En quittant Thomas, je sens que des ailes me poussent dans le dos.
Je n'ai jamais ressenti cela.....
Mais je n'ai jamais été amoureuse, non plus ! p 135
- Est-ce que ça vous arrive parfois de regretter une fin, d'avoir envie d'en changer ?
- Si je regrette les fins ? Je ne pense pas qu'il faille les regretter, elles marquent un nouveau départ. La fin peut-être une petite lumière qui illumine l'ensemble en lui donnant un sens. p 107
Cinq livres ? Un seul suffira pour le début. Et encore, ça va être difficile de lire un livre déjà lu par d'autres. Je ne suis pas sûre d y arriver. Comment choisir ?
Je circule à travers les rayonnages, caressant le dos des livres du bout des doigts. Ma main s'accroche soudain sur un des ouvrages. Je m'arrête et le saisis. Il fera parfaitement l'affaire. p 8
C'est en lisant qu'on se forge sa propre liberté... Lire, c'est grandir
Et quand bien même une fin serait tragique, c'est de la littérature. Ce n'est pas la vraie vie. Mais c'est en lisant que l'on se forge sa propre liberté... Lire, c'est grandir.
Londre est effectivement une très bonne nouvelle l'interet subit de mon pére pour sa fille délaissée en faveur des bébé infernaux qu'il a eux avec sa nouvelle femme ? Pas un mot depuis neuf mois .Je me croyais débarrassée d'eux
cituation de : le grand roman de ma petite vie
- C’est mon tour. Rappelle moi ton nom. Alvéras. Maya Alvéras. Glissant un marque page dans le livre,la bibliothècaire s’étonne : Tu n’en prend qu’un ? Oui. Tu as le droit d’en prendre plus tu sais ? Oui,je sais,mais je n’aime pas emprunter les livres.Ah ces jeunes qui n’aiment plus lire ! Je ne veux lui dire que ce n’est pas le cas, que c’est faux, que j’aime les livres plus que tout au monde mais je laisse tomber.
Citation choisie par Raphaëlla
Je n'ai pas accroché sur ce livre car je n'ai pas tout compris. Il était compliqué mais rapide à lire. Je vous conseille de le lire si vous aimait réfléchir et que vous appréciez les histoires sur des collégiens...
Amandine
ce livre est super j'ai 11ans et franchement je suis rentre dans l'histoire tout de suite =)
Nous avons souffert côte à côte, sans parvenir à parler de lui. La peine était sans doute trop vive, trop brûlante. Je pensais que je ne me consolerais jamais.
Qu'on ne se console jamais de la perte d'une persone que l'on aime. Et c'est vrai qu'on ne s'en console pas . Mais la douleur s'apaise peu à peu. p 149