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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
La vie difficile de l'illustrateur, où il faut beaucoup travailler, avoir des éditeurs fidèles pour espérer vivre de sa plume.
C'est ce qui arrive à Geoffroy qui recherche désespérément un autre métier.

Mais que faire, quand on ne sait se servir que d'un crayon ? Même pour ranger des salades dans un hyper, il faut de l'expérience….
Le ton est donné, drôle mais terriblement critique sur la société et surtout le monde du travail. Il finit par trouver dans un EHPAD où il s'occupe des pensionnaires.
Tous ne sont pas logés à la même enseigne. Surtout quand le manque de personnel est flagrant, surtout quand tout est bon pour accroitre les profits.
Malgré ces difficultés, cette immersion dans le réel qui lui fait du bien : il se sent utile : « C'est gratifiant de se sentir utile quand on manque de confiance en soi »
C'est l'autre thème de cette BD : donner un sens à sa vie.

Dommage que la maison d'éditions laisse passer des fautes d'orthographe comme : « on a finit » avec un T au passé composé du verbe finir.

Un bon moment à passer avec Geoffroy sans rechercher plus, car on n'apprend pas grand-chose.
Le récit s'achève sur un clin d'oeil. Dialogue entre deux soignants à propos de Geoffroy :
_ «Je suis persuadée qu'il est venu en sous-marin pour faire une BD sur les EHPAD. »
_ « Tu crois que c'est possible ? Deux ans d'immersion, c'est long… »


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Cet album montre des scènes de la vie quotidienne d'un dessinateur en bout de course, qui doit trouver un « vrai métier » pour subsister. Qui embaucherait un type de son profil, ayant tenu un crayon toute sa vie ? Un employeur d'EHPAD, pardi ! le 1er poste en unité-Alzheimer est alléchant, mais ça se gâte dès que Geoffroy subit les cadences, les ordres des supérieurs irascibles et les week-ends sucrés, faute de personnel. Heureusement des riches rencontres vont lui redonner sa dignité, en rappelant des souvenirs familiaux douloureux. le personnage est attachant, sa vie trépidante riche en émotions. Et ça compense ses problèmes financiers. Ses proches lui font raconter cette vie sur une nouvelle BD (subtiles poupées russes) et tout ça le fait rebondir joyeusement : graphisme sobre, textes simples mais tout est dit, sans oublier le thème de la mort, ni celui des scandales financiers en EHPAD.
Enfin, Geoffroy RUDOWSKI est un proche du célèbre Lupano ? Les connaisseurs ne seront pas surpris !
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Un bel hommage aux soignants des EHPAD pour qui la vie n'est pas toujours facile mais qui font de leur mieux pour chouchouter les résidents.
De beaux dessins épurés, des mots justes pour ce dessinateur qui malgré lui va entrer dans ce monde qui lui est inconnu.
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Geoffroy Rudowsky, alias Rudo, est illustrateur. le jour où il se retrouve dans la dèche, à 42 ans, sans commande et poursuivi par les huissiers, il décide qu'il est temps de trouver "un vrai travail". Comme il aime être utile et aider les autres, il se fait embaucher en tant qu'aide soignant dans un EHPAD (traduction pour les Belges comme moi : un Etablissement d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes. Chez nous, on dit MRS pour Maison de Repos et de Soins).

A la manière d'une photographie, dans des tons sépia, cette BD évoque les souvenirs de Geoffroy, de manière très touchante.

C'est un très beau témoignage de reconversion professionnelle, certes temporaire, d'un artiste qui fait le triste constat que vivre de sa passion ne suffit pas à se nourrir. C'est aussi le témoignage d'un père, divorcé, qui veut se sortir d'une situation compliquée pour ces deux enfants. Il fallait, je trouve, beaucoup de courage pour oser mettre des mots et des images sur cette période difficile de sa vie.

C,'est aussi, de manière subtile, un coup de gueule sur la manière dont fonctionnent les directions des maisons de repos. Geoffroy fait preuve d'un dévouement naturel et de beaucoup de bienveillance envers tous les patients qu'il soigne, contrairement aux dirigeants du EHPAD qui ne parlent que de coupes budgétaires, de rentabilité, au détriment du bien être des patients et du personnel soignant dont ils se soucient peu. Cette triste situation, où les patients deviennent des clients qu'il faut plumer, est tellement fréquente qu'elle mérite d'être dénoncée, encore et encore.

