Percy Jackson et les Olympiens, tome 1 : Le Voleur de foudre

Un schéma narratif simple et prévisible écrit dans un style enfantin… Désolé pour les fans de cette saga, mais, honnêtement, je me suis demandé si contrairement à ce pauvre Percy, j'aurai le courage d'aller au bout de ma quête.
Finalement, l'intrigue générale sauve un peu l'ensemble, en donnant envie au lecteur de savoir ce qui se cache derrière tout ça et ce qui se passera dans les tomes suivants. J'ai également apprécié les passages au sein de la colonie des Sang-Mêlés qui, eux, au moins, sortent de l'imagination de l'auteur.
Peut-être une lecture destinée aux moins de 12 ans ?
Je suis malgré tout curieux de lire la suite, ne serait-ce que pour voir si le style d'écriture évolue et grandit avec son protagoniste.

Percy Jackson est un héros qui s'ignore. Lui, le jeune ado perturbé, exclu de sept écoles, dyslexique et bagarreur, est en fait un demi-dieu. Fils de Poséidon, il a grandi avec sa mère à New York. Aujourd'hui âgé de douze ans, il apprend la vérité et, pour échapper aux monstres qui veulent lui faire la peau, il doit trouver refuge à la colonie des sang-mêlé. L'endroit ressemble en tous points à une colonie de vacances classique, sauf que les pensionnaires sont tous des enfants des Dieux de l'Olympe. Invisible pour les humains, ce lieu idyllique tient en fait plus de la prison dorée que du paradis.

Très rapidement, Percy apprend qu'il va devoir se lancer dans une quête pour retrouver l'éclair primitif de Zeus, un artefact que son père est accusé d'avoir volé. de la réussite de sa mission dépend la paix du monde. Avec ses amis Grover et Annabeth, le voilà parti sur les routes américaines pour affronter de terribles dangers.

De prime abord, Percy Jackson ne semble être qu'un clone d'Harry Potter : un jeune garçon découvre son statut de héros et doit vivre parmi les siens dans un lieu ignoré des simples mortels où les enfants sont regroupés par grandes familles en fonction de leur descendance. Il a pour ami un copain gaffeur et une jeune fille qui a tout de la première de la classe. Il affronte des monstres qu'il parvient à vaincre alors qu'au départ il ne semble avoir aucune chance de s'en sortir… A la lueur de ces quelques éléments communs évidents, Percy Jackson Tiendrait plus du plagiat que de l'oeuvre originale.

Cependant, la saga de Rick Riordan parvient à se créer une identité propre. L'univers mythologique est présenté avec une grande exactitude et diffère grandement de celui d'Harry. de plus, les événements se déroulent à l'extérieur de la colonie. Les trois amis se lancent dans une sorte de Road Trip qui les mènera de New York à Los Angeles en passant par St Louis, Denver ou encore Las Vegas. L'action est aussi beaucoup plus trépidante que dans les romans de JK Rowling. Les rencontres avec les monstres et les combats sont nombreux toujours très variés. La vraie force du récit est de parvenir à inclure la mythologie et son folklore dans l'Amérique d'aujourd‘hui.

Si je reconnais sans problème beaucoup d'atouts et de points positifs dans les aventures de jeune Percy, il n'en demeure pas moins que de nombreux défauts sautent aux yeux. le problème majeur, à mon sens, est que tout cela est très mal écrit. Et je ne crois pas que la traduction soit la cause de cette médiocrité. Riordan a choisi d'écrire son texte à la première personne, donnant l'impression au lecteur de parcourir le journal intime de Percy Jackson. C'est une intention louable, mais il a trop respecté le coté « mauvais élève » de son héros. Résultat, on se retrouve avec un texte très peu littéraire, des dialogues « mal ficelés » et des descriptions bien pauvres. Autre soucis, le manque de crédibilité de certains moments clés : le combat contre le Dieu responsable des déboires de Percy (ne pas spoiler !) se déroule et se termine trop facilement. de même, la façon avec laquelle Annabeth trompe Cerbère est tout simplement ridicule.

Bref, vous l'aurez compris, cette lecture ne m'a pas emballé. Mal écrit, parfois peu crédible, aussi vite avalé qu'oublié, ce premier volume de la saga est l'équivalent d'un repas au fast-food. Une différence tout de même : il n'est pas indigeste au point de me rester sur l'estomac !

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Sorte de roman initiatique, très clairement inspiré de Harry Potter version antiquités grecques et romaines.
Je suis plutôt bon public pour les romans jeunes adultes voire adolescents, mais là franchement je n'ai rien trouvé à sauver. J'en avais beaucoup entendu parler et je suis donc un peu déçue. C'est plat, c'est mal écrit, et on retrouve toutes les deux pages des situations qui en rappellent d'autres, déjà lues, déjà vues. Pour moi, ce roman n'a strictement aucun intérêt.

Les dieux de l'Olympe et les monstres qui peuplaient l'imaginaire grec antique se sont transportés en Italie puis au fil des siècles, aux Etats-Unis.

De nos jours, Percy Jackson est un adolescent apparemment comme les autres mais qui découvre bientôt qu'il est le fils de Poséidon. Échappant de justesse à l'attaque du Minotaure, il trouve refuge dans un camp réservé aux demi-dieux. Il est alors chargé de retrouver le foudre de Zeus afin d'éviter une troisième guerre mondiale, accompagné de son protecteur Grover, un satyre, et d'Annabeth, la fille d'Athéna. Cette mission va lui valoir de traverser les Etats-Unis traqué par des créatures monstrueuses : Méduse, les Parques qui tissent le fil de la vie humaine, le Cyclope pour ne citer qu'eux, et de découvrir les lieux les plus exaltants de la mythologie : les Enfers et l'Olympe.

