La Cité, tome 1 : La lumière blanche

extrait
Ce livre est donc innovateur, une très belle découverte qui m'a pas mal retourné par les messages que j'ai compris. Des personnages proches de nous, un jeu phénoménal, mais terriblement angoissant et un univers captivant, qui vous emmènera d'un bout à l'autre du livre jusqu'à une fin qui vous ne laissera qu'une pensée en tête … LA SUITE !!!
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Ce livre était une tentation pour moi qui joue parfois à des jeux vidéos. Quel joueur n'aimerait pas être plongé réellement dans un de ses jeux préférés? Je ne pouvais donc qu'être tentée par ce livre. Mais quelle a été mon aventure avec celui-ci?



J'ai passé un bon moment lecture, mais l'auteur n'est pas allé aussi loin qu'il aurait pu aller et comme je voulais qu'il aille avec un thème comme le jeu vidéo.



Pourtant l'idée de départ est vraiment bien : on perçoit tout dedans comme si on était dans la réalité. Les sens sont mis à contribution : la vue, le toucher, l'ouïe, le goût, les odeurs. Mais c'est vrai que rester cantonné à une cité ne doit pas aider. Ceci dit, on sent qu'on touche au psychologique des joueurs. Personne ne sait le but du jeu car il faut le découvrir par soi-même. Les joueurs deviennent addicts au jeu et ne pensent quasi plus qu'à ça. La vie se moddifie en conséquence ainsi que les relations irl (in real life). Et en plus, on ne peut pas parler de la vie réelle dans le jeu et du jeu dans la vie réelle. Assez frustrant aussi. Imaginez ... vous vous entendez bien avec quelqu'un ... mais vous ne savez pas qui c'est en vrai et vous ne pouvez pas échanger vos mails ou msn ou facebook. Frustrant, n'est-ce pas?



Ceci dit, si vous vous entendez bien avec quelqu'un qui est en réalité chinois ou japonais, vous aurez du mal à communiquer avec lui dans la vie réelle car un des gros plus du jeu, c'est qu'il traduit toutes les langues en français. Pratique, non? :)



Je ne vais pas donner tous les éléments du jeu mais au début de l'aventure "La Cité", je me suis dit qu'il ne se passait pas grand chose. Une impression de jouer aux Sims avec tous les cheat codes dévérouillés. Même si j'adore jouer aux Sims ... je me suis dit que vivre un jeu comme ça en vrai ... ben ... ouais ... c'est pas extra quoi. Mais l'auteur a pensé a ne pas laisser cette impression. Il ajoute quelques petits trucs. Et à ce point de vue-là, je me suis dit que c'est bien car ça ajoute un plus au jeu mais encore une fois c'est pas assez. Mais ... oui, il y a un mais, nous sommes dans le premier tome, nous suivons que peu de personnages et nous avons une fin qui ouvre de nouvelles perspectives au jeu. C'est là que, je pense, le psychologique entre en jeu car La Cité manipule clairement ses joueurs. J'ai aimé sentir monter un peu la tension, qu'il se passe un petit quelque chose ... même si on reste autant dans le flou que les joueurs. En tant que lecteur on peut se mettre à faire des hypothèses sur ce qui se passe. Et à la fin, je me suis dit qu'il se passait quelque chose d'intéressant.



Concernant les personnages, j'ai bien aimé Thomas ... ou Harry selon le monde dans lequel il est. J'aime sa passion pour la magie et je le trouve très touchant quand il est avec son oncle. J'ai un peu mal pour lui quand je vois la relation avec son meilleur pote évoluer dans un sens qu'il n'avait jamais envisagé.



Le personnage de Nadia est sympa. Elle est assez terre à terre et permet à Thomas de rester un peu plus les pieds sur terre. Elle a de la personnalité et on sent qu'elle va avoir un rôle un peu plus grand dans le tome 2.



Au final, j'espère que le tome 2 me surprendra plus que ce premier tome. L'idée est bonne, ya du potentiel, il reste plus qu'à aller un peu plus loin dans le jeu. C'est du jeu vidéo, des possibilités il y en a.



