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Exilé loin d'Almenarc'h, ville tentaculaire au centre du monde connu, Erkan se réveille au beau milieu de nulle part, totalement amnésique. Mais alors que de mystérieux tueurs tentent de l'assassiner, le jeune homme se découvre d'une force incroyable, faisant preuve d'une impressionnante dextérité au combat. Il partira donc en quête de ses origines, sans se rendre vraiment compte de ce qu'il représente pour le pouvoir en place...

Alors, même si je n'ai pas adhéré à toutes les intrigues mises en place par l'auteur de façon fort ambitieuse, j'ai suivi avec grand intérêt les histoires les plus fortes, les plus immersives. Malheureusement, je me suis peut-être embrouillé les pinceaux et ne suis pas sûr d'avoir tout compris. Après, je suis sûr que les parts d'ombre qui demeurent à la fin de ce premier tome s'éclairciront à la lecture du deuxième, Les larmes du désert (que j'ai reçu et qui attend d'être lu).

En attendant, je ne peux que vous conseiller de vous plonger dans ce premier roman pas tout à fait à la hauteur de l'ambition de son auteur, mais qui a le mérite de vous plonger dans un monde d'une grande beauté. A la fin de l'ouvrage, on peut même trouver les traditionnelles cartes que tout bon roman de Fantasy se doit de posséder. Sauf que là, les deux cartes (une de la ville et une autre, d'une beauté renversante, qui représente le monde lui-même) ont été réalisées par l'auteur. A mon humble avis, on n'a pas fini d'entendre parler de Feldrik Rivat.

Avant de vous laisser, je voudrais juste ajouter un petit mot sur l'édition en elle-même. Pour faire simple, Les Editions de l'Homme Sans Nom ont fait un travail remarquable : très peu de coquilles, marque-page, etc. Ce n'est pas si souvent alors je me permets de le signaler.

A.C. de Haenne
Lien : http://les-murmures.blogspot..
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« L' exil », premier tome des Kerns de l'Oubli vous fait entrer dans la métropole Almenarc'h : on suit la vie de plusieurs personnages qui vont s'entrecouper afin de dévoiler quelques détails mais aussi une fresque plus générale. le tout est saupoudré de magie šhåmanique et on demeure très curieux dont l'imbrication de toutes les actions. Malgré un tout petit clochement sur l'écriture, la plume reste agréable.
(chronique complète sur le blog)
Lien : http://livrement.com/2013/08..
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Le point fort est que Feldrik Rivat nous offre en un tome un aperçu d'un monde à la création poussée et complexe. de la mythologie aux lignées royales en passant pas la législation, tout est pensé. Mais c'est également le point faible, car la profusion d'informations crée chez le lecteur une certaine confusion et il sera forcé à naviguer entre la page où il est arrivé et le lexique heureusement présent à la fin du volume.

Si le monde se révèle très complexe, l'histoire l'est au moins autant. J'avoue avoir eu un peu de mal à entrer dans l'histoire. Néanmoins, je me suis laissée prendre dans les péripéties, et je me suis aperçue qu'il s'agissait finalement d'une histoire, sinon plaisante, du moins captivante.

L'auteur possède un véritable talent pour les descriptions, tant « extérieures », celle des personnages ou des paysages, qu'intérieures, celle du ressenti des personnages. A mesure que vous les côtoierez, vous partagerez leurs espérances, leur colère ou leur effroi.

La suite sur mon blog ! :)
Lien : http://laplume-ou-lavie.blog..
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C'est rare que je n'apprécie pas un livre, mais alors là, j'ai été déçue de chez déçue ! Je n'a adhéré ni aux personnages, ni à l'intrigue, et surtout pas mais alors vraiment pas à l'écriture de l'auteur. C'est trop spécial pour que je réussisse à m'immerger dans l'histoire.
Au final, je n'ai pas compris la moitié des choses et Erkan me semble être juste dirigé par des divinités nébuleuses sans trop réfléchir ni comprendre ce qu'il fait... bref, la suite se fera sans moi!
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La déception... de ne pas avoir su entrer dans cette histoire et en apprécier toute la qualité...



En premier lieu, avant que tout le monde ne crie au scandale, petit rappel : Les notes distribuées sur ce blog sous forme d'un nombre de coeurs plus ou moins grand, allant de 1/5, à 5/5 mention coup de coeur, ne sont EN AUCUN CAS un jugement de qualité, ou une affirmation objective que tel ou tel livre mérite ou non d'être lu par d'autres lecteurs ou que le travail d'écriture fourni par l'auteur est plus ou moins intéressant.

