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4,04

sur 917 notes
A nouveau ici, j'ai eu une légère impression de réchauffé sur le thème de Cendrillon. Heureusement : c'est très bien réutilisé et adapté. Cette fois, il s'agit d'un coup de foudre (ce qui change des tomes précédents). Au lieu de perdre une chaussure, la belle laisse derrière elle un gant et il y a ensuite une ellipse de deux ans avant que les personnages ne se retrouvent.
A nouveau, la plume de l'autrice est très juste en ce qui concerne les descriptions des sentiments. Elle rend les personnages attachants, en particulier Benedict dont je n'attendais pas grand chose au préalable. Celle qui est réellement révélée par ce tome selon moi est Violet Bridgerton, dans son rôle de mère débordant d'un amour inconditionnel, pleine d'esprit et prête à tout pour le bonheur de ses enfants.
Cependant, j'ai trouvé ce tome trop long et tiré par les cheveux. Il aurait pu aller plus rapidement au but. C'est le bémol.
Je me demande donc comment ils vont l'adapter à l'écran sans tomber dans le cliché de Cendrillon et s'ils vont être capables de respecter d'un peu plus près les convenances et l'intrigue originales.
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La suite de la chronique, cette fois avec un frère qui n'a pas le titre donc pourrait presque se permettre d'épouser qui elle veut... enfin sauf une servante, bien sûr ;) On commence en mode Cendrillon avec sophie qui va masquée au bal chez els Bridgerton, tombe amoureuse de Benedict (et réciproquement) et perd son gant sur place ! Malheureusement la marâtre est encore pire et le prince charmant ne la retrouve pas tout de suite. J'avoue avoir eu mal dans les détours de Sophie. Heureusement elle finit par recroiser Benedict et peu à peu ils vont s'apprécier, elle l'a reconnu mais pas lui... du coup elle n'accepte pas de devenir sa maitresse et lui pense ne pas pouvoir lui proposer autre chose. Après d'autres détours (encore un peu glauques) tout finira bien sûr par se résoudre. On découvre plus le personnage de Violet (la matriarche) dans cet opus et c'est l'un des plus du roman, j'ai beaucoup aimé ce personnage.
Pas sûre de continuer la chronique malgré tout, je vais peut-être passer à la série vidéo !!
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Ce samedi 25 décembre 2021, j'ai égayé ma journée - à mon grand étonnement -, avec la lecture du troisième tome de « La Chronique des Bridgerton » : Benedict.

Benedict n'étant pas le personnage qui me captive le plus, je n'attendais pas grand chose de ce troisième tome. Quelle ne fut donc pas ma surprise d'être happée par l'histoire dès son prologue, une prouesse à attribuer en grande partie à la plume vive et drôle de Julia Quinn.

Dans « Benedict », le conte de Cendrillon est revisité façon Régence : à Penwood Park, Sophie Beckett, la bâtarde d'un lord anglais, doit supporter une belle-mère monstrueuse et ses deux filles, avant d'être réduite à les servir à la mort prématurée de son père. C'est lors d'un bal masqué chez les Bridgerton qu'elle rencontrera Benedict, la sensation de la saison…

Lecture des plus divertissantes, le roman reste fidèle à une mécanique maintenant bien rodée : le désir qui naît là où on ne l'attendait pas, les différences de classes sociales qui peuvent être un frein, les démons intérieurs des personnages qui les empêchent d'atteindre le bonheur, le portrait intime d'un couple en devenir.

Couple attachant, Benedict et Sophie ont en commun de ne pas se dévoiler totalement. Et là où Benedict est un roc sur lequel Sophie peut s'appuyer au besoin, le besoin de cette dernière d'être aimée et de faire partie d'une famille est touchant. Quant à sa détermination à ne pas répéter les erreurs de ses parents, elle est des plus inspirantes. Sophie sait qui elle est et ce qu'elle vaut. Des qualités qui, dans le futur, inspireront très certainement un Benedict encore sur la voie de l'affirmation.

