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Livre choisi pour le Q de mon défi ABC, et bien je ne regrette pas ! Franchement j'ai trouve ce manga très amusant, et intrigant, un peu glauque par moments, bref, tout ce que j'aime !
Les questionnements sur son "rêve" par Alice m'ont pas mal fait rire, les "j'aurais préféré ne pas savoir ce que contient mon subconscient" sont bien réalistes, arf !
On ne sait pas trop si son "rêve" est réel ou pas, c'est bien mené.
Les dessins sont beaux, agréables à regarder, les pages se tournent toutes seules, et j'ai envie de connaître la suite, ce qui est bon signe ! A priori il n'y a que 6 tomes, de ce que j'ai vu, donc c'est parfait !
Une chouette découverte !
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Prenez Alice au pays des merveilles et son monde particulièrement farfelu, passez-le entre le main d'une mangaka déjantée, et vous obtiendrez un monde encore plus extravagant que ne l'a souhaité Lewis Caroll. C'et magnifique, onirique, mais aussi inquiétant et parfois à la limite du cauchemardesque.
Les graphismes sont superbe, l'univers d'Alice se prête parfaitement au style Lolita, gothic lolita et à son pendant masculin, c'et truffé de dandy en veston, de créature dont on ne sait plus si ils sont humain ou lapin, ou chat… des démons s'immiscent dans le rêve du rêve, des créatures spectrales s'emparent de ce qu'il reste des morts, car dans ce triple royaume où chacun est en guerre avec son voisin, la vie n'a que peu d'importance, et le maître de l'horloge semble le seul à pouvoir rester neutre dans ce tourbillon de folie mais dissimule néanmoins un secret troublant.
Bref, on retrouve les personnages du roman Alice, sa soeur, La reine de coeur (Vivaldi), le lapin blanc (Peter White), le chapelier, le lièvre de Mars, les cartes soldats… et tout le monde semble aimé Alice contre son gré le plus souvent mais hélas tout le monde n'est pas ce qu'il semble être ni animé des meilleures intentions. Attention Alice, il va falloir être vigilante pour survivre dans ce monde, découvrir qui sont tes vrai amis et pouvoir peut-être espérer regagner ta réalité.
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Je n'ai jamais aimé Alice au pays des merveilles. En étant enfant, je me souviens avoir détesté le dessin animée adapté par Walt Disney. Plus récemment au cinéma, un certain Tim Burton l'a remis à l'ordre du jour. Mais rien n'y fait. La lecture de ce manga délicieusement déjanté m'est apparue comme assez creuse et insipide.

Pour autant, je reconnais que c'est bien dessinée et qu'il y a quelques petits changements par rapport à la version d'origine. Mais bon, cela reste trop loufoque et fantaisiste en ce qui me concerne. L'accent est mis sur les décors et les personnages mais c'est au détriment de l'intrigue qui n'avance pas. C'est véritablement une lecture dite prise de tête.
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J'avais réservé ce livre à la bibliothèque et j'ai attendu au moins deux mois pour l'avoir... Je comprends pourquoi ^^ Les graphismes et le synopsis m'ont toujours attirée, j'avais vraiment hâte de les lire !
Des bishonens à volonté, un remake de Lewis Caroll... Que demande le peuple ? Ce n'est pas un coup de coeur mais ça s'en rapproche. Parait que ça vient d'un otome game (on ne dirait pas, l'ambiance n'est pas assez niaise pour un otome game, et j'aime ça ^^), ça me fait un peu peur pour la suite... (petit rappel : un otome game, c'est un jeu de dating simulation où notre personnage a le choix entre plusieurs scénario avec des garçons différents) J'aime beaucoup Peter White en tout cas et le mystère qui plane autour de lui *_*
J'ai vu et lu plusieurs remake d'Alice dans des mangas/animes et je dois dire que celui-ci est mon préféré. Loin d'être idiote, Alice se rend bien compte qu'elle est entré dans un univers déjanté et se moque parfois d'elle-même "Tout le monde m'aime, ça veut dire qu'inconsciemment je rêve d'être aimé ? Comment je peux être aussi niaise" Ha ha pour une fois qu'une héroïne garde les pieds sur terre !
Par contre, bien que ce soit tiré d'un otome game, j'ai du mal à croire que ce manga soit catalogué dans les shôjos. Certes, les graphismes font un peu shôjos mais on est loin des grands yeux scintillants habituels, et l'histoire n'est pas dégoulinante de romantisme (j'adore les shôjos, ne vous méprenez pas), j'ai même un peu de mal à en voir si on excepte Peter White et le fait qu'il y ait des bishônens partout...