Il ne s'agit ici (et on ne le repètera jamais assez) que de quantifier le plaisir que MOI j'ai eu à les découvrir, et les sentiments qu'ils m'ont fait ressentir. Un avis de blogueur littéraire est hyper subjectif, et environ un milliard d'éléments peuvent jouer sur le ressenti d'une lecture, qui, pour beaucoup, n'ont absolument rien à voir avec la qualité dudit livre, ni avec le sérieux (ou pas) avec lequel il a été écrit,

En l'occurrence, j'ai cette semaine découvert un livre, Les Kerns de l'Oubli T1, qui me faisait baver pour diverses raisons (une maison d'édition en laquelle j'ai pleine confiance, un auteur que j'apprécie pour avoir eu la chance de le rencontrer à deux reprises et qui a été d'une grande gentillesse et a fait montre d'une bonne humeur extrêmement communicative.)
J'avais donc vraiment extrêmement envie d'apprécier ce roman (comme l'ont fait beaucoup de mes collègues blogueuses) à sa juste valeur, d'autant qu'il m'a en plus de tout cela été offert avec plein de tendresse par mon meilleur ami. J'y tenais donc particulièrement.

Mais en avoir envie ne fait malheureusement pas tout. Et je dois être cohérente avec moi-même et ne pas laisser mes bons sentiments envers un auteur ou une maison d'édition interférer dans mon avis sur un livre, j'ai toujours été sincère dans mes avis, et voilà, parfois, c'est un peu plus difficile que d'autre, mais il faut le faire quand même.

Je tiens à m'excuser auprès de Feldrik de n'avoir pas su apprécier son roman à sa juste valeur, je me suis pourtant battue, tout comme lui, jusqu'à la dernière page avec espoir et volonté. Feldrik, tu resteras un personnage que j'apprécie beaucoup, quelle que soit la teneur des propos qui seront tenus ci-dessous. Je m'engage toutefois à me montrer respectueuse au plus haut degré pour le travail que tu as fourni dans l'écriture de ce roman.

Car malheureusement, malgré toute ma bonne volonté en cours de lecture, ce qui va suivre sera la première chronique négative que j'aurai eu à faire pour un livre de L'homme sans nom.

Même si j'avais eu pour habitude de résumer les livres dans mes chroniques (ce que je ne fais jamais pour éviter tout spoil, elles sont toujours uniquement basées sur mon ressenti de lecture) j'en aurais été ici complètement incapable.

J'ai lu ce livre de façon tellement hachée, que je me suis rendu compte en fin de lecture que j'avais eu le temps d'oublier le début O.o

En effet, j'ai mis exactement 10 jours à lire ce livre (qui n'est pourtant pas vraiment un pavé, avec ses 413 pages !) ce qui est pour moi vraiment énorme. 10 min par-ci dans le bus, 10 min par là dans le métro, 10 pages par ci le soir dans mon lit avant de m'endormir, exténuée...

Bref, des conditions plutôt mauvaises lorsqu'il s'agit d'une lecture assez exigeante, qui aurait demandé une concentration sur des plages beaucoup plus longues (et calmes), et la connexion de tous mes neurones pour bien tout comprendre, et surtout tout assimiler.

En effet, Les Kerns de l'Oubli n'est pas un livre simplet, loin de là, et demande quelques efforts de la part du lecteur également, après un travail d'écriture qui n'a pas dû aller sans peine. Feldrick Rivat nous partage ici un univers très riche et travaillé, très bien pensé. Il y a beaucoup de choses à comprendre, à retenir, à apprécier. Normalement, c'est d'ailleurs un point que j'apprécie énormément dans les livres publiés par cette maison. Pour le coup, et compte tenu des conditions dans lesquelles j'ai lu ce livre, ça aura plutôt contribué à me perdre... :(

Chaque chapitre (très court) est le récit d'un narrateur différent, qui parlent tous à la première personne du singulier. Sur le principe, l'idée m'emballait plutôt. Dans les faits, il s'est avéré que cela m'a beaucoup plus chamboulée que je ne l'aurais cru. J'ai très vite été complètement perdue (ceci étant toujours certainement lié à ma lecture par tout petits bouts, avec des coupures imposées et quasiment jamais aux bons endroits.)