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Faut-il que la page de couverture représente un aide-soignant au petit soin avec une pensionnaire en chaise roulante et que la bd retrace en grande partie cette expérience professionnelle pour qu'elle puisse être classée comme un témoignage social sur les Ehpads ? La réponse est donnée par l'auteur lui-même, Geoffroy Rudowski « Je suis persuadé qu'il est venu en sous-marin pour faire une bd sur les Ehpads. -Tu crois que c'est possible ? Deux ans d'immersion, c'est long. »
Dessiner n'est pas un métier, « lorsque les contrats se font rares et que l'activité ralentit pour être presque à l'arrêt, on s'enfonce petit à petit dans la précarité ». Précarité économique mais aussi sociale car dessiner, c'est aussi travailler en solitaire. L'entourage proche doit alors gérer une « dépendance affective » forte.
Dessins pleins de sensibilité, textes teintés d'humour et de bienveillance, le parcours de vie de Rudo lui a conféré sagesse et humanité même s'il englobe d'un regard cynique la recherche d'emploi et le bien nommé Pôle emploi, le fonctionnement des Ehpads en commençant par son coût et ses économies mesquines et tous azimuts.

Par des planches monochromes et expressives, l'auteur se dévoile par petites touches : le père dessinateur refoulé, mort à 49 ans, qui fait germer dans l'esprit de Rudo la croyance bien ancrée qu'il ne vivra pas vieux à son tour, les dessins d'adolescent collectés dans la poubelle par ce même père à l'insu de tous, preuve s'il en fallait de l'amour porté à son fils.

Si Rudo se rend vite indispensable dans cet ehpad, les pensionnaires le lui rendent bien et vont contribuer à sa renaissance.

Bamboo Edition s'attache ici un grand dessinateur et scénariste. Sur les traces de Laurent Gounelle et dans l'esprit de la magnifique série feel good « le jour où le bus est parti sans elle » de Marko et Beka, Rudo nous émeut.
Le dessin vous manquait, vous nous manquiez !
A 49 ans les choses peuvent être différentes, il suffit parfois de s'en persuader
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L'importance de croire en ses rêves 📚

Dans ce roman graphique plein de douceur et d'humanité Geoffroy Rudowski alias Rudo raconte les coulisses du métier de dessinateur indépendant. Comment après 20 ans à dessiner, une mauvaise passe sans travail qui dure, les dettes qui s'accumulent, le conduisent très vite à la précarité, il est amené à trouver un "vrai" travail selon les mots du juge ! Et il trouve un poste d'agent de soins dans un EPAHD dans l'unité des malades d'Alzheimer d'abord, puis dans un service normal. Outre le constat du manque d'effectifs et du personnel corvéable à merci, la dure réalité quotidienne des EPAHD, c'est dans la relation avec les personnes âgées qu'il va prendre conscience de l'impermanence des choses, de la fragilité de la vie. Pour des raisons personnelles, dès son plus jeune âge il a dû faire face à des responsabilités qu'aucun jeune n'imagine avoir à porter. C'est donc avec beaucoup d'empathie, de sensibilité et de bienveillance qu'il va s'acquitter de ses tâches. Et cela, ainsi que les échanges avec les résidents ( on ne peut pas ne pas penser aux romans graphiques de Xavier, l'homme étoilé) va le faire réfléchir au sens de sa vie, à ses choix.



Avec des dessins en majorité sépia ou gris, de jolis personnages , très attachants, à commencer par Rudo lui-même, cette BD est très agréable à lire et son message universel ne peut que parler au coeur de celui ou celle qui la lit.

Merci DavidG75 d'en avoir fait une BD voyageuse !
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Voilà maintenant 20 ans que Geoffroy exerce le métier d'illustrateur. Malheureusement, ses revenus étant irréguliers, il se retrouve aujourd'hui endetté. Comme lui a suggéré la juge en charge de son dossier, il serait préférable pour lui qu'il trouve "un vrai métier". Aurait-il, à ses yeux, exercé un faux métier ?! Pourtant, réussir à vivre de ses illustrations n'a pas été chose facile, il faut sortir du lot et arriver à être publié. Son activité étant au ralenti, sa compagne lui reprochant de ne pas travailler, il décide de se rendre à Pôle Emploi. Mais là encore, son CV ne correspond pas vraiment aux profils recherchés et il manque cruellement d'expérience. Alors qu'il rend visite à sa maman, malade et très affaiblie, elle l'informe que l'hôpital cherche du monde. C'est ainsi que Geoffroy se retrouve agent de soins à la résidence pour personnes âgées Alphonse Gratinier...

