Les contes interdits : Pinocchio

< C'est la vue d'une étoile au miroitement bleuté qui l'apaisa >

Que c'était gore !

Bon je savais que conte interdit + interdit aux mineurs + réputation légèrement scabreuse (je pense à Hansel et Gretel) pourrait donner quelque chose de noir... Mais je ne m'attendais pas à autant !

C'est une découverte hyper puissante, gore à souhait. Franchement je me suis sentie dégoûtée à de très nombreux moments. Chaque personnage du conte original est repris et avili à outrance. Mettant le lecteur à la limite de la nausée.

TW : ped*philie, z*ophilie, viol, violence, meurtres ... La liste est longue !

Au début j'aimais le concept, le personnage et l'histoire. Plus je lisais, le personnage me faisait suer. Je l'haïssais beaucoup. Faire ce qui faisait c'est une des choses que je déteste. Un fraudeur, menteur et exploiteur. J'aime pas ce type de personne. Bien content comment ça finis pour lui.

Malheureusement, ce livre m'a déçu. le personnage principal m'a semblé vraiment bête tout au long du roman, et jusqu'à la fin, je me posais la question de savoir pourquoi il agissait ainsi ,je ne parle pas de ses préférences sexuelles. Je n'ai jamais réussi à comprendre la raison de ses actes dérangeants et malsains, ce qui m'a empêché de m'attacher à lui ou de m'immerger dans l'histoire. En effet, l'intrigue était très compliquée et mouvementée, mais cela n'a pas suffi à masquer les failles du personnage. Ce n'est pas le premier livre que je lis de cette collection que j'adore, et pourtant, j'ai ressenti que le dégoût

C'est le 14ème conte interdit que je lis.
Celui-ci m'a laissé un gout de trop peu, je n'arrive pas à savoir si j'ai aimé ou non.
Les personnages ont un réel problème psychologique, ils sont malaisants et dérangeants.
L'histoire est sordide, j'ai été plus d'une fois mal à l'aise en lisant ce livre.

Pinocchio ne rentrera pas dans mon top 10

Encore un peu choquée par certains faits de ce livre. Je l'ai dévoré, malgré le fait que des frissons d'horreur m'aient parcourue je n'ai pu le lâcher avant de l'avoir terminé. Glauque, noir, dérangeant. Il est horrible de constater que les horreurs décrites peuvent arriver dans la vraie vie. Une reprise du conte vraiment éloignée de l'écriture originelle mais on retrouve tout de même facilement les éléments du conte.

Le seul vrai problème que j'ai eu c'est avec l'écriture. Certes elle était crue mais ça n'est pas ce qui m'a gênée. Ce sont plutôt les nombreuses expressions québécoises. Je n'ai vraiment pas l'habitude d'en lire et j'avais parfois envie de corriger le langage employé (étant une adoratrice de la langue française). le livre reste cependant très lisible. Je pense plutôt qu'il me faut un temps d'adaptation, en lisant davantage de romans québécois je finirai sans doute par m'habituer.

Mon deuxième conte interdit après barbe bleue.
Est ce dû justement à ça ??? Je n'ai pas retrouvé l'envie irrésistible de finir le livre et j'ai traîné ma lecture sur plusieurs semaines.
Le début est assez accrocheur mais j'ai trouvé rapidement des longueurs où je me suis ennuyée et perdue. Toutefois la fin rattrape cette déception. Une fin surprenante mais peut-être trop rapide…
Les différentes scènes, les lieux importants, les personnages sont bien détaillés et on s immerge assez vite dans le décor.
A mon sens le livre manque d équilibre mais le final m a tout de même fait apprécier l'ensemble.

Quand une enfance malheureuse pousse sa victime à devenir bourreau. Tous les engrenages viennent s'ajouter au fil de la lecture, expliquant le pourquoi de ces déviances plus que perverses.
Quand l'oubli cache parfois les pires monstruosités. Pinocchio n'échappe pas à son passé car il est trop lourd, trop sombre. Il en sort transformé à jamais, quoi qu'il fasse, ses pires travers fon immanquablement surface. Car les bourreaux ont déjà eu raison de lui. Son existence a été façonnée, faisant de lui un jouet de malheur.

Une toute première pour moi: détester le personnage principal du début à la fin du conte. Malgré quelques moments durant lequel je me suis trouvée face à un sentiment de pitié, la nature du personnage reprend ses droits et m'a replongé dans le dégoût le plus profond.
Un bon moment de lecture ceci-dit et toujours ce plaisir à en dévorer l'histoire.

J'en avais entendu parler et j'étais plutôt curieuse.
Verdict mitigé... 😢 Dans Pinocchio, je trouve que la surenchère diminue la gravité et l'intensité des tortures décrites. Ça finit par en devenir artificiel... trop facile, difficile à croire. J'ai trouvé également que les personnages manquaient de nuances, donc ça n'aide pas. Cela dit, je serais curieuse d'avoir l'avis de psy concernant la crédibilité des personnages. Sont-ils vraiment réalistes ou présentent-ils une version fantasmée de la violence (et des tortionnaires) ? 🤔 Est-ce qu'on ne finit par par tomber dans un voyeurisme plus ou moins malsain (qui permettrait éventuellement de libérer des pulsions refoulées) ?

Si le conte original est déjà assez noir et peu ressemblant à la version édulcorée par Disney, il n'est pas sans dire que la version des contes interdits et sans aucun doute la plus sombre de toutes.
L'histoire débute par la sortie du coma du personnage principal renommé Patrick Nocchio et sur le questionnement principal qui s'étalera sur la durée du roman : Que lui est-il arrivé ?

Le menteur préféré des enfants et pour le coup le cauchemar des lecteurs qui au fil de l'histoire s'aventurent petit à petit dans les horreurs et les fantasmes morbides et dépravés d'un individu aux moeurs et aux valeurs fortement hors des limites. Il est a noté que le livre n'est pas à mettre entre les mains des plus sensibles au vue des nombreuses tortures sur les animaux et autres déviances sexuelles et criminelles présentes dans l'intrigue, qui parfois peut dégoûter même les plus aguerris d'entre nous.

L'histoire est simple à suivre, rapide et va droit au but, le point négatif étant sans aucun doute la fin un peu trop précipitée et certains chemin d'intrigues trop rapidement survolés (peut-être dans l'espoir d'un prochain conte centré sur eux ?).

Pour finir, c'est un roman que j'ai fortement appréciée dans son ensemble et une lecture agréable malgré le dégoût bien présent des actes de notre "héro".

Patrick Nocchio sort d'un coma sans comprendre ce qui lui est arrivé.
On lui parle d'une tentative de suicide...

Ses parents absents, une travailleuse sociale l'envoi vivre chez son grand-père (souffrant du syndrome de diogène) à Québec.
Arrivé sur les lieux il découvre que la maison de Jo est véritable bazar insalubre.
Afin de pouvoir trouver son indépendance il va chercher à appâter les filles pour leur soutirer de l'argent.

Ce livre est très malsain, outre le rapport à l'argent, il y a la façon dont Patrick utilise les femmes et le rapport à la violence sexuelle. Il s'agit d'une version extrêmement glauque et sombre du conte pour enfant.
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