Heureusement, chaque narrateur a une façon de parler bien particulière, ce qui aide quand même à réaliser qu'on a changé de personnage. Pourtant, ça n'aura pas été suffisant pour moi, et j'ai vécu ces bonds d'un narrateur à l'autre de façon très désordonnée et j'ai été très vite complètement déboussolée.
Ce qui n'aurait pu être qu'un petit détail négatif dans une chronique a malheureusement entraîné chez moi l'incompréhension presque totale de l'ensemble de l'histoire. J'ai vécu tout le livre de manière extrêmement détachée, complètement de l'extérieur, et n'ai réussi à m'attacher à aucun des personnages principaux (ni secondaires, d'ailleurs.)
Il faut dire ici que je ne pense pas que ces personnages aient été conçus pour être particulièrement appréciés, de toute manière, ils ont quand même tous un côté pas très sympa, lol. Mais je ne me suis pas contentée de ne pas les apprécier, je n'ai pas su les "reconnaître". Je ne sais pas comment expliquer cela, mais vous savez, on peut ne pas aimer un personnage (particulièrement détestable, par exemple) mais ressentir tout de même pour lui quelque chose de fort, une attirance un peu malsaine, une "reconnaissance" de sa particularité qui en fait tout de même un personnage qu'on n'oubliera pas. Je n'ai pas ressenti ça dans les Kerns...

Néanmoins, j'ai noté avec joie un élément qui m'aura énormément plu dans ce livre, c'est le langage utilisé dans les dialogues. Il est très varié, très riche, chacun y allant de son petit dialecte, de son langage ancien et sage, de son patois. L'un des personnages parle comme au Moyen-Age, ce qui, vous le savez, fait partie intégrante de mon univers presque quotidien. J'ai beaucoup aimé le langage du roi également, un petit mélange de langage fort soutenu, avec un ptit côté "bouseux" dans les jurons, j'ai adoré ! Je n'ai donc eu aucun mal à suivre les différentes "façons de parler", alors que j'avais cru comprendre que ça avait été parfois difficile pour certains.

J'ajouterai dans les points positifs que Feldrick a un talent certain pour la description des combats, quelle que soit l'arme utilisée. Pour en faire en GN, je peux dire qu'on s'y croirait :) et un goût prononcé pour les jeux de mots et les références cachées. Je n'en dirai pas plus, j'espère juste que vous trouverez tous ces petits clins d'oeil ;)

D'ailleurs, je dois dire que l'écriture de Feldrik, sa plume, est vraiment un gros avantage de ce roman (qui a lui seul, aurait fait monter ma note au moins à 4/5 si je notais objectivement les livres sur leur qualité, et non sur mon plaisir à les lire.) D'abord elle est extrêmement travaillée, ainsi que toutes les oeuvres publiées par l'Homme sans nom. Feldrik n'écrit pas comme il parle (quoique.. Il parle très bien en fait :p ). Chaque mot est pesé, pensé, pour être placé le plus judicieusement possible, tout en donnant une impression de fluidité toute modeste, genre "oh, j'ai dit ça comme ça me venait". Mais non, je suis certaine que le travail d'écriture/relectures/réécritures/corrections a été absolument monstrueux.

Les Kerns de l'Oubli n'est vraiment pas un bébé dont on accouche en 2-3 mois, vite pondu, vite imprimé, vite vendu, vite lu et vite oublié. C'est ce que j'aime chez l'Homme sans nom. On ne nous sert pas du prémâché, prédigéré. On demande au lecteur un certain investissement de sa personne pour que la fusion prenne entre l'auteur et son lecteur.
Et bon... il se trouve que pendant ces 10 jours, les conditions n'étaient pas réunies pour moi. Il aura suffi d'un petit élément perturbateur, l'alternance des narrateurs (nombreux) (ce qui aurait pu être un point que j'aurais vraiment grandement apprécié à un autre moment) pour m'interdire l'accès aux portes de la fantasy cette fois-ci. Je suis restée complètement extérieure à l'histoire sans jamais parvenir à vraiment entrer dedans à un quelconque moment.

J'ai essayé de toutes mes forces, jusqu'à la dernière page, encouragée par l'auteur qui m'expliquait que le roman pouvait encore m'attraper n'importe quand... Mais non, jusqu'au bout je suis restée dehors, déçue, frustrée, fâchée contre moi-même. Car je sais que cela vient de moi, j'en veux pour preuve l'avis super enthousiaste que m'en avait fait Péléane, ou les excellentes chroniques de Méli, ou Justine pour ne citer qu'elles, et que je vous invite à découvrir afin d'avoir une vue d'ensemble plus objective.

Ma foi, il faut que je me dise que ce sont des choses qui arrivent, et espérer que ce ne sera qu'un cas isolé, et pas les prémices d'une vilaine panne de lecture ! (en tout cas, pour la lecture suivante, j'ai quand même choisi de changer totalement de genre, en espérant qu'il suffise de prévenir, et que je n'aurai pas à guérir...)



