Alors soyons clairs, parce que c'est mieux pour la suite des événements. Même si je l'ai déjà dit, je préfère l'écrire à nouveau. Les livres, dans neuf cas sur une dizaine, je les achète avec mes sous personnels. Ça veut dire que j'écris ce que je veux.
Globalement.
Ce roman, j'étais pas parti pour. Dans le sens où je fouillais le rayon livres en attendant que mon automobile ait terminé son check-up. L'antre de la Kulture était en face du garage, dont acte.
Comment écrire sept lignes sans rien dire du bouquin, j'ai le don pour ça.
Pas parti pour, donc, parce que je cherchais à racheter « L'obscure clarté de l'air » de David Van, et que bien sûr, ils ne l'avaient pas. En même temps, le contraire m'aurait étonné. Des piles considérables du dernier Musso, voire du dernier truc à la mode de chez nous, mais pas celui que je cherchais.
Ma tête, passablement irritée, a dû attirer le regard de la responsable du rayon.
« Je peux vous aider ? »
« Non, je t'ai pas sonnée », répondait Helmut, dans ses grandes heures.
Mais comme je suis poli et bienveillant, j'ai dit oui. On a donc fouillé le rayon tous les deux, mais de David Van, point.
« Je peux vous conseiller un roman si vous voulez »
Alors
Antoine Renand, et un autre. Dont auquel je te parlerai quand je l'aurai lu.
J'ai un peu regardé sur le ouaibe, tu me connais.
Que des dithyrambes.
Nom de Dieu, disait mon grand-père quand il trouvait un nouveau coin à champignons.
Surtout des cèpes, pour tout te dire.
Je l'ai terminé hier, le roman dont auquel il est question. Terminé parce que j'en ai assez de balancer mon pognon pour des arbres coupés qui auraient préféré rester debout pour nous faire de l'ombre.
Qu'est-ce donc qu'il y a dedans, vas-tu me demander le regard gourmand ?
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