Je comprends l'engouement des ados pour cette série et son héros qui leur ressemble (un jeune pas très à l'aise dans le système scolaire, une famille recomposée) mais la longueur du roman (sans parler des suites...), le style simpliste, le récit au passé composé m'ont empêchée de vraiment entrer dans l'histoire et de l'apprécier pleinement. J'ai ressenti un goût de déjà-vu au début : le héros qui s'ignore alors que tout le monde sait qui il est, comme dans Harry Potter à l'école des sorciers. Les scènes d'action ne m'ont pas semblé très crédibles ; au musée, Percy est attaqué par sa prof de maths qui se métamorphose d'un instant à l'autre en furie, et cela est raconté par le narrateur le plus naturellement du monde, comme si elle changeait simplement de veste.

Le récit n'est pas dénué d'humour : la Chimère a une « haleine de barbecue », la Pythie un look hippie et Charon, le passeur du Styx, est un grand blond décoloré, ce qui donne un coup de jeune aux mythes et les rend plus accessibles. Ce que je retiendrai donc, ce sont certaines descriptions (la traversée du Styx aux enfers, la description de l'Olympe, les monstres vus à travers les yeux d'un ado) qui proposent une vision évidemment revisitée de la mythologie. Mais malgré tout, je n'ai pas envie de poursuivre ma lecture de cette série.

J'avais envie de lire ce livre et sa suite depuis très longtemps et j'ai sûrement trop attendu. Je pense que c'est à lire plus jeune, car là j'ai trouvé cela mal écrit, trop enfantin. Néanmoins, tout le côté mythologique grec m'a accroché. C'est un sujet que j'adore et c'est ce qui m'a fait finir cette série de livres, d'en apprendre toujours un peu plus sur ce thème.

J'attendais beaucoup d'un livre que j'ai vraiment cherché et dont j'ai acheté toute la série, mais malheureusement pour moi, je suis déçu.

L'histoire en elle même est intéressante et l'univers m'accroche avec un enfant qui se trouve être le fils d'un des Dieux de l'Olympe, quelque part au dessus des Etats-Unis, avec tout son lot de Dieux puissants et de mythologie grecque à l'ancienne, de héros et de créatures magiques. Un univers qui normalement devrait être entraînant et passionnant.

Sauf que pour moi, la mayonnaise n'a pas pris, j'ai trouvé que les faits ne collent pas, l'histoire peine à démarrer et quand elle démarre, elle n'a pas réussit à me transporter.

L'écriture est beaucoup trop simple, les événements trop prévisibles mais pour ne pas être trop dur avec le livre, il est destiné à une tranche d'age que j'ai depuis longtemps dépassée. Ce livre est destiné pour les adolescents et certainement ils devraient leur plaire et peut être les accrocher dans ce monde de la mythologie et de la l'aventure fantastique.

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Lorsque j'ai décidé de lire ce livre, j'attendais beaucoup de l'histoire qui m'avait paru captivante au vu du résumé. Malheureusement, j'ai été très déçu par le style d'écriture de l'auteur. L'histoire a comme refusé de m'ouvrir sa porte. Je restai seulement à l'extérieur en tant qu'observatrice. C'est particulièrement cet aspect qui m'a rebuté et m'a donné tant de mal à finir le livre. Cet avis est seulement subjectif et n'a en aucun cas le but de repousser les lecteurs qui auraient envie de tenter l'expérience car certaines personnes de mon entourage l'ont beaucoup apprécié. Je souhaite donc une bonne lecture à tout le monde !

J'ai lu ce livre avant mon fils, pour voir si il était en mesure de le lire et franchement, j'ai été déçue.
Autant la lecture d'Harry Potter m'avait emballé et j'avoue avoir lu toute la série avec autant de plaisir, autant je trouve ce premier tome fade, assez compliqué au niveau des personnages et surtout, une pale redite de la série de J.K.Rolling.
Le seul point positif de ce livre à mes yeux est l'aspect mythologique qui peut donner aux lecteurs envie de se documenter d'avantage sur les Dieux et Déesses cités.

Une belle série de livre, entrennante. Certains trouve que Rick Riordan a copié l'oeure de J.K Rowling, personnellement je trouve qu'ils n'ont pas la même façon d'écrire, et qu'ils se different de part leurs personnages, et de par les mondes dont ils nous parle.

A 100 pages de la fin, le livre me tombe un peu des mains. Je vais me forcer pour le finir parce que j'ai acheté aussi le tome 2 mais je sais déjà que je donnerai les deux livres à quelqu'un d'autre.
L'idée en soi n'est pas si mauvaise, j'ai même ri par moment (y compris aux endroits qui n'étaient pas prévus comme dire que Percy / Persée est fils de Poséidon). Mais le tout est un peu creux et empêche à un lecteur aguerri de se plonger avec enthousiasme dans cette saga. Les dieux sont un peu caricaturés mais d'autres sont plein d'ingéniosité.

En conclusion, un bon livre pour le jeune public que je leur recommande sans hésitation. Pour les autres, vous pourrez vous en passer sans mourir de honte.