Je me répète une fois de plus, mais les graphismes sont vraiment superbes ! Rien que pour ça, il vaut le coup d'être lu.
Niveau traduction et édition, Ki-Oon fait vraiment du bon boulot. C'est une petite maison d'édition qui a su s'imposer et elle fait maintenant parti de mes favorites. Je n'ai rien à redire sur leur travail.
Lien : http://miyu-neko.blogspot.fr..
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A défaut de pouvoir aller à ma médiathèque favorite, je déniche dans mes bibliothèques perso des séries que j'avais à priori apprécié par le passé. J'avais peur que mes goûts d'ado s'éloignent de mes lectures plus "matures" actuelles, mais ce ne fut pas le cas! Il est bien évident que le côté "tous les garçons m'adulent " m'est complètement indifférent en étant adulte, mais contrairement à ce qu'on pourrait croire l'histoire n'est pas du tout mièvre, Alice n'est pas l'une de ses héroïnes complètement idiotes que l'on croise dans la plupart des shojos! Elle sait se défendre et se faire respecter. Pour toute fan du pays des merveilles, cette adaptation saura les ravir!
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Heart No Kuni No Alice
Traduction : Fédoua Lamodière
Adaptation graphique : Ki-oon

ISBN ; 97823555921551

Avant toute chose, sachez que cette série, qui comprend six volumes, connut en France un succès des plus honorables. Pas seulement en France d'ailleurs, ce qui donna sans doute aux éditeurs l'idée regrettable d'imaginer une "Alice Au Royaume de Trèfle" avant de terminer (on l'espère) par "Alice au Royaume du Joker." Tous les sites consacrés aux mangas vous le diront et vous le répéteront : ces deux dernières séries, qui ne sont d'ailleurs pas dessinées par la même mangaka, ne valent vraiment pas le détour : ce sont des "sequels" dans lesquels des personnages-clefs de la série initiale, comme l'inoubliable Chapelier, ne sont plus que des silhouettes ou presque même si l'on m'a dit que le Chapelier reconquérait sa place auprès d'Alice à la fin de la série "Joker."

A mille lieues au-dessus se situe "Alice Au Royaume de Coeur", qui combine le roman de Lewis Carroll avec diverses intrigues issues de l'imagination des créateurs japonais. le début est le même, bien entendu, à savoir que la jeune Alice dort et rêve dans son jardin, que sa soeur la réveille, lui propose de lire un livre, puis de jouer aux cartes et que, alors que l'aînée s'éloigne vers la maison pour chercher un jeu de cartes, Alice se rendort sans en avoir réellement conscience ...

Jusqu'à ce que jaillisse des fourrés le fameux Lapin Blanc, avec sa jaquette, ses gants et une montre de gousset de taille impressionnante.

Seulement, à ce moment-là, nous basculons à pieds joints dans le manga car le Lapin adopte presque tout de suite l'apparence d'un jeune homme à lunettes, doté de deux longues oreilles de lapin, et qui, Alice l'apprendra plus tard, se nomme Peter White et occupe, au Royaume de Coeur, le poste de Premier ministre de la Reine. Pour épicer un peu les choses, White s'affirme amoureux fou d'Alice et l'entraîne avec lui dans son terrier où, après la descente rituelle, tous deux atterrissent au Royaume de Coeur. Peter veut à tout prix que la jeune fille absorbe le contenu d'une petite fiole et, comme elle s'y refuse avec indignation et méfiance, il la lui fait ingurgiter de force d'une manière que je vous laisse découvrir.

