Paternoster

Très attirée par la couverture et par le titre, je m'attendais à un bon thriller psychologique mais j'ai été déçue.
Faut il pleurer ou faut il rire du sort de Dana, jeune fille naïve, outrancièrement fleur bleue, dans le genre Bridget Jones.
En réalité, tous les comportements excessifs des membres de la famille Paternoster ainsi que tous les évènements qui se produisent sont tellement outrés, démesurés que je n'ai pas du tout accroché à l'intrigue, ni pu m'apitoyer sur le sort de l'héroïne. Trop de démesure pour pouvoir considérer le roman au premier degré et prendre au sérieux les manipulations qu'elle subit.
Je pense que la photo et le titre ont été de bons éléments d'appel et ont contribué à l'intérêt pour cette auteure que je ne connaissais pas.

Incompréhension totale !

Dans ce livre, Julia Richard nous propose une plongée dans un jeune couple à qui tout semble réussir.

On fait la connaissance de Dana, jeune fille d'un milieu modeste et de Basil son compagnon issu d'une famille aisée. On les suit alors que Dana va rencontrer ses beaux-parents et passer les vacances chez eux. Très vite, l'ambiance est oppressante.
Pour être totalement honnête, je n'ai pas compris ce roman.

Il est court mais c'est assez lent, il ne se passe pas grand-chose. On attend de comprendre le but de l'histoire mais plus on avance et plus cela devient flou voir incompréhensible.

On a des scènes marquantes mais rien qui selon moi fait décoller le roman.
La fin du roman est beaucoup trop rapide, on nous expédie un dénouement improbable en 2 pages.
J'ai vu beaucoup d'avais dithyrambique mais j'ai l'impression que pour ce roman soit ça passe soit ça casse.
Et pour moi, c'est un énorme flop.

Heureusement, j'avais fait cette lecture en commun car j'ai eu besoin d'échanger pour tenter de comprendre le pourquoi du comment ???

Acheté en festival sur les conseils de lecteurs qui réflexion faite ressemblaient plus à des fans énamourés de l'autrice, je suis tombée de haut avec ce roman. Car on me l'avait sûrement trop bien vendu.

Je n'ai jamais su sous quel angle le prendre, ce qui sera certainement une force pour d'autres. Dans mon cas, le fil de l'histoire n'a jamais connecté, car je n'ai vu qu'une succession de scènes dont certaines se voulaient "choquantes" sans l'être.
Mais ce qui m'a le plus déplu, c'est encore l'héroïne : alors que l'on devrait vraiment compatir pour elle étant donné la toile dans laquelle on la voit tomber, je n'ai pas pu m'empêcher de la trouver presque antipathique, c'est dire le souci.