d'action , d'inventions farfelues , de références à toute la culture vampirique et des réflexions sur la croyance et ses pouvoirs . Nouveaux personnages : Les Nac mac Feegle sortes d'écossais nains particulièrement virulents .
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Carpe Jugulum, dernier tome des Sorcières, revisite les légendes autours des vampires… Qu'a-t-il pris au Roi Vérence d'inviter des vampires ? du coup charge aux Sorcières de s'en débarrasser… Mais l'ail, l'eau bénite et le citron n'ont aucun effet sur eux. Comment s'en débarrasser alors ?
Un tome qui apporte une réflexion sur le modernisme et les traditions.
Carpe Jugulum fait sans conteste partie de mes tomes préférés.
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Un excellent volume de la série très riche en personnages secondaires savoureux mais essentiel dans le parcours de Mémé Ciredutemps et les sorcières (la jeune fille, la mère et… l'autre^^).
Avec la naissance du bébé de Magrat au château, Mémé Ciredutemps se remet en question et n'est plus sûre de trouver sa place… d'autant qu'on ne l'a même pas invitée au baptême !
Il y a Agnès / Perdita, la nouvelle jeune sorcière, toujours aux prises avec sa double personnalité.
Lorsque des Vampyres (nouvelle génération plus moderne et bling bling que les vampires traditionnels) décident de s'approprier le Royaume de Lancre, alors que Mémé a disparu, Nounou Ogg organise une offensive en recrutant sa famille mais aussi les Pixies bleus au parler très drôle.
Il y a aussi le Très Révérend Laverdure qui essaye de propager la parole d'Om et qui va se révéler bien plus fort qu'il ne l'imaginait lui-même aux côtés de Mémé qui ne le ménage pourtant pas.
Et puis un coup de coeur pour Igor (et Réfidus son chien) qui regrette les anciennes manières du vieux Comte et les portes qui grincent !
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L'idée de base de "Carpe Jugulum" était ambitieuse : confronter chacune des trois (désormais trois et demie en gardant Magrat, trois-quarts si on compte les doubles personnalités) à leur côté sombre : Esmé à sa tentation de tout dominer... ou de tout abandonner, Nounou à son agressivité pouvant la faire passer de joyeuse vieille femme à vieille bique invétérée, Agnès-Perdita à son envie d'enfreindre les codes qu'elle s'impose pour mener une vie que je qualifierais de gueulamour, et enfin Magrat et sa difficulté à devenir une mère accomplie. Ajoutez en parallèle à cela un peu d'accomplissement de personnages tels que le roi Vérence ou encore le petit nouveau qu'est le nouveau prêtre d'Om, et vous vous demandez comment on va pouvoir y placer un "Bal des Vampires".
Sauf que l'auteur a de l'expérience, avec ses personnages creusés et qu'il a eu tout le temps de complexifier au fil des années sans jamais perdre leur part de dérision et d'absurde : le même cocktail réaliste/irréaliste qu'on nous sert depuis le premier tome en somme. Mais si l'histoire réussit à prendre la sauce, c'est sans compter quelques incohérences (Vlad est le grand ou le petit frère, il faudrait se décider) ou idées sources de bon gags mais venant briser la dramaticité du récit (si les vampires ressuscitent quoi qu'il arrive, alors pourquoi lutter contre eux ?).
Et puis bon sang, ç'a beau être drôle, qu'est-ce que c'est long. On avait déjà eu droit à ça dans d'autres tomes, et on s'y était habitués. Mais là c'est pire, et j'y retrouve là surtout un problème de "La République des Voleurs", c'est : quand vous êtes face à un adversaire aussi ou plus puissant que vous alors que vous êtes déjà très puissant et que lui a toujours un coup d'avance, alors le récit a tendance à s'éterniser, et même si la chute étonne, ça n'en rajoute pas moins pas mal de poids dans le cartable. "Carpe jugulum", c'est aussi le langage des Nac Mac Feegle qui, bien que pittoresque, reste foutrement difficile à lire, et qui aparaet paerteut dins l'raecit, ce qui n'arrange pas les choses.
Malgré tout restent quelques scènes d'anthologie : le petit lever du roi Vérence (qui avec les pixies prend des allures très... pittoresques), ou encore les scènes de famille chez les vampires, très colorées également. Pas le meilleur de la série, mais qui si on apprécie l'humour, mérite qu'on s'y attarde.
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Un très bob opus des "Annales du Disque-Monde" qui, comme à l'accoutumé, traite avec humour et désinvolture, de sujet sérieux.
Cette fois, les sorcières sont aux prises avec des vampires qui se veulent modernes.
Les temps changent, mais pas les pratiques. Les humains servent toujours de bétail et se font saigner comme avant, mais poliment.
Une critique de la politique et des politiciens qui vaut le détour et de la royauté, avec respect, comme il se doit.
Certains aspects traitent cependant de problèmes trop anglais pour être appréciés, mais quoi de plus normal ?
Comme le souligne Mémé Ciredutemps, ils peuvent tout nous prendre, mais pas notre esprit, et c'est ce qu'on a de plus précieux.
Un tome que j'ai beaucoup aimé.
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Un nouvel ordre mondial va s'instaurer, et cela sera fait par les Vampyres, avec un y car ça fait plus moderne. Cette nouvelle modernisation venant d'Uberwald, a pour but de conquérir le monde, mais moins violemment que la façon de faire des humains, pour rallier idéologie et politique. Comment la famille de vampyres Margopyr vont-ils faire ? Non pas par Big Brother, car il n'y a pas encore toute cette technologie, mais par quelques coups de dents bien placées dans le cou comme l'indique le titre « Carpe Jugulum. »

