Je termine la lecture de ce court roman et j'éprouve quelques difficultés à déterminer ce que j'en pense. Il se lit bien, est dépaysant, parfois émouvant parfois dérangeant... Mais il me semble qu'il laisse apparaître parfois les techniques d'écriture de l'autrice, sans que cela apporte quelque chose au récit : ici quelques descriptions, là, un retournement de situation, puis un petit tour dans les pensées de ce personnage, une dose de mystère etc
Et finalement, s'agit-il d'un éloge à la solitude ? D'un manifeste contre la maternité ?
En tout cas, la lecture de
la Chienne m'interroge et je serai curieuse de connaître l'avis et le ressenti des autres lecteurs et lectrices.
Merci à Babelio pour l'opération Masse Critique et aux éditions Flammarion, grâce à qui j'ai découvert l'autrice colombienne
Pilar Quintana.