Nous sommes dans un manga "shojo" et la séduction, voire l'érotisme plus ou moins discret sont de rigueur. le destin d'Alice, qui a tant rêvé de ce monde, selon, en tout cas, les dires de Peter, est d'y être aimée par la plupart des hommes qu'elle rencontre - et même par la Reine de Coeur, laquelle répond au joli nom de Vivaldi. le lecteur comprend au passage qu'Alice a été abandonnée par un homme qu'elle aimait (mais qui l'ignorait peut-être) au profit d'une autre qui, en apparaissant un moment en silhouette, nous fait penser immanquablement à la soeur de la jeune fille.

Dans ce premier volume, le lecteur reconnaît sans effort, parmi les jeunes gens, outre le Lapin Blanc personnifié par Peter White, le Lièvre de Mars qui porte ici le nom d'Elliott March et qui occupe sans complexe le poste de second du chef de la pègre locale, le très redouté Chapelier Fou, lequel ressemble trait pour trait ou presque à l'ancien "petit ami" d'Alice. Dès lors, on comprend mieux la fascination que le Chapelier, beau garçon à la façon manga, commence très tôt à exercer sur elle. le manoir du Chapelier est gardé, en principe, par deux garçonnets qui, de leur côté, proviennent en fait d'"Alice Derrière le Miroir" : Tweedledum & Tweedledee, abrégés en "Dum" et "Dee."

Le célèbre Chat du Chester est un membre du Parc d'Attraction appartenant à un personnage "ajouté" par les créateurs, Goround, un farfelu obsédé par la gâchette mais dans le fond assez sympathique, en guerre quasi perpétuelle avec le Chapelier, celui-ci ayant eu la malice de révéler à tout le Royaume son prénom : "Mary." le Chat lui-même est un jeune homme fort attirant bien qu'un peu "punk", nommé Boris.

Autre "acteur" connu - dans le Royaume de Coeur version manga, la population se sépare en "acteurs" (les personnages principaux) et en figurants (domestiques, militaires, etc ...) qui, bien que pouvant parler et agir, possèdent des visages sans traits définis - Ace, le Chevalier (ou bien l'As de coeur, j'avoue ne pas avoir réussi à démêler la chose), dont la caractéristique essentielle est de s'égarer toujours et partout, jusque dans les couloirs du château de la Reine. Charmant et aimable, il "travaille" avec, là encore, un personnage inventé pour les circonstances, Julius l'Horloger, un véritable bourreau de travail, qui traite toutes les montres du pays (chacun, en effet, acteur ou silhouette, possède une montre qui paraît lié à la vie du personnage, comme si cette montre était un coeur).

C'est chez Julius le Misanthrope, dans la Tour de l'Horloge, au beau milieu du royaume et en zone neutre (les autres zones possédant des "chefs" toujours en conflit) qu'Alice finit par s'installer. Bien que bourru et toujours le nez dans ses montres, Julius ne l'inquiète pas - au contraire de White, qu'elle prend pour un déséquilibré absolu, et du Chapelier, lequel lui remémore sans doute trop de souvenirs.

Dans ce premier volume, Alice, qui, à la différence de sa soeur, n'a pas lu le roman de Carroll, avance un peu à l'aveuglette, estimant souvent à par elle que, en ce lieu étrange, c'est un peu à qui paraîtra comme le plus original. Elle prend souvent le thé, notamment avec Vivaldi, la Reine de Coeur, infiniment plus jolie et plus raisonnable que l'abominable mégère aux pulsions aussi tyranniques que meurtrières imaginée par Carroll, puis avec le Chapelier. (Fait à remarquer, Julius, lui, ne prend que du café.) Alice observe également que, dans ce Royaume bizarre, le temps ne s'écoule pas comme il le devrait : on passe ainsi du matin à la nuit complète sans aucun crépuscule.

Enfin, elle constate qu'un certain mystère plane sur les activités de tous (y compris Julius) et que tous ces jeunes gens sont bien prompts à vouloir tirer sur celui ou celle qu'ils tiennent pour leur ennemi, souvent pour une raison futile. Goround, quant à lui, ne semble pas posséder de pistolet mais, comme le violon dont il tire d'ailleurs des sons qui font fuir tout le monde se transforme, quand il le désire, en une arme meurtrière, il se montre sans problème tout aussi bon que les autres à ce petit jeu - car il semble bien que, pour tous, cela tienne du jeu.