Mais la lutte s'annonce difficile. Premièrement les vampyres ont eu des siècles pour s'être endurcis et changer de méthodes. Deuxièmement comme les humains n'ont pas de pouvoirs comme les vampyres, cette noble quête de protection se fera par nos amies les sorcières : Mémé Ciredutemps, Nounou Ogg, Agnès Créttine Perdita (voire tome 18) Magrat Goussedail Reine de Lancre, et Lavoine un prêtre d'Om (religion découverte dans le tome 13). Sauf que comme le dit le résumé de quatrième de couverture Mémé ne peut rien faire. WHAT ?!! Elle qui est la plus grande sorcière de Lancre, et de sans doute de tout le Disque-monde, elle ne peut rien faire !
... le doute, le désespoir se fait ressentir le long de la lecture. Cette fatalité que tout est perdu d'avance. Mais comme le diront certains dans les moments durs : « On a toujours besoin d'un plus petit que soi ». Et d'autres diront « Aide-toi et le ciel t'aidera » Mais qui des deux viendront aider ?

Un livre entre croyances populaire et de doutes de ce qu'on croit être vrai. Qui nous rappelle d'écouter notre voix intérieure qui questionne encore et toujours.
Entre modernisme et tradition, la transmission doit être faite pour ne pas répéter les erreurs.
Le pouvoir de la suggestion, ô combien terrible, ou formidable selon la personne qui l'utilise.
… Et n'oubliez pas. Ne faites pas confiance en quelqu'un qui n'aurait pas l'air de manquer d'argent, dans un costume trop propre et souriant de trop... vous pourriez être son dîner.


📖 Terry Pratchett est toujours aussi intéressant et agréable à lire. Surtout de lire notre quotidien qu'il met en dérision en pointant du doigt nos travers d'humains, cela nous font paraître tant stupides par la façon de comment on se comporte. 
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Un tome qui revisite le mythe de Vampires à la sauce Disque monde.
Ici les vampires essayent de se moderniser. Ils se désensibilisent à l'ail, se disent que le soleil qui brule c'est psychosomatique, que les symboles religieux m'a fois on s'en accommode même chez soi.

Par contre leur esprit de domination est intact.
Ils veulent faire main basse sur le royaume de Lance. Les humains restent du bétail.
Les sorcières vont faire obstacle...

Un tome moins surprenant que d'habitude avec un personnage quand même intéressant : un prêtre qui se retrouve bien loin de son église sur le terrain.
Et quel terrain ! Peu de monde est réceptif à l'orthodoxie. Les vampires auraient eux-mêmes écrit les livres sacrés....
Alors face à la réalité, il va douter et mettre de l'eau dans son vin.

Mon regret pour le roman : les sorcières ont des pouvoirs parfois cachés, mais en fin de compte, elles sont bien trop puissantes. J'aurais aimé une fin moins "Happy end".
Lien : https://travels-notes.blogsp..
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