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Je ne suis pas maman, je ne sais donc pas ce qu'est le grand amour que l'on peut avoir pour son enfant.
Pour autant, même sans connaître ce sentiment, je n'ose imaginer la douleur par laquelle sont passés Anne-Marie et son mari suite à la nuit tragique qui a retiré la vie à leur deux jeunes filles.
Ce livre m'a chamboulée, indéniablement ! Il est de ces lectures qui ne nous laissent pas indemnes et qui nous changent, même si ce changement n'est pas perceptible à première vue.

J'ai beaucoup aimé l'écriture en mode journal. Cela nous permet de suivre les parents au jour le jour et voir comment ils font face à ce drame. C'est intéressant de découvrir que bien qu'ils n'avancent pas au même rythme dans leur deuil, ils se soutiennent tout au long de cette immense épreuve.
J'ai aimé également que Anne-Marie nous parle de la thérapie qu'ils ont entamé tous les deux et le fait qu'ils aillent aux séances ensemble.
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Un livre que j'ai laissé tomber au bout de la cent soixantième pages. En effet, je trouve que l'auteur se répète beaucoup, a chaque page que je tourne, j'ai l'impression de lire la page précédente. Je suis consciente de la douleur et de la peine ressenti par l'auteur, l'émotion est immense mais ce n'est pas vraiment mon type de lecture.
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Bouleversant...
Comment continuer à vivre après le décès tragiques de ses bébés?
C'est à cette dure réalité qu'Anne-Marie Revol et son mari ont dû faire face.
La journaliste décide de présenter cela sous la forme de lettres adressées à ses filles, les maintenant ainsi artificiellement à la vie et dynamisant ainsi la lecture.
C'est très bien écrit, on ne tombe pas dans le pathos même si, indéniablement, les larmes coulent toutes seules lors de la lecture. On saigne aux côtés de l'auteure mais on apprécie son côté "positif", parce que ce qui est merveilleux dans le récit d Anne-Marie Revol c'est cet incommensurable amour de la vie même si, on s'en doute et elle en parle clairement, le suicide a pu être une solution envisagée.
Bravo à elle d'être parvenue à coucher ainsi à l'écrit sa terrible épreuve du deuil.
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Quelle histoire difficile que celle d'Anne-Marie Revol qui perd ses deux petites filles dans un incendie.
Pour nous parler de ce drame, on suit la correspondance qu'elle adresse à ses enfants disparus.
Comme je comprends, cette mère dans son chagrin insurmontable !
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Magnifique témoignage très personnel et intime
L'autrice a perdu ses 2 petites filles dans un incendie dans la maison des grands-parents et comme elle le dit si bien il n'y a pas de mots lorsqu'on perd ses enfants. Une compilation de lettres où elle converse avec ses filles ou donne ses états d'âmes. Un moyen de se reconstruire et d'aller de la vent malgré la tragédie.
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Anne-Marie et Luc sont partis en Grèce en amoureux. Ils ont confié Pénélope (2 𝖆𝖓𝖘 et demi) et Paloma (1 an et demi) à leurs grands-parents.
Ce que nous faisons tous, pour le plus grand bonheur des trois générations.

Seulement, l'impensable se produit. La nuit précédant les retrouvailles, un incendie ravit la vie des petites filles.

Pendant plus d'un an, presque quotidiennement Anne-Marie écrit à ses filles, ses “éternels printemps”, ses “flocons”, ses “fleurs des champs”, ses “herbes folles”, ses “poussins blancs”, ses “soupirs d'amour” : chaque lettre débute par un sobriquet tendre et poétique.

Je ne pensais pas pouvoir lire ce témoignage.
Bouleversant, douloureux, poignant.
Mais aussi d'une incroyable douceur. Luc et Anne-Marie s'aiment et puisent dans leur couple la force nécessaire pour surmonter l'insoutenable. Ensemble ils souffrent et se souviennent, ensemble ils endurent et se reconstruisent.

Nos étoiles ont filé est une déclaration d'amour, un cri d'amour et de tendresse.
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Ce livre est sûrement un des plus beaux livres qu'il m'ait été donné de lire.
Une lecture dont je ne me remettrai jamais .
Je n'ai pas pu le lâcher, bouleversée.
L'auteure a écrit un journal pendant plus d'un an, sous forme de lettres, adressées à ses deux fillettes Pénélope et Paloma, disparues tragiquement le 11 août 2008.
L'écriture est à la fois sensible et remarquable, sans pathos, une écriture vraie pour nous livrer son parcours de deuil (le manque cruel, inhumain, la colère et la révolte mais aussi des moments de joie, d'empathie, de formidables partages, d'amour surtout).
Elle rend ainsi un hommage magnifiquement tendre à ses «deux petites étoiles ».
Un livre d'amour pour Pénélope et Paloma, mais aussi pour Luc, son mari.
Une belle leçon de vie, d'humanité.
J'ai été touchée par cette force et cette pudeur, cette résilience dont à fait preuve ce couple.
Forcément on exulte lorsque l'on apprend la naissance d'un petit frère, Lancelot, un peu plus d'un an après la disparition de Pénélope et Paloma.
Un «ptit mec » à qui ce texte est dédié.
Lancelot peut être fier de ses parents et de ses grandes soeurs, ses petites étoiles qui veillent sur lui.

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Un livre émouvant et sensible sur le deuil. Les deux filles de l'auteur ont péri dans un incendie alors qu'elles étaient chez leurs grands parents... très fort.
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C'est avec une boule dans la gorge que l'on commence ce livre, récit de l'innommable. Puis les pages se tournent vite, nous permettent de suivre l'évolution de la pensée de l'auteure, de son rapport à ce deuil, fait de pas en avant et d'autres en arrière. J'ai plutôt apprécié le fait d'observer ces mouvements, de découvrir le vécu subjectif de l'auteure. Malgré tout, cette authenticité m'a également fait ressentir par moments une certaine gêne à rentrer autant dans l'intimité de ce couple, de cette famille, une certaine ambivalence.
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Magnifique hommage à ces deux "poupées" tragiquement disparues… L'auteur nous fait vraiment ressentir l'horreur
de parents "orphelins de leurs enfants" avec beaucoup de larmes et de dignité..J'ai beaucoup aimé, et souhaite à cette nouvelle famille de se reconstruire avec bonheur..
Belle journée !
Hélène
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