Cali
Lien : http://calidoscope.canalblog..
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Si les cinquante premières pages de ce roman m'ont fait douter, je dois dire que les 350 pages restantes m'ont plu et permis de découvrir un monde riche, recherché et très bien mené. le début est assez difficile dans le sens où l'on ne sait pas vraiment où l'on va. On rencontre des personnages – beaucoup car les chapitres en plus d'être courts, sont à la première personne et désignent chaque fois un nouveau personnage –, le langage pour l'un des personnages est très soutenu et poétique et du coup j'ai eu du mal à m'y mettre. Puis après, ce ne fut que du bonheur. Certes, j'ai mis une semaine à le lire, mais j'ai profité pleinement de ma lecture.

« Les kerns de l'oubli » raconte la vie de plusieurs personnages, hauts en couleur et autant différents les uns que les autres de part leur personnalité et leur vécu, dans un monde où tout se détruit peu à peu. Ce premier tome est assez dur à résumer car l'on y trouve tellement de choses importantes que si l'on en parle, le spoile devient presque obligatoire. Ce que je peux en dire c'est que les personnages de l'auteur a crée sont tous différents et vivent chacun à leur manière. On passe de quelqu'un de posé à quelqu'un de vif. de quelqu'un de carnassier à quelqu'un de saga. de magnanime à innocent. de vil et calculateur à soumis et manipulé. Bref, des caractères bien différents mais des personnages hautement travaillés.
Seul un homme peut sauver ce carnage qui se prépare. Évidemment, un problème n'arrivant pas seul, ce sauveur ne sait pas qui il est, étant devenu amnésique. Alors, en plus de cette quête, une seconde lui est désignée : découvrir qui il est et pourquoi il est l'élu qui pourrait tout sauver.

J'ai particulièrement aimé la façon qu'a eu l'auteur de faire interagir chaque personnage. En effet, dans la fantasy on a plus l'habitude de voir le récit à la troisième personne avec des chapitres plus ou moins longs. Ici, en plus d'être travaillé, le texte est original car Feldrik Riva a décidé de faire parler chaque personnage à la première personne et d'en faire des chapitres courts. de ce fait, nous entrons très rapidement dans le récit et arrivons à comprendre ce que ressentent chaque personnage, ce qu'ils font, les décisions qu'ils prennent, pourquoi, comment. Pour moi, c'est un gros point positif, car il permet de s'identifier plus rapidement à eux.

Concernant l'intrigue du récit je dois dire que j'ai été servie et étonné à bien des reprises ! Dès le début (après les 50 pages) une révélation éclate et là, on ne peut plus arrêter notre lecture, de peur de rater quelque chose de crucial. On veut savoir la suite, quitte à lire le livre jusque pas d'heure alors que le lendemain on travaille. Les personnages ont tous des secrets graves, inavoués qu'on découvre au fur et à mesure de l'histoire. J'ai apprécié ce côté suspense et secrets avoués qui donnent un nouveau souffle à l'histoire. Autant dire que durant ma lecture je ne me suis jamais ennuyée même si parfois je trouvais un peu le temps long. Mais j'avais à peine le temps de penser cela, que l'auteur lâchait à nouveau une bombe qui faisait remonter encore plus l'histoire à « génial ».

Niveau personnages, je les ai tous aimé à des degrés différents. Les méchants le sont vraiment mais j'ai tout de même réussi à m'attacher à certains. Pourquoi ? Je ne sais pas, peut-être parce qu'ils apportaient du piquant dès qu'ils intervenaient et le fait que l'on soit à leur place, nous permettait de montrer jusqu'à quel point leur perversion était élevée et jusqu'où ils étaient prêts à aller pour gagner.

Et la fin est une grosse bombe à laquelle je ne m'attendais vraiment pas ! Les dernières pages je me disais tout le temps « non, il ne va pas faire ça, quand même. L'auteur est vraiment prêt à tout pour offrir un final explosif ». Eh bien si ! Il l'a fait. Évidemment, vous vous demandez de quoi je parle. Eh bien, lisez le livre et vous comprendrez. Cette fin incite vraiment à vouloir lire le tome 2 et savoir exactement ce qu'il a pu raconter après tout ça. Je suis vraiment curieuse de lire la suite et je suis contente de voir que je n'aurais pas trop à attendre pour me le procurer !

Un autre point fort : la fin du livre avec un lexique, un glossaire et une carte pouvant nous aider à nous guider et nous faire savoir qui est qui. Car au début on se sent perdu avec tous ces personnages qui débarquent de partout, et j'avoue que ce glossaire m'a vraiment aidée à me mettre dans le récit.