Être soi semble donc être le maître-mot de ce troisième tome, tant pour nos héros que pour une certaine Lady Whistledown… : « Le bonheur est à portée de votre main ; il vous suffit de le saisir ! Vous pouvez changer de vie… »
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Je retrouve avec plaisir les membres de la famille Bridgerton, et plus particulièrement Benedict ici (le deuxième frère). Leur famille est toujours aussi chaleureuse et enjouée, avec une touche d'espieglerie.

Julia Quinn revisite le conte de Cendrillon ici, tout y est : la vilaine maratre, les deux soeurs (même si l'une des deux est gentille et plutôt à plaindre) et la belle jeune fille esclave de cette belle-mère on ne peut plus horrible. le bal, le beau "prince" et la fuite à minuit fait également partie du tableau. L'histoire a, comme d'habitude, un bon rythme, même si certaines situations sont parfois un peu rocambolesques.

Concernant les personnages, nous ne pouvons qu'être touchés par le destin de Sophie, cette jeune fille courageuse au grand coeur.
Concernant Benedict Je pensais qu'il devait être le frère le plus chevaleresque et le plus respectueux des principes, mais j'ai un peu déchanté en voyant son obstination à faire de Sophie sa maîtresse, cela en est devenu gênant. Cette attitude doit cependant probablement refléter une situation qui devait avoit lieu à l'époque...

J'aime beaucouo Violet Bridgerton, la mère de tous ces enfants, et je l'ai encore plus appréciée (si c'est possible) dans ce tome-ci. Elle y apparaît dans toute sa splendeur, mère compréhensive, attentive, femme de caractére qui ne se laisse pas faire et prête à tout pour défendre ceux qu'elle aime.

Le récit est toujours agrémenté de cette petite touche humoristique qui nous donne toujours envie de continuer la lecture. Les chroniques de lady Whistledown sont toujours aussi pétillantes et la plume acérée, mais son identité reste secrète.

Au prochain tome !
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Toujours un plaisir de retrouver cette saga qui est de très bonne qualité dans l écriture et qui ne tombe pas dans la facilité. Chaque personnage de la famille vit une histoire très différente et j'ai beaucoup aimé ce troisième tome qui commence un peu en mode Cendrillon. Vivement mai pour la sortie du 4eme tome.
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Londres, début du XIXe siècle. Fille illégitime du comte de Penwood, Sophie Beckett est traitée comme une moins-que-rien par sa belle-mère. Une nuit, elle se rend au bal masqué en cachette et séduit Benedict Bridgerton, riche aristocrate. Mais celui-ci saura-t-il retrouver la jeune femme sous ses habits de domestique ?

Troisième tome de la saga Bridgerton, Benedict peut être lu de manière complètement indépendante (ce qui est mon cas, puisque je n'avais lu auparavant que le septième tome). On passe d'ailleurs peu de temps avec les membres de la famille (qui a pourtant l'air fascinante) autres que Benedict, le fils cadet et héros du roman. L'histoire, réécriture très libre de Cendrillon, a cette petite touche de magie qui rend le livre vraiment passionnant.

L'intrigue est solide. Elle ne comporte aucune longueur. Les personnages sont tous bien écrits, à commencer par les héros, deux têtes de mules pétillantes d'intelligence, mais aussi les personnages secondaires comme lady Bridgerton, la mère de Benedict. La plume de Julia Quinn est pleine d'humour (les scènes qui mettent Benedict et Sophie face à face valent le détour) et de vivacité. Bref, on passe un excellent moment avec Benedict.