Dans cet album, Geoffroy Rudowski, alias Rudo, nous raconte sa propre expérience au sein d'un Ehpad, suite à une longue période de vaches maigres le conduisant dans une situation financièrement précaire. En tant qu'agent de soin, il devra faire leur toilette, les aider à manger, les accompagner et les aider dans leur quotidien, d'abord dans l'unité fermée, ensuite dans les étages (là où il aura en charge beaucoup de résidents). Il va vite se rendre compte du peu de moyens et de temps qu'il aura à disposition. Il pose un regard lucide sur ce métier parfois difficile, sur la façon dont les résidents sont traités eu égard à la rentabilité, sur leur solitude ... Il aborde également des sujets plus personnels tel que son couple, son métier d'illustrateur, ses projets de vie... Autant de sujets évoqués avec bienveillance et tendresse. Graphiquement, le trait délicat et tout en rondeur et les tons sépia apportent douceur et légèreté.
Un témoignage intéressant et juste...
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Chose bien connue, rares sont les auteurs de bd, qu'ils soient dessinateurs ou scénaristes qui peuvent vivre de leur art et nombreux sont ceux qui doivent exercer un métier à côté. C'est le cas de Geoffroy, la petite quarantaine qui après avoir passé 20 ans penché sur ses planches à dessins a toujours du mal à joindre les deux bouts et est tombé dans la précarité. Ajoutons à cela son couple qui bat de l'aile et une crise existentielle … Il n'a plus le choix. Alors un jour la raison prend le pas sur la passion et il range ses crayons. Pas facile la reconversion ! Après un parcours du combattant chez Pôle emploi, il dégotte enfin un job d'aide-soignant dans un EHPAD. Il y restera deux ans avant de revenir à ses premières amours afin de nous faire part de son expérience dans « Prends bien soin de toi » paru aux Editions Bamboo.
Il s'agit là d'un récit autobiographique et Geoffroy Rudowski n'est autre que Rudo dessinateur et illustrateur de presse depuis la fin des années 90 qui s'est illustré dans le genre humoristique. Si le sujet est ici sérieux, bien que non dénué d'une dose d'autodérision, on retrouve la rondeur de son trait à la limite cartoonesque et un découpage dynamique. La narration est fluide et très lisible notamment grâce à l'utilisation d'un code couleur bienvenu. Usant de bichromies aux tons désaturés, on passe en douceur du présent aux tons saumon pâle au passé en camaïeu de gris le tout traversé par les pensées et la réflexion à dominante mauve. Parfois, le noir vient envahir la case lors des moments de tension.
A travers le quotidien d'un soignant, l'auteur confirme ce que malheureusement nous connaissons des dysfonctionnements de ces établissements  : le manque de personnel, le dévouement et l'épuisement des soignants sans occulter pour autant le je-m'en-foutisme de quelques-uns, une direction pour laquelle priorité rime avec rentabilité et dont les décisions pèsent lourd sur le bien-être des résidents dont il nous livre ici quelques portraits, quoique un peu succincts qui auraient gagné à être un peu plus étoffés.
Cette parenthèse professionnelle est aussi pour lui l'occasion de faire le point à un moment de sa vie où tout semble « foutre le camp » et il aborde d'autres domaines plus intimes : le manque de confiance en soi, le besoin de se sentir utile, la séparation, les difficultés à gérer planning et garde alternée des enfants qui ont du mal à accepter cette reconversion qu'ils jugent dégradante, le rapport à la maladie avec le cancer de ses parents, la vieillesse, la mort. C'est l'occasion aussi de rendre hommage à son père trop tôt disparu.
Très belle lecture que le récit de cette tranche de vie même même s'il m'a moins touchée que ce qui a été pour moi un très gros coup de coeur Le plongeon de Séverine Vidal et Victor L. Pinel paru également chez Bamboo Édition (Collection Grand Angle) qui aborde la même thématique mais du côté des pensionnaires. Je l'avais d'ailleurs chroniqué sur Babelio à sa sortie.
Pour conclure, je voudrais remercier Babelio ainsi que Bamboo Edition de m'avoir permis de découvrir cette BD reçue dans le cadre d'une masse critique privilégiée. 
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Alors qu'il n'arrive pas (ou plus) à vivre de son art, un dessinateur de BD essaie, sans succès de trouver un nouveau métier. Mais à 42 ans, personne ne veut lui donner sa chance, jusqu'au jour où on le contacte pour un remplacement en tant qu'agent de soins à la résidence Alphonse Gratinier. Commence alors une nouvelle aventure pour Rudo qui va découvrir « les joies » de la prise en soin des personnes âgées dans un EHPAD.

Je remercie Babelio, Anaelle Alvarez Novoa et les éditions Bamboo de m'avoir donné l'opportunité de lire cette BD, dans le cadre de l'opération Masse Critique. Après le Plongeon chez le même éditeur, c'est la deuxième BD sur le monde des EHPAD en à peine quelques mois. Néanmoins, l'angle de celle-ci est un peu différent. La première racontait l'histoire d'une patiente d'un de ces établissements. Alors qu'ici le parti pris est de suivre le quotidien d'un soignant. Certaines constatations se recoupent mais on s'attarde autant sur le patient et sa prise en soin que sur la vie et les relations entre les soignants. On se moque de certains comportements et on en dénonce d'autres.

