(...) il nous faut bien constater qu'il en est de l'histoire des hommes comme de la thérapeutique : il est, en l'espèce, impossible de connaître les conséquences de l'expérience contraire, et tout simplement parce que cette dernière ne peut être tentée.
Autrement dit, pour savoir très précisément ce que la chevalerie a apporté à la civilisation de l'Europe occidentale, il faudrait savoir ce qu'aurait été cette Europe naissante sans la chevalerie, et comparer.