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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Avec une image de couverture et une présentation de l'éditeur aussi réussites, je suis tombée de haut dès que je me suis plongée dans les premières pages.

Le concept du livre m'a vraiment emballée : Thomas, jeune homme de quinze ans, découvre l'univers d'un jeu électronique, la Cité. Ce jeu consiste a évolué dans un monde totalement virtuel mais en temps réel. Les participants ne connaissent pas leur but, ils doivent découvrir par eux-mêmes en quoi consiste cette énigme. Accompagnés de ses amis virtuels, Arthur, Lisa et Jules César, il va apprendre à maîtriser son corps et ses pouvoirs dans cet univers. Mais, il va vite se rendre compte que sa vie virtuelle le rattrape dans la vie réelle, son copain de lycée, Jonathan, devenant vite son ennemi.

L'idée qui fonde le récit est donc convaincante mais ne parvient pas à me convaincre tant j'ai été gênée par le style d'écriture de l'auteur. Dès le début et ça persiste tout le long de l'histoire. Les phrases sont en grande majorité très courtes, parfois mal construites. J'ai noté beaucoup de maladresses au niveau de la syntaxe. La construction des phases semblent empêcher l'auteur de dire tout ce qu'il voudrait. du coup, on a très peu de détails et les faits s'enchainent beaucoup trop vite pour qu'on puisse apprécier un évènement, une action ou une révélation. Pour vous donner un exemple du style de l'auteur, voici l'extrait d'un dialogue entre Thomas « Harry » et Jonathan « Harry » lors de leur première rencontre dans le monde virtuel : « Et pourquoi tu as choisi ce prénom ? – Parce que Harry Potter. Pas toi ? » (p.118). Non, il ne manque pas un bout, c'est bien l'auteur qui a écrit ça comme ça. Et c'est dire à quel point Karim Ressouni-Demigneux épure son texte et ses idées, beaucoup trop à mon goût pour pouvoir apprécier l'histoire.

Si le fond s'était éloigné des chemins déjà exploités dans d'autres histoires, peut-être aurai-je pu faire fis de la forme. Or, ce n'est pas le cas. Ce roman est donc pour moi une grosse déception. Merci aux éditions Rue du monde et à Babelio de m'avoir fait parvenir cet ouvrage !
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Contrairement à ce que je pensais, cette lecture m'a laissée avec une pointe de déception... La quatrième de couverture annonçait un récit prometteur et divertissant, tandis que les critiques sur la toile donnaient vraiment envie de s'attaquer à cette saga... Et pourtant, j'ai trouvé le récit de "La lumière blanche" court et redondant et l'écriture de Karim Ressouni-Demigneux très simple... En outre, je pensais que ce roman s'adressait surtout aux grands ados ! Or, un sixième peut aisément le lire s'il n'a pas peur de parcourir 230 pages...

C'est assez rare, mais ce qui m'a déplu le plus, c'est le style d'écriture de l'auteur. Je l'ai trouvé concis, peu développé et sans grand rythme. Hormis certains lieux, le reste était comme survolé. J'aurais souhaité un peu plus de description, surtout au niveau des personnages car on se cantonne à une brève description physique (cheveux, visage, carrure). Même les scènes d'action sont très rapides, alors qu'elles pourraient être largement développées afin de maintenir le lecteur en haleine ! Hélas, les phrases sont beaucoup trop courtes et vont rapidement à l'essentiel. On passe trop vite à autre chose. C'est ce qui fait que je n'ai pas pu m'attacher aux personnages, ni à ce qu'il arrivait à notre jeune héros.

Pourtant, l'univers s'annonçait riche et prenant ! Dans ce premier tome, on suit le quotidien de Thomas, un ado, qui va découvrir un nouveau jeu : La Cité. Mieux que Les Sims, que GTA ou d'autres jeux vidéos, La Cité est capable de créer une ville entière en 3D où la vie se déroule en temps réel. Les avatars sont uniques : chaque joueur doit passer des tests et divers questionnaires afin de façonner un avatar à son image avec sa personnalité. Seules quelques caractéristiques physiques peuvent être modifiées. J'avoue avoir admiré tout le travail de l'auteur : le jeu donne clairement envie ! D'autant plus que les joueurs ne connaissent pas le but du jeu. C'est à eux de le découvrir en interagissant avec les autres. Un système de traduction instantanée permet à tout le monde d'échanger sans avoir à se heurter à la barrière de la langue. (Combien de fois ai-je rêvé qu'un tel système existe dans certains MMORPG...) Ainsi, j'ai adoré suivre Thomas lorsqu'il découvrait les règles, puis ses premières heures dans le jeu. C'était un véritable régal ! D'autant plus qu'un petit groupe va se former (Arthur, Liza et JC) et va se découvrir des pouvoirs... Quel dommage que mon enthousiasme se soit essoufflé... Très vite, mon ressenti vis-à-vis de la plume de l'auteur a fait surface. Certaines scènes me frustraient : j'avais envie d'en savoir plus ! Alors que d'autres comme le spectacle de magie ne m'intéressaient pas vraiment... Ajoutons à cela un effet de redondance avec des scènes qui se ressemblent un peu trop entre elles ainsi qu'une fin qui laisse le lecteur plein de questions et vous aurez un petit aperçu de ma déception.

