Cilla est une jeune femme qui reprend la maison de sa grand mère maternelle, grande star décéder suite un suicide. Elle décide de rénover la maison et d'y vivre, abandonnant ainsi le monde du show biz. Elle fait la rencontre de ford son voisin avec qui elle va sympathisé et plus encore comme on s'y attend beaucoup dans ce genre. Elle va découvrir dans cette maison de nombreuses lettres de sa grand mère avant sa mort. Mais tout n'est pas rose pour Cilla, elle va devoir faire face à de nombreuses menaces.
Quand j'ai lu le résumé, je pensais que ce livre aurait tout pour me plaire, j'étais pressée de savoir qui était l'auteur des lettres et qui en voulais à ce point a Cilla mais malheureusement je n'ai pas accrochée. On passe plus de temps a découvrir les travaux de rénovation que de l'intrigue en elle même. Mais bon c'est un bon petit livre qui passe le temps mais sa n'a pas été un favoris pour moi.
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Une énième bluette romantique qui ne me laissera pas un souvenir impérissable mais qui se laisse lire gentiment pour déconnecter de lectures plus difficiles. J'ai bien aimé suivre pas à pas la démarche de restauration de la maison de sa grand-mère de Cilla (c'est rare une femme qui manie avec dextérité des outils), restauration qui contribue à restaurer, dans le même temps, sa propre estime de soi. Particulièrement sensible à l'idée de la nécessaire transmission des histoires familiales pour bien se construire en tant qu'adulte, j'ai parfaitement compris sa quête d'en savoir plus sur l'histoire de la grand-mère et sur les circonstances de sa mort. J'ai été par contre très amusée de la posture idyllique de la figure masculine. Trop belle pour être vraie, mais ne sommes-nous pas dans un roman ?
Certes, il y a des méchants dans cette histoire, mais globalement c'est "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil", l'argent ne semble jamais poser de problème. Cela apparaît tellement anachronique (pourtant ce roman a été publié en 2008) quand on connaît l'Amérique actuelle où des enfants sont assassinés en plein jour, alors qu'ils sont censés être en sécurité dans leur école et où des centaines de milliers de sans abri vivent dans la rue. Oui, c'est une lecture qui transporte dans une autre réalité, un temps. Il ne faut pas être plus exigeant.
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