Nous découvrons ici le point de vue de Geoffroy Rudowski alias Rudo, dessinateur de BD, qui a décidé de prendre un job alimentaire pour payer ses factures et remettre de l'ordre dans sa vie. C'est un album autobiographique qui met en évidence une réalité : la précarité des auteurs de BD. le fait que Rudo parle de sa propre vie donne de la crédibilité à l'ouvrage. En effet, le héros nous raconte avec émotion une histoire et des anecdotes assez justes qu'il a vécues personnellement.

Depuis de nombreux mois, on ne cesse de voir des articles sur certains sites spécialisés, concernant la précarité des auteurs de BD. Là, nous avons un exemple type d'un homme qui décide de tout plaquer (pendant 2 ans) afin de pouvoir vivre dans de meilleures conditions. Il a décidé de sacrifier ses rêves pour un quotidien plus terre à terre. Néanmoins, sur les conseils d'une patiente qui lui fait comprendre que la vie est trop courte, il décide de revenir à ses « premières amours » pour s'épanouir. le scénario est bien construit. Il fait la part belle à l'humour, sans jamais tomber dans l'exagération, ce qui rend la lecture assez plaisante.

Le dessin quant à lui, est plein de légèreté et de tendresse, ce qui colle plutôt bien avec le sujet traité. le choix de l'utilisation du sépia pour les couleurs de l'album donne un petit côté « souvenirs » et poétique à l'ensemble. On comprend que cette expérience a pris fin et qu'il se la remémore. Sur quelques pages, on peut voir par moment un peu de gris pour faire comprendre qu'il s'agit d'un souvenir de sa jeunesse passée (un souvenir dans le souvenir) et un peu de mauve lorsque l'auteur nous montre les cauchemars dans lesquels il imagine l'auteur d'un livre en dépendance affective, prêté par sa future ex-compagne. Donc, à part à ces endroits, on ne voit véritablement de la couleur que sur la couverture assez sobre qui laisse présager une prise en soin empreinte d'humanité de la part de l'auteur. L'artiste utilise également sur celle-ci des couleurs chaudes pour humaniser les personnages et contrebalancer avec le blanc et le bleu symbolisant le domaine de la santé.

Beaucoup de thèmes assez poignants et inhérents aux EHPAD, comme la fin de vie ou les soins dispensés aux patients, sont évoqués dans les pages de cet album. Comme je l'ai déjà dit dans d'autres chroniques, je suis soignant et même si je ne travaille pas en EHPAD en ce moment, les Bandes Dessinées sur le domaine de la prise en soin de patients âgés dépendants ont tendance à me toucher. Notamment lorsque le traitement scénaristique est axé sur l'humanité et le réalisme. Humanité ici car cela parle avec générosité et bienveillance des patients, de leur vie et de leur pathologie. Mais aussi réalisme notamment en n'hésitant pas à présenter l'implication relative de certains soignants, les relations avec les familles ou encore la recherche du profit par les directions des établissements de santé, le plus souvent privés. Néanmoins, l'auteur utilise beaucoup l'humour dans ses pages pour « faire passer la pilule » et parler des sujets qui fâchent.

Rudo n'idéalise pas les choses et nous relate sans fard aussi bien son vécu professionnel que les difficultés de son couple ou encore son rôle de père. C'est un album plein d'émotions qui fait réfléchir autant qu'il distrait.

Lien : http://www.artefact-blog-bd...
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Dessinateur professionnel, sans argent et au bord de la séparation, le héros est sommé de trouver un « vrai travail ». Il accepte donc un emploi dans un EHPAD où il doit s'occuper de personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer.
Avec une grande sensibilité et beaucoup de pudeur mais avec un grand réalisme, l'auteur nous plonge dans le monde des établissements spécialisés. Cet album est d'autant plus utile qu'il est en fait le témoignage du dessinateur qui, confronté à la précarité, a été contraint de travailler pendant deux ans dans un EHPAD. On découvre des moments touchants de sensibilité grâce à des rencontres fantastiques avec ces pensionnaires souvent infantilisés mais tellement humains.
Cet album montre la force et le dévouement du personnel même si certains soignants se montrent peu scrupuleux et certaines familles tellement déstabilisantes. La réalité sera montrée sans enjoliver le propos mais toujours avec humour.
Une mise en image d'une expérience vécue avec une rare élégance dans le trait graphique. Les personnages sont bien définis et les ambiances sont parfaitement rendues. A noter également certaines astuces dans le découpage notamment pour expliquer le mécanisme psychologique de l'hypersensibilité. Bref, un ouvrage lumineux sur la forme.
Voilà une BD remplie d'humanité, de tendresse, et de vérité que je recommande à tous car, un jour ou l'autre, nous sommes tous confrontés au système des EHPAD.
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