Par contre, j'ai aimé le fait que Karim Ressouni-Demigneux mette en avant l'addiction des jeux vidéos. En effet, Thomas passe beaucoup de temps dans La Cité au point de ne plus dormir autant qu'avant, de négliger ses cours, sa famille ou ses vrais amis (pas les virtuels), d'oublier sa passion (la magie) et d'être sans arrêt dans la lune. Il passe son temps sur le jeu... Et lorsque son père le lui confisque, il surfe sur internet afin d'avoir des informations sur La Cité : forums, facebook, sites en tout genre, etc. Il ne quitte pas cet univers un seul instant ! C'est ce qu'il arrive fréquemment, que l'on soit jeune ou non... Pour ma part, j'aime beaucoup jouer sur console ou sur des jeux en ligne. Il fut un temps, j'ai même été comme Thomas : une gameuse qui passait son temps sur un MMORPG. Je trouve donc important de mettre en avant l'effet d'une addiction (qui, rappelons-le, ne concerne pas que les jeux : tout est sujet à une addiction... Cigarettes, alcool, TV, nourriture, sport, etc.).

Malgré ma note et mon ressenti, je pense me pencher sur les autres tomes disponibles à la médiathèque, car la saga permet à chaque protagoniste de s'exprimer (comme la série "U4" ou "Blue Cerises"). Ainsi, si dans le premier tome on suit Thomas, le second va narrer l'histoire de Liza. Les trois autres seront racontés par JC, Jonathan et Arthur. D'après ce que j'ai lu, ce dernier révèlerait beaucoup de choses et permettrait au lecteur de tout comprendre. Il me semble que l'on peut lire les quatre premiers livres dans l'ordre que l'on souhaite (à vérifier), cependant il vaut mieux lire "La Bulle" en dernier...

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Thomas, lycéen passionné de magie, s'inscrit pour participer à un nouveau jeu vidéo, La Cité. Des affiches et un lancement mystérieux. le but du jeu : trouver le but du jeu. Etrange, n'est-ce pas ?

Dans le jeu, Thomas devient Harry, un peu plus âgé que dans la réalité. Il rencontre Arthur, Liza (prononcez "Laïza") et Jules César. Les quatre jeunes gens s'aperçoivent vite qu'ils sont dotés de pouvoirs. Petit à petit, ils explorent la Cité. Thomas y rencontre l'avatar de son meilleur ami, Jonathan. le jeu se déroule tranquillement jusqu'au jour où Arthur est enlevé. Thomas est sûr d'avoir entendu la voix de Jonathan parmi les ravisseurs. Et si, dans la Cité, les amis et les ennemis se confondaient ? A partir de là, la violence fait son apparition dans le jeu et plus personne n'est en sécurité.

Un premier tome plutôt réussi. L'auteur prend quelques raccourcis pour avancer plus vite dans l'histoire. le jeu n'ayant pas de but précis, les personnages ne s'étonnent pas d'avoir des pouvoirs, de découvrir des passages secrets... Mais le héros est attachant ainsi que les personnages secondaires. Les passages de magie sont agréables et instructifs. La fin est plutôt inattendue et les derniers mots m'ont vraiment donné envie de lire la suite "Oui, je crois que j'ai tout compris". Moi aussi, je voudrais tout comprendre !
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Thomas, jeune lycéen passionné de magie de jeux vidéo, trépigne d'impatience car il est inscrit parmi les premiers pour tester un nouveau jeu révolutionnaire, "La Cité". Ce jeu de réalité augmentée lui permet de vivre dans une ville virtuelle au réalisme à couper le souffle où il va se faire de nouveaux amis avec lesquels il va développer de nouveaux pouvoirs mais aussi de nouveaux ennemis...

Je n'ai pas été emballée par ce roman pour ado qui met en scène un jeu vidéo qui recrée un monde parallèle et dont on devine que les enjeux sont plutôt maléfiques. Il se lit plutôt bien mais sans enthousiasme et parfois même avec un peu d'ennui car l'action tourne un peu en rond... Mon fils n'a pas accroché non plus, malgré le scénario de départ... Bof-bof...
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