Une romance historique très réussie, qui donne envie de découvrir les autres tomes de la série, à commencer par le suivant, Colin, qui s'annonce extrêmement prometteur.
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Dans famille Bridgerton je demande le numéro 2 :Bénédict.
Tout comme l'a été son frère Anthony, il est la coqueluche des mères de la haute société londonienne. Celui que toutes rêvent de voir leur fille épouser. Sa propre mère rêve de le voir se marier.
Son coeur chavire lors d'un bal masqué pour une belle inconnue mais à minuit, il ne lui restera comme souvenir qu'un gant (et non une pantoufle de vair). Il ne l'a jamais retrouvée et aucune n'a su faire battre son coeur jusqu'à qu'il sauve Sophie une femme de chambre malmenée lors d'une soirée. Mais quelques soient ses sentiments, il ne peut pas oublier sa position sociale et le rang qu'il doit tenir.
Un goût de cendrillon dans cette histoire. J'y ai trouvé moins d'humour que dans les deux premiers.
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La première partie n'est que le remake de Cendrillon :la belle-mère odieuse, les 2 filles sans coeur, principalement l'aînée et notre héroïne leur souffre- douleur.
C' est pour moi sans intérêt et ça traînait en longueur

Ensuite l'histoire commence vraiment et devient captivante. Elle se concentre sur Benedict, le 2ème fils Brigerton et son amour fou mais qui semble impossible

Ce que j'aime dans cette saga, c'est qu'elle s' intéressé en profondeur à chacun des personnages. Ils sont tous liés par leur grande complicité et leur amour de la famille mais leur personnalités sont très différentes et toujours analysées en profondeur.

C'est vrai comme je vous l' ai rappelé dans ma première critique, que l'on compare l'auteure à Jane Austen et ma foi, c'est pertinent. Il faut toutefois remarquer une grande différence. Ces romans-ci sont écrits au 21ème siècle et Julia Quinn n'a pas manqué d'introduire une grande part d'érotisme et de sensualité dans chacune des histoires.

Bref, encore un roman bien agréable à lire!




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C'est l'histoire de Cendrillon, et comme toutes les histoires de princes et princesses, elle termine comme il se doit! Julia Quinn ne déçoit pas... les frères Bridgerton sont beaux, musclés , des amants très très bien attentionnés.... Les filles dont ils tombent amoureux sont très belles, (mais pas les plus belles , pour ne pas décourager les lectrices!) et surtout, très intelligentes et avec un étonnant sens du devoir et des conventions sociales. Encore un bon moment à passer avec ce livre qui se lit vite vite...
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Je tiens un compte instagram sur lequel je publie mes chroniques : labibliothequedepam

Pour ce troisième tome, Julia Quinn revisite l'histoire de Cendrillon. Lors d'un bal masqué somptueux dont on a l'habitude dans le monde de l'aristocratie londonienne, Bénédict, le deuxième fils Bridgerton, fait une rencontre inoubliable. C'est un véritable coup de foudre qu'il a pour cette mystérieuse inconnue dont il perd la trace alors que minuit sonne. Durant plusieurs années, Bénédict n'a plus de nouvelles de sa dulcinée malgré ses recherches. Heureusement, le destin remet Sophie sur son chemin, mais sous ses habits de domestique, saura-t-il la reconnaître ?

J'ai trouvé le choix d'une revisite du conte de Cendrillon assez banal et décevant, rendant les événements en début de roman assez prévisibles. Néanmoins, Julia Quinn a su rapidement s'en détacher et nous offrir d'autres alternatives. Je me suis rapidement attachée aux personnages et surtout à Sophie que la vie n'a pas épargnée. J'ai trouvé l'histoire d'amour entre elle et Bénédict bien amenée, quoi qu'un peu précipitée mais n'oublions pas qu'il s'agit d'un véritable coup de foudre tel qu'on n'en voit que dans les livres ! Comme pour chaque livre, un élément perturbateur vient menacer le bonheur naissant des protagonistes et sa résolution nous obsède à tel point qu'on ne peut plus lâcher le livre avant de l'avoir achevé. Mention spéciale pour Violet Bridgerton qui a tenu un rôle décisif dans ce troisième tome ! Une mère touchante, aimante et bienveillante qui priorise le bonheur de ses enfants aux qu'en dira-t-on.
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