Merci à Babelio et aux éditions Rue du Monde de m'avoir donner la possibilité de découvrir ce livre.
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Qu'est ce que La Cité? C'est en fait un nouveau jeu révolutionnaire, en ligne, qui permet à ses joueurs de se connecter en réseau dans une sorte de nouveau “monde”. Grâce à un casque et des gants, chaque joueur se retrouve complètement coupé de son environnement pour se plonger dans cet univers qu'est La Cité. Sauf qu'il faut savoir qu'au moment de l'inscription, les questions posées déterminent qui seront vos amis et qui seront vos ennemis. C'est ainsi que votre meilleur ami dans la vraie vie peut devenir votre pire ennemi dans le monde virtuel.

Et c'est avec Thomas, alias Harry, que l'on découvre ce que tout cela veut dire réellement. L'engouement du jeu lors de sa sortie fait vite place à une crainte de ce qu'il peut se passer en virtuel et l'impact et le rapport avec le réel.

J'aurais du mal à expliquer pourquoi mais j'ai été réellement prise par l'histoire mais tout comme Thomas qui ne peut plus s'empêcher de se connecter au jeu dès qu'il le peut, j'avais envie de me replonger dans le livre pour savoir la suite.

Au fur et à mesure de la lecture et donc de la découverte de ce monde qui a l'air de ne pas avoir de limites, on comprend que quelque chose se cache réellement derrière La Cité et c'est ce qui fait qu'on veut tout le temps en savoir plus. Thomas, ou plutôt son avatar Harry, part à la pêche aux indices avec ses acolytes.

Un point très sympa de cette histoire, c'est son côté totalement réaliste. Thomas vit dans notre monde tel qu'il l'est aujourd'hui et ce nouveau jeu en réseau ressemble à nos jeux actuels aussi (si l'on met de côté son immersion totale). La découverte du monde, de son environnement, de ses possibilités, se qu'il cache, ses limites etc, mais aussi les communautés qui en parlent, les rumeurs sur ce qu'il y a derrière et surtout l'addiction qu'il peut en résulter. On n'a alors aucun problème pour s'immerger dans l'histoire et comprendre les comportements.

Un autre point agréable est sans nul doute l'évolution de l'histoire. Au début, on retrouve des adolescents qui ont hâte de tester le nouveau jeu à la mode. Puis au fur et à mesure, le côté léger fait place à un environnement inquiétant, oppressant et mauvais où on se rend compte que finalement on ne connaît jamais réellement les gens qui nous sont proches.

Les personnages principaux sont tout ce qu'il y a de plus normaux. Ils vont au lycée, ont des problèmes dans leur famille, ont des amis et des ennemis, une existence banale dans laquelle on se reconnaît bien.

Tous ces points se mêlent très bien pour nous proposer une histoire bien ficelée dont on a envie de connaître le dénouement. Je le conseille fortement, c'est un livre jeunesse qui se lit très facilement car très prenant!
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La cité se lit rapidement.
Thomas se retrouve dans une aventure virtuelle qui lui mange beaucoup de temps. Aurai-je su résister à la tentation de la publicité pour ce jeu ?
Quand on voit que l'on peut passer une grosse partie de son temps à vivre ailleurs que dans sa "vraie " vie c'est déjà un peu angoissant...
Mais quand, en plus, on a des amis dans la cité et qu'on veut les sauver , comprendre comment la ville fonctionne, on est pris au piège !
Thomas , qui aime tant la magie, saura t-il faire la part des choses ?

Pour ceux qui aiment la science-fiction, mais avec une dose de réelle, ce livre est à la fois inquiétant mais aussi reflet de quelques défauts de notre société.

Cette histoire m'a embarquée comme un maelstrom ! Pourtant je ne suis absolument pas fan ni de jeux vidéos ni de tout ce qui touche de près ou de loin à la technologie. Mais là, les personnages nous happent, j'y ai vu également une magnifique métaphore de notre société, ses dérives mai aussi des espoirs portés par certain[E]s.
Vraiment tout ce que j'aime trouver dans la littérature jeunes adultes -comme on dit :( (comme si les autres étaient trop bêtes pour apprécier ! ;)
Les 2 derniers tomes que j'ai lus en décalé des 3 premiers m'ont paru moins excellents que les premiers mais peut-être était-ce dû justement à ce décalage .

