L'homme qui voulait mourir vivant

Le fleurissement des livres de développement personnel en dit long sur la détresse psychologique de nos contemporains qui à défaut des consolations de la religion jadis prodiguées par les curés ou des traitements psychanalytiques jugés trop élitistes (à juste titre ?) ou trop coûteux , se précipitent dans les bras des thérapeutes de toutes obédiences.
Quand au surplus la maladie frappe, on est prêt à se remettre en question et on peut constater que les travaux pionniers de Franz Alexander l'initiateur de la médecine psychosomatique dans les années 50 , ont essaimé largement, remettant en première ligne l'importance du psychisme dans la reconquête de la santé.
Dans ce roman, Michel Rolion raconte l'histoire d'un moniteur de ski alpin, Alain, qui apprend qu'il a un cancer et qui se fait plaquer dans la foulée par sa compagne, laquelle ne supporte pas de partager le quotidien d'un malade.
Alain ne s'avoue pas vaincu et s'envole pour New York où il pense retrouver celle qui l'a quitté. Il en profite pour se faire soigner par un thérapeute bien original ...et pour devenir chauffeur de taxi.
Il retrouvera une ex perdue de vue depuis belle lurette qui lui offrira la possibilité de devenir père et rencontrera un amour authentique.
Au fil des rencontres (improbables ), des péripéties (cousues de fil blanc) l'auteur égrène des sentences de sagesse et de sérénité (ça peut pas faire de mal ).
Il ne faut bien entendu pas voir dans ce roman le récit d'une expérience authentique mais plutôt un conte pour adultes qui aurait cependant gagné en profondeur s'il avait présenté plus de crédibilité.
Les effets de la chimiothérapie me paraissent abusivement minimisés notamment. La facilité avec laquelle le héros se met à travailler aux Etats Unis et à assumer la charge financière de son traitement , me questionne également.
Plus généralement, en présentant la guérison comme la résultante d'un état d'esprit positif et d'une volonté de fer, ne risque t'on pas de pénaliser encore plus les malades qui ne parviennent pas à "positiver" et qui seraient dont directement "responsables" de l'éventuel échec de leur traitement ?
Enjoliver une situation dramatique, évacuer la peur et la révolte, peut s'avérer contre-productif et il faut l'immense talent du grand thérapeute Irvin Yalom pour qu'une parole juste soit dite sur la maladie mortelle et l'importance de vivre pleinement chaque moment de la vie fût-il le plus modeste. Quoiqu'en pense la fille de Frédéric Dard (citée comme référence dans la 4ème de couverture) ce roman me parait à des années lumière de celui écrit par Yalom sur un thème similaire qui s'intitule "Regarder la mort en face. Dans le jardin d'Epicure".
Il ne faut certes pas attendre d'un livre de développement personnel qu'il s'aventure sur les chemins escarpés de la philosophie (encore que ...) et plaire au plus grand nombre n'est pas forcément un but à éviter.
Si cette lecture peut provoquer une prise de conscience, consoler une peine, rendre la vie quotidienne plus légère, alors elle est bonne et chacun appréciera le roman en fonction de sa sensibilité personnelle.

Quel titre poétique, me diriez-vous ! Les plus affûtés auront très justement supposés qu'il s'agissait d'un roman de développement personnel, dont le titre, intriguant à souhait, aux allures moralisateurs, n'est pas sans rappeler Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une, ou encore Il faut savoir perdre de vue le rivage. Vous aviez donc vu juste : Michel Rolion signe ici son premier roman de développement personnel, qui peut très bien être lu et apprécié comme un simple roman.

Lorsqu'Alain annonce à sa femme qu'il est atteint d'un cancer, avec seulement 50% de chances de survie, celle-ci l'abandonne, sans laisser d'adresse. Déstabilisé dans un premier temps, Alain ne se décourage pas pour autant et décide de partir de ses montagnes de Chamonix direction New York, ville tant convoitée par sa douce, en espérant la croiser dans les innombrables rues de Big Apple. Il erre, comme une âme en peine, homme désoeuvré, perdu, abandonné, qui slalome entre les passants, dans l'espoir de revoir celle qu'il aime. En parallèle de ses recherches désespérées, Alain consulte un médecin d'un nouveau genre, qui guérit le corps par l'âme. À travers des techniques introspectives innovantes, il va faire en sorte d'aider son patient à allonger et alléger son expérience de vie.

