Victoria QuinnObsidian tome 4 sur 4
/5 16 notes
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Résumé :
J'avais perdu pied dès que j'avais senti le fouet dans ma main.Je ne pouvais plus revenir en arrière.J'avais besoin de ça.L'homme que j'avais combattu si longtemps était de retour, plus sauvage que jamais. Rome m'aimerait-elle toujours ?Ou bien partirait-elle ?
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Il aura donc fallu attendre le quatrième et dernier volet de la série Obsidiane pour enfin avoir un peu d'action. Victoria Quinn termine donc sa saga en beauté, et c'est tant mieux.
Nous avions quitté Calloway alors qu'il retrouvait en secret ses démons. le quatrième tome nous promettait donc un peu d'empoignade avec Rome et on n'a pas été déçu. On retrouve dans Black Forever tout ce qui fait le charme de ce type de littérature: du je t'aime moi non plus, des cris, des larmes, de la fureur, du remord, et puis, comme attendu, une "wild card", un accident... et le pardon.
Ce dernier tome se laisse donc dévorer en quelques heures si on a eu la patience de l'atteindre et termine selon un schéma classique et attendu, mais c'est pour cela aussi qu'on commence ce type de roman.
On revient avec Rome et Calloway... Calloway qui est retombé, je ne peux pas dire autrement dans son role de dominateur, un soir ou il avait un peu trop de colère à extériorisé. Rome va t elle se plier à ses envies?
Je l'avais attendu, je n'ai pas été deçue. Ce tome, je l'ai dévoré une fois de plus.
La plume de Victoria Quinn m'enchante, je vous recommande cette série addictive, mais attendez d'avoir tous les livres en votre possession, histoire de n epas etre frustrés
Je l'avais attendu, je n'ai pas été deçue. Ce tome, je l'ai dévoré une fois de plus.
La plume de Victoria Quinn m'enchante, je vous recommande cette série addictive, mais attendez d'avoir tous les livres en votre possession, histoire de n epas etre frustrés
Citations et extraits (16)
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Il m’embrassa, reprenant ses va-et-vient, et me fit l’amour sur ce lit où j’avais perdu ma virginité. Maintenant, si nous nous cramponnions l’un à l’autre, ce n’était plus seulement par désespoir et désir, mais aussi par amour.
Quand il était en moi et que nous étions si intimement liés, je ne pensais plus à rien. Je libérai mes mains de son étreinte pour me cramponner à ses épaules, perçant presque sa chair avec mes ongles. J’ondulai contre lui, avide de son énorme queue.
J’aurais dû m’inquiéter à propos de ce qu’il venait de me dire. J’aurais dû faire appel à la logique pour comprendre que cette relation était en danger. Au bout d’un an, nous n’avions toujours pas atteint la perfection. Il n’avait pas tourné le dos à ses anciennes pratiques parce qu’il en avait besoin. Je ne voulais pas sacrifier mes envies, et lui non plus. Dans ces conditions, avions-nous un avenir ?
J’aurais dû m’inquiéter à propos de ce qu’il venait de me dire. J’aurais dû faire appel à la logique pour comprendre que cette relation était en danger. Au bout d’un an, nous n’avions toujours pas atteint la perfection. Il n’avait pas tourné le dos à ses anciennes pratiques parce qu’il en avait besoin. Je ne voulais pas sacrifier mes envies, et lui non plus. Dans ces conditions, avions-nous un avenir ?
Ce fut le sombre désir dans son regard qui me poussa dans le précipice. J’adorais qu’il me possède, qu’il me revendique dès qu’il rentrait à la maison. Il ne voulait pas attendre une minute, pas même une seconde, pour m’avoir. Il me faisait des choses que je n’aurais laissé aucun autre me faire – parce que c’était lui.
Sa queue enfla dans mon tunnel et je compris ce qui allait suivre.
Sa queue enfla dans mon tunnel et je compris ce qui allait suivre.
C’était la première fois que je vivais avec un homme, mais j’avais toujours rêvé que ça se passe comme ça. Sa présence s’attardait dans la maison après son départ. Cela ne me dérangeait pas de ranger derrière lui parce que c’était une manière d’être proche de lui. J’avais l’impression d’être liée à ses affaires personnelles, à l’homme qu’il était.
Je voulais que ça dure toute la vie.
Je voulais que ça dure toute la vie.
J’avais peur d’être violée. C’était une terreur profondément ancrée en moi comme dans toutes les femmes. Je ne pensais pas que Hank me tuerait, mais qu’il m’utilise de cette façon était tout aussi terrible. J’étais obligée de reconnaître la réalité : j’avais besoin de Calloway, et pas seulement pour être heureuse.
Mais je ne pouvais plus rien y faire.
Mais je ne pouvais plus rien y faire.
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