La chronique des Bridgerton, tome 2 : Anthony

Par curiosité, il est probable que je lise le volume trois, dans quelques temps, pour donner une chance à cette série de me contredire...
On prend quelques personnages différents et on refait la même chose que dans le premier volume, comme c'est agaçant !
Pour le reste, rien ne diffère de mon billet sur le premier volume de cette saga : sans consistance.

Ai terme de ce second opus, la question à se poser est la suivante : qu'est ce qui me pousse à continuer à lire une série aussi mièvre que celle- ci ?
La réponse ? Simplement, je me demande si l'auteur aurait l'audace d'écrire une série en 9 tomes aussi "neuneu" les uns que les autres.
Je nourris l'espoir secret qu'elle se soit améliorée au fil des numéros.
Parce qu'il faut bien le dire, pour une auteure qui déclare qu'elle ne pourrait jamais écrire un roman dans lequel la femme serait une pauvre petite chose fragile abusée par son puissant seigneur, on n'en est quand même pas loin.
Objectivement, dans Daphné et le duc c'est Daphné qui se retrouve mariée avec un homme qui refusait le mariage mais y était contraint parce qu'il avait compromis la demoiselle.
Et dans le second tome, c'est Anthony qui se retrouve marié avec une jeune femme qu'il ne voulait pas, toujours parce qu'il a compromis la belle. On ne peut pas vraiment appeler cela du suspens ou une preuve d'originalité, si ?

Bon, je vais de ce pas attaquer le troisième opus histoire de savoir si un maigre progrès est possible.