Le docteur Patterson propose des expériences profondes et spirituelles à réaliser sur soi, qui permettent de changer sa façon de penser et influent directement sur le corps. Des conseils avisés, qui manquent parfois de crédibilité, mais qui constituent une bonne première approche pour valoriser l'épanouissement personnel. Ainsi, il propose à Alain de visualiser sa maladie comme une chose « positive », sur laquelle il a tout contrôle, qu'il peut décider de combattre en pleine conscience. Une technique de psychologie positive qui va s'avérer payante, puisque la santé d'Alain s'améliore en même temps que son moral. En parallèle, nous suivons brièvement Alex, le frère jumeau d'Alain, lui aussi rongé par ce mal. Contrairement à son frère New-Yorkais, Alex ne se préoccupe nullement de son âme, préférant un diagnostic médical classique, technique et concret. La divergence de traitement des deux frères nous montre clairement que le problème est le même, la façon de l'aborder est différente et les résultats se ressentent avec clairvoyance : une vie épanouie, un quotidien serein pour l'un et un mal-être grandissant, une tension constante pour l'autre.

Ragaillardi par ce nouvel élan de vie, il va rencontrer Natacha, une charmante jeune femme enjouée et pétillante, qui va lui proposer un poste comme chauffeur de taxi à New-York. Alain saisit maintenant toutes les opportunités qui s'ouvrent à lui, décidé à vivre sa vie, qu'elle soit longue ou courte, le plus intensément possible. Une belle mentalité, qui en dit long sur la ténacité, l'abnégation et le courage de cet homme, qui le poussent sans cesse à poursuivre son chemin, malgré tous les obstacles qui peuvent s'y dresser. Un bel exemple, qui devrait, je l'espère, trouver échos chez certains lecteurs.

Alain, atteint d'un cancer, choisit le bonheur plutôt que la fatalité. Un roman initiatique intéressant, qui nous en apprend plus sur la psychologie positive. Une douce éclaircie dans un contexte gris.
Lien : https://analire.wordpress.co..

On pourrait croire que c'est une histoire triste.
Un homme découvre qu'il a une forme rare (et donc grave) de leucémie.
Lorsqu'il le dit à sa femme, son âme soeur, elle le quitte.
Comment bien plomber le début d'une histoire et partir en dépression ?...

Et bien NON !

Ce n'est pas du tout ce genre de livre morose où la mort et la peine sont omniprésents.
Ce livre c'est un rappel que la vie vaut la peine d'être vécu.
Que « tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir ».
Surtout que c'est à nous de décider comment on veut vivre notre vie, aussi longue ou courte soit elle.

L'histoire d'Alain est motivante et pousse à se poser des questions sur celui ou celle que nous sommes là et maintenant.
Avec de tout petits riens, avec des expressions dites « bateau », avec des phrases de grands personnages, avec la simplicité d'un échange entre un homme et une femme, on part à la découverte de cet être, parfois oublié, parfois étranger, qui vit en nous.

Avec les mots d'Alain, l'auteur ose écrire ce qu'on ne pourrait oser dire.
Alain a une maladie en lui, est-il pour autant sa maladie ?
Alain veut retrouver sa vie d'avant, mais était-elle faite pour lui cette vie ?

Sans donner de grandes leçons ou nous pousser à faire tel ou tel exercice, l'auteur nous amène là où les questions et les réponses se rencontrent.

Michel Rolion nous donne une leçon de savoir vivre comme on espère souvent en lire.

Ce livre c'est un peu le mode d'emploi de la résilience.
Une belle parenthèse où il n'est pas question de chercher Charlie mais plutôt de se chercher, et surtout de se trouver, soi-même.

Je ne vais pas dire que ce livre est transcendant mais il a le mérite de nous éclairer et de nous interroger sur notre vie et nos envies.

Surtout, l'histoire, la recherche d'Alysson, est bien menée et confère à ce livre une double étiquette qu'il porte assez bien.

De la réflexion.
Du suspense.
Des coups de théâtres.
N'est ce pas là les ingrédients d'un bon livre ?

Merci Babelio et les Editions Eyrolles pour cette belle découverte.
Merci à Michel Rolion pour ces jolis mots

Merci merci Michel Rolion pour ce livre qui a fait tant écho en moi et qui m'a donné et me donne à réfléchir sur moi (exercice pas facile).

A la lecture du résumé sur la 4è page, on se demande ce qu'est ce livre et qu'il doit être triste. Mais ne vous y fiez pas, il est bien plus que cela.
Alain est atteint d'une leucémie tout comme son frère jumeau, et le jour où il l'annonce à sa compagne, celle-ci décide de le plaquer. Obstiné, et toujours amoureux, il va se lancer à sa recherche à New York où il pense qu'elle allait. Son suivi médical sera fait par un confrère de son médecin en France.
Mais ce livre est en fait un roman sur le développement personnel plein de résilience et de bienveillance.
Morosité et tristesse ne sont pas au rendez-vous cette lecture qui rappelle l'importance de vivre Sa vie, ici et maintenant et ce comme on l'a imaginé.
D'accord, ce roman réutilise les phrases, les mots que l'on trouve dans les autres romans de développement perso, de feel good, mais à force d'être répétés, peut être que ceux-ci rentreront une fois dans nos têtes. Il prône également le bienfait de savourer chaque instant, de prendre le temps de se poser, d'observer, de ne pas vivre à travers la maladie (" Tu n'es pas malade. Tu as une maladie mais c'est temporaire !").
Et de comprendre que l'étranger n'est pas l'autre mais c'est notre nous caché au fond de notre corps que l'on écoute peut être pas suffisamment ou avec assez de soin et qu'il faudrait lui accorder un peu plus d'écoute et de bienveillance.
L'histoire est juste magnifique, j'ai été emporté à côté d'Alain, tel un papillon posé sur son épaule, dans ses doutes, ses quêtes. Les personnages sont habités, ont de la consistance et sont attachants.