J'oubliais de vous signaler la présence de Nightmare, autre personnage imaginé par les Japonais, et qui se définit comme le Maître des Rêves. C'est lui également qui commande aux curieuses petites fioles comme celle dont White a voulu qu'Alice avalât le contenu. Dans le prologue, il est clair que, pour obtenir qu'Alice soit introduite dans la "partie", White a d'ailleurs dû recourir à la complicité de Nightmare.

Tome d'exposition, ce premier volume met très habilement en place et les personnages et l'ambiance vraiment particulière dans laquelle ils évoluent pour beaucoup avec grâce, naturel et nonchalance. Cela n'empêche pas l'action d'avancer, vaille que vaille, et le lecteur de clopiner à la suite d'Alice, à la découverte de ce Royaume de Coeur qui diffère sensiblement de celui de Lewis Carroll. La "chute" est à la fois inquiétante et étonnante et c'est avec impatience qu'on ouvre le second volume, sur lequel nous reviendrons prochainement. ;o)
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Les dessins sont très beaux, c'est la première chose que j'ai remarqué en feuilletant ce manga dans ma médiathèque avant de l'emprunter.
Il s'avère qu'à la lecture c'est un très bon manga. Un coup de coeur pour moi, outre le graphisme très réussi l'histoire est pleine d'humour et de mystères.
Ce classique de Lewis Carols est revisité de manière plaisante.
J'ai hâte de découvrir la suite.
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Alice, héroïne bien connue de nous, se retrouve dans le Pays des Merveilles. Jusque là tout va bien, le terrain est connu. Sauf que voilà : l'entrée dans ce monde s'est fait de force, le carctère d'Alice, et de l'ensemble des personnages, est sensiblement différent.
Une variation sur l'histoire de Lewis Carroll. Les débuts sont prometteurs. Il s'agit surtout ici de présenter les personnages. Ils sont assez nombreux pour un premiers volumes mais ils reviennent plusieurs fois, et on les différencie aisément. Quant à les cerner...pas si simple, pour aucun d'entre eux.
Une série qui m'intrigue...
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J'ai beaucoup aimé "Alice au royaume des coeurs", notamment le personnage d'Alice. A ceux qui croiraient que c'est une copie d'"Alice au pays des merveilles", pas du tout, c'est tout à fait différent ! Et ça nous plonge dans une ambiance différente. ZM603
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☼ Mon avis ☼


Je suis une fan incontesté d'Alice au pays des merveilles, alors quand j'ai vu que ma soeur l'avait empruntée, j'ai tout de suite voulue le lire.
J'ai trouvé cette lecture plus que décevante par son manque de finesse, les protagonistes sont plats, niais et sans intérêt.
Alice se laisse embobiner par tout le monde, elle manque de caractère et de maturité.
Les dessins qui représentent les personnages sont sympathiques mais par contre, les décors ne sont pas assez travaillés, ils devraient être somptueux et pourtant dans ce premier tome ce n'est pas le cas.
L'intrigue manque cruellement d'originalité, Alice passe la plupart du temps à tourner en rond.
Il n'y a pas grand-chose à dire de positifs pour le moment à part quelques graphismes sympathiques.
Ont à un harem de beau garçon qui s'intéresse à une fille sans intelligence.
Je n'est ressentie aucune émotion, alors que pourtant je ne suis pas compliqué pour apprécier les mangas en général, heureusement que je ne l'ai pas acheté, après je vais quand même continuer car je trouve bizarre qu'elle soit aussi bien notée par rapport au travail qui a été fourni.
Peut-être qu'avec les prochains tomes, je serais plus apprécié l'ouvrage du mangaka.

En conclusion : C'est un premier tome qui peut plaire à des jeunes qui recherchent des titres sans prise de tête.
Les personnages sont quand même jolis à regarder.
Ça auraient pu être intéressant, mais au final plus les pages tournais et plus j'étais déçu.
Mais où est donc le pays des merveilles ?
Personnellement je ne l'ai pas trouvé dans ce titre.

Lien : https://mangastra.blogspot.c..
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