« Les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas », répète-t-on trop souvent. Si le beau est une affaire de goût personnel, d'appréciation subjective, de jugement, cela veut-il donc dire qu'il n'y aurait rien de beau en soi ? Où réside donc le beau ? Dans l'être ou dans le sujet ? Dans la chose regardée ou dans le spectateur ?