L'auteur est formateur PNL et en hypnose, a créé un Institut de formation sur Montpellier et a été psychothérapeute et kiné. Ainsi, c'est en toute légitimité qu'il parle de ce sujet.
La plume est fluide, très agréable à lire et à relire. Je me suis notée dans un cahier plein de citations pour m'aider à essayer d'avancer sur mon chemin de reconquête de mon moi intérieur afin de me sauver..
Merci Michel Rolion

Un superbe ouvrage qui nous transporte de la France vers l'Amérique et retour compris avec un bénéfice : l'investissement personnel dans deux amours : nous-même et notre vérité, et la personne aimée,
La rencontre avec un thérapeute, histoire de voir clair en soi, puis l'autre rencontre : un frère qui d'un coup se révèle sous son vrai jour, attachant, inquiet autant que serein, et au fil des pages des voyages au pays de l'enfance, la montagne, en France, les grands espaces en Amérique, et cet amour alors ? entr'aperçu, vrai vue ou vision , onirique ?
Et cette maladie ? vers la guérison ou pas ?
Vivre pleinement par soi, pour soi, non par procuration, vivre ses rêves, obstinément sans hésitation, ouvre des routes moins balisées mais plus authentiques,
Un beau texte sur la ou les routes du bonheur à construire, et en être l'architecte,
Lu d'un trait, prenant !

La vie d'Alain bascule à 38 ans lorsqu'il découvre qu'il est atteint d'un cancer. L'annonce de sa maladie va bouleverser sa compagne Alyson qui au lieu de le soutenir dans cette épreuve va mettre les voiles.

Mais Alain n'est pas du genre à baisser les bras. Persuadé qu'Alyson est partie à New York, il décide de quitter ses montagnes et de traverser l'Atlantique. En plus de rechercher l'amour de sa vie, Alain va mettre à profit ce séjour à New York pour se soigner. Il va faire la rencontre du docteur Patterson. Un médecin peu conventionnel qui va l'inviter à revoir ses habitudes et ses schémas de pensées.

Avec cette virée new-yorkaise, Alain n'est pas au bout de ses surprises…

Gros coup de coeur pour le premier livre de Michel Rolion.

Je ne suis pas toujours à l'aise avec les lectures dont le thème principal est la maladie et pourtant cette fois-ci j'ai été conquise. Ce livre est loin d'être triste. Il est lumineux, porteur d'espoir et montre l'importance du mental dans le combat contre la maladie.

Ce roman fait la part belle au développement personnel.

De belles citations irriguent le roman et invitent à la réflexion.

Ce roman est clairement un hymne à la vie qui nous encourage à profiter de chaque instant et apprécier les bonheurs les plus simples.
Lien : https://orlaneandbooks.wordp..

Livre gagné dans le cadre masse critique.
De ce fait, je tiens à remercié Babelio, les éditions Eyrolles et surtout son auteur Michel Rolion .

C'est un livre qui parle du cancer.
Le personnage principal, Alain, est atteint d'une leucémie, le syndrome de Chartreau.
L'auteur nous précise que ce nom est fictif, mais que les traitements proposés dans ce livre sont tous réels et opérants.
Véritable coup de coeur pour moi.
Je dois avouer qu'au début j'avais peur qu'on nous parle que de maladie, chimiothérapie, et autres malheurs.
Mais même si le cancer reste le sujet du bouquin, il est si intelligemment écrit, que jamais il ne verse dans le dramatique ou le voyeurisme.
Tout au long sont parsemées des citations qui viennent conclure des passages importants, et à chaque fois elles sont d'une justesse.
Ce qui est drôle c'est qu'il y a même une citation du personnage principal, peut être inspiré de quelqu'un de vrai, mais qui lui reste un personnage de roman.
J'ai vraiment passé un agréable moment à la lecture de ce livre, je le recommande vivement, et je souhaite à Michel Rolion que beaucoup d'autres personnes lisent sont roman .