En commençant La Cité vous serez comme un geek qui ne souhaite pas décrocher de son jeu avant d'avoir atteint le dernier niveau : vous irez au bout, d'une traite, si vous avez devant vous la possibilité de ne pas être dérangé.
La Cité fait partie de ces livres qu'on lit en une fois, parce qu'ils nous captivent dés les premières lignes et parce qu'ils gardent le lecteur en haleine avec une multitude de rebondissements, savamment dosés.
La Cité commence par une introduction inquiétante, où un garçon est poursuivi. Il y a un narrateur mais on ne sait pour le moment pas qui parle. Puis, retour en arrière, rencontre avec Thomas, le narrateur de ce premier tome, et découverte du jeu La Cité. Tout de suite on est emballé par le concept révolutionnaire et par l'histoire tissée par Karim Ressouni-Demigneux.
Arpentant avec Thomas les rues de la Cité, découvrant ses mystères au fil des pages en compagnie des joueurs, le lecteur lit chapitre après chapitre le récit de plus en plus inquiétant et mystérieux de Thomas. La Cité n'est peut-être pas aussi bienveillante qu'elle ne le dit. Thomas passe de l'enthousiasme à la peur et les questions tombent au fur et à mesure que des nouvelles découvertes se font par les joueurs. Thomas est bientôt pris au piège, sa vie tourne autour de la Cité et il devient un geek : scotché devant l'écran de son ordinateur il passe des heures sur la Cité, les forums et les réseaux sociaux consacrés au jeu, à essayer de voir, de comprendre cet univers.
La Lumière blanche, premier tome de la Cité est un livre captivant et haletant où l'histoire est riche en rebondissements. le lecteur est pris par le récit et les multiples interrogations que le jeu suscite. Karim Ressouni-Demigneux propose une nouvelle série parfaite pour les ados passionnés par les jeux en ligne qui sauront se retrouver en Thomas et qui apprécieront de découvrir la Cité à travers les mots. Une série prometteuse dont on a déjà hâte de lire la suite.

La Cité, c'est l'histoire de Thomas, un adolescent. Lorsque la sortie du jeu a été annoncée, il l'a tout de suite acheté. Son nom ? La Cité. Son But ? Nous n'en savons rien, il faut justement le découvrir. La Cité reconstitue une ville aux étendues presque infinies. C'est comme une réalité virtuelle, une "vie" parallèle avec de nouveaux amis, de nouveaux ennemis et des pouvoirs surnaturels. Nous allons suivre la vie de Thomas aussi bien dans la Cité que dans la vraie vie, nous allons le suivre dans ses aventures, ses péripéties.

J'ai beaucoup aimé ce livre car j'aime les livres de science-fiction et l'intrigue fait que l'on n'a pas envie d'arrêter de le lire. Mais je trouve cela dommage que l'intrigue ne se résolve pas à la fin du livre, c'est comme s'il n'y avait pas
de fin et cela incite à lire les tomes suivant.

Tom est un jeune lycéen passionné par la magie. Tout commence un jour où, en se rendant à l'école, il voit des images extrêmement détaillées d'un «jeu
révolutionnaire ». Il y avait une démo de ce jeu le 3 novembre, le jour de son anniversaire qui était aussi le jour de la mort de sa mère. Réussissant à s'arranger avec son oncle, il repart de la démo avec un bulletin d'inscription qu'il renvoya dès le lendemain. Il s'entraîna à manipuler son avatar jusqu'au 1er Janvier : le « grand jour ». Tom, qui avait choisi Harry comme pseudo dans la cité, avait fait naître celui-ci dans une salle de classe. Il rencontra très vite des amis qui lui étaient destinés : D'abord Arthur, puis JC et Liza. Un jour, Arthur disparut. Malgré les efforts de Harry, JC et Liza, Arthur va-t-il être retrouvé ? La cité est un livre où une grande amitié est créée. C'est un livre très facile à lire sûrement grâce à la taille des écritures et au suspense qui réside dans ce roman.
Ce livre est tout de même un peu long au départ. Alexandre 4°A 2016

Le principe d'un jeu vidéo pouvant déteindre à ce point sur la vie réelle est surprenant. Les règles du jeu et les interdictions énoncées dans ce livre sont vraiment irréalistes. Une atmosphère pesante règne tout au long du roman et pourtant on arrive vite à finir ce livre.
C'est une bonne histoire.