Juste un point qui au bout d'un moment me faisait tiquer un peu : les expressions qu'avait le roi Ulnhor. Au début elles sont drôles, on trouve que ça apporte de la fraîcheur au récit. Puis au fil du temps, le roi en dit trop souvent, parfois dans le même texte, il en dit 3 voire 4 et là c'en est presque lourd. On commence à se lasser d'en voir à chaque fois, c'est dommage.

En résumé : vous êtes à la recherche d'une histoire travaillée de bout à bout, d'une intrigue très originale, de personnages hauts en couleur, de secrets lourd à porter, d'une fin explosive, de la fantasy à la première personne ? Vous n'avez pas peur de rencontrer plusieurs personnages, d'être dans leurs têtes à chaque chapitre, de vivre une aventure remplie d'action, de questionnement, de perversion ? Ce roman est pour vous !

Justine P.

« — Mon Roi, vous allez bien ?
Parler à Telleran. Mais sacrebleu !
— Sire ?
— Mon gaillard, tu m'échauffes les esgourdes avec tes « mon Roi » et tes « Sire » ! « Vieil homme » m'allait très bien !
— Apparemment, oui, vous allez bien ! »
Lien : http://lireunepassion.blogsp..
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Qu'en dire ?

C'est très bien écrit. Une langue riche, très riche même. Des mots oubliés. J'ai lu des critiques concernant ce style un peu ampoulé. Il ne m'a pas gêné, c'est même le plus du livre. L'auteur décrit, très bien, des lieux fantastiques et merveilleux.

De nombreux points de vus, tous traités à la première personne, chacun avec un style particulier.

Seul problème, il est difficile de s'attacher aux personnages. Ils sont bien campés, mais leurs motivations sont trop floues pour qu'on s'attache. C'est vraiment dommage.

Je ne sais pas si j'ai envie de lire la suite... C'est rare
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J'en ai écumé des librairies à la recherche de ce livre. Mais j'ai du me rendre à l'évidence, à part le commander aucun moyen de le lire. Et c'est dommage car c'est un très bon livre. Et je suis très contente d'avoir la réédition de l'Homme Sans Nom dont la couverture est sublime.
Au début de l'histoire je me suis demandée si j'allais tout comprendre car l'univers détaillé est très complet et très original. Mais il se dévoile au fur et à mesure en nous laissant de nombreux mystères sur cette guerre un peu abstraite pour nous, lecteurs. Cependant la fin, bien que surprenante et révélatrice, m'a plongé dans la perplexité. Je n'ai pas tout compris à cette histoire de réincarnation, cette Awana est bien mystérieuse. Ce qui donne aussi très envie de lire la suite. Et ça tombe bien j'ai pu le commander en allant chercher ce tome ^^ Je vais pouvoir poursuivre ma lecture.
Ce que j'ai le plus apprécié (comme tout le monde je pense) c'est les multiples points de vue des personnages. Ca donne un récit complet avec les différents conflits en fait très liés. de l'action il y en a. On ne s'ennuie pas c'est le moins que l'on puisse dire. Et ça dès les premières phrases de l'histoire.
Pour finir les personnages ont des caractéristiques personnels, ils sont détaillés et bien travaillés. On s'y attache, la forme du récit oblige, on les déteste aussi. On se pose des questions. On se demande ce qu'ils vont devenir et quel est leur rôle à chacun. Qui manipule qui ?
Une très bonne lecture donc en espérant que la suite soit tout aussi bien !

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Le premier tome d'une série pour adolescent auquel je n'ai pas du tout accroché. du vu et du revu après les conditions n'étaient pas optimales pour apprécier cette lecture (situation personnelle compliquée). L'envie de lire est toujours là mais très peu de temps pour y accéder.
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Voilà un auteur qui prend ses lecteurs au sérieux ! L'écriture soignée, le vocabulaire précis et recherché, l'univers riche et intéressant, la psychologie des personnages bien étoffée. le problème, c'est le rythme du récit massacré par un style souvent trop ampoulé, comme l'ont écrit d'autres commentateurs. Ce qui rend la lecture lourde, pénible. Et j'ai eu bien du mal à aller au bout. C'est donc un peu décevant, parce qu'on commence sur les "chapeaux de roues", tout heureux de découvrir un écrivain francophone de qualité (ce qui nous change des histoires de "sorcelleurs" traduites du polonais à la truelle) mais ..... on s'y perd au bout d'un moment. Il n'y aura pas de 2nd tome pour moi, mais je ne m'avoue pas vaincu car je perçois un super potentiel chez cet auteur. Je lirai donc sa production plus récente.
Pour ce volume, 3 étoiles me paraissent parfaitement adaptées à mon impression de lecture.
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