Alain, moniteur de ski de 38 ans, apprend qu'il a une leucémie, tout comme son frère jumeau. Dans les huit jours qui suivent l'annonce, Alyson, sa compagne, le quitte. Il décide de la suivre jusqu'à New York pour comprendre son départ...
Étrange roman hybride ! je n'ai pas d'appétence particulière pour les livres de développement personnel, aussi suis-je étonnée de la rapidité avec laquelle j'ai lu celui-ci. L'histoire en elle-même se suit facilement et est habilement émaillée de pistes et de conseils, sans jamais ressembler à un guide fastidieux. La maladie ici étant une métaphore de tout ce qui nous empêche de vivre et d'avancer, Alain est invité à trouver de bonnes raisons de guérir. Etonnamment, la souffrance (et l'incompréhension) d'avoir été quitté l'emporte presque sur la peur de mourir ou du moins l'en détourne. Devant l'issue incertaine de sa maladie, il redécouvre l'importance des choses simples, se met à observer comme jamais il n'a observé auparavant (et dans les rues de New York dans lesquelles il nous balade, il y a de quoi), et en s'ouvrant ainsi à ce qui l'entoure provoque les rencontres avec de vraies belles personnes - à moins que ce ne soit l'inverse ? Alors que le titre sous-entend un roman chargé émotionnellement et tragiquement, il m'a semblé au contraire que l'écriture laissait deviner un auteur résolument joyeux et optimiste, et vraiment agréable à lire. Une jolie découverte.

J'ai beaucoup aimé ce livre qui nous pousse à vivre, mais vraiment vivre !

J'ai suivi Alain face à son cancer et surtout face à lui-même. Il s'interroge et prend conscience de l'essentiel et de lui-même. L'homme apprends à écouter le véritable " soi", celui qu'on bâillonne pour ne pas blesser les autres, pour être comme tout le monde ou même par peur. le cancer est un détonateur pour Alain, une force qui va le pousser vraiment vers l'avant et être en équation avec lui-même. J'ai beaucoup aimé ce côté de l'histoire qui incite à réfléchir et relativisé nos vies et nos soucis.

La petite romance et la recherche de l'être aimé et perdue donne un sens à tout ça. J'ai frémi et j'ai le coeur qui se serrait. Il m'a fait vivre plein d'émotions et surtout de l'amour sous toute ses formes: fraternel, amoureux, amical, paternel ...

Alain a une trentaine d'année et pourtant je lui en donnais le double. Je ne sais pas pourquoi, mais cette image m'a déstabilisé. En tout cas, c'est un personnage très humain, humble, courageux et tenace.

L'écriture de l'auteur est très agréable, je n'ai eu aucun mal à lire ce livre. C'était très fluide et addictive. L'auteur a su planté avec dextérité une ambiance d'urgence, mais aussi d'apaisement qui m'a beaucoup plu.

En bref: Un roman qui remet les choses en perspectives et redonne un sens au priorité. Un livre qui nous prends par la main et qui nous incite a Vivre, mais Vivre VRAIMENT !
Lien : http://mellysbook.kazeo.com/..

Livre lu dans le cadre de la rencontre avec l'auteur.
L'homme qui voulait mourir vivant de Michel Rolion se place entre le roman de développement personnel et le roman tout court. tout dépend de notre état d'esprit.
L'histoire de frères jumeaux qui ont été atteint d'une leucémie. L"un, Alex, continue a vivre comme avant. Il fume, mange normalement et ne fait aucun effort malgré la maladie. L'autre, Alain, fume aussi mais a une vie plus saine et plus équilibrée.
Alain est en couple avec Alyson. Mais le jour où il lui apprend qu'il a un cancer, Alyson va le quitter, peur de revivre les angoisses et une fin tout aussi tragique qu'elle a subit avec son père, mort par le cancer du pancréas.
Alain sait qu'il a une chance sur deux. Alors il entreprend de partir à New York afin d'essayer un nouveau traitement.
Alors qu'il commence à se soigner, Alain va penser reconnaître Alyson dans le métro new yorkais. Alors Alain va s'acharner afin de la retrouver malgré sa maladie.
Pour ce faire, il va réussir à obtenir un emploi de taxi, job qu'il a pu obtenir grâce à la charmante Natacha, rencontrée dernièrement et qui travaille dans une société de taxi comme opératrice.
Mais alain n'est pas rendu au bout de ses surprises et de ses aventures malgré la maladie.
Si vous me lisez, vous devez vous dire que c'est un roman qui a l'air d'être écrit par un auteur normal venu du monde littéraire. Mais nous sommes chez les éditions EYROLLES et chez cet éditeur, tout repose dans le développement personnel.
D'ailleurs, j'ai participé à la rencontre chez babelio et je lui ai demandé s'il n'avait pas hésité à écrire un vrai roman plutôt qu'un roman de développement personnel. L'auteur m'a répondu que non mais que m'a question l'avait touché énormément.
A vous de vous faire votre avis après avoir lu le livre.