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Séverine Vidal (Autre)L. Pinel (Autre)
EAN : 9782818978993
80 pages
Bamboo Edition (13/01/2021)
4.24/5   872 notes
Résumé :
“Un EHPAD, des fesses, de l’amour et des rides !”

En fermant une dernière fois les volets de sa maison, Yvonne, 80 ans, abandonne 40 ans de vie pour intégrer un EHPAD.

Le changement est rude pour cette femme indépendante, d’autant qu’elle a encore toute sa tête. Elle a du mal à s’acclimater à cette nouvelle vie, qui la rapproche douloureusement de la mort.

Prise dans le tourbillon inéluctable de la vie, l’octogénaire dé... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (283) Voir plus Ajouter une critique
4,24

sur 872 notes
Quelle BD délicieuse et émouvante en même temps, empreinte d'une infinie tristesse et d'une joie de vivre communicative !
Yvonne, Madame Lhermitte, a quatre-vingt ans et c'est décidé : elle va quitter sa maison pour l'EHPAD, la maison de retraite comme on disait avant… C'est le début de cette histoire : le plongeon dont le scénario est signé Séverine Vidal alors que les dessins sont de Victor L. Pinel.
Une tristesse infinie se dégage de ces premiers instants avec la visite de l'agent immobilier et du couple intéressé par l'achat des lieux. Leurs remarques font mal à Yvonne : « de beaux volumes… Mais tout à refaire ! »
Il faut se séparer de Bellouche, sa chienne fidèle, voir vider sa maison et partir avec enfants et petits-enfants pour l'EHPAD, Les Mimosas.
Là, Yvonne ne se sent pas bien, n'aime pas sa chambre mais peu à peu, se lie d'amitié avec quelques résidents dont Paul-François que tout le monde appelle P-F et avec qui elle partage à nouveau l'amour.
Alors, il y a le scrabble, les ateliers, la poterie mais pour Yvonne, ce n'est pas la vie. Elle taquine, fait des siennes, redonne le sourire à ses amis au cours d'une soirée bien arrosée, dans sa chambre. Elle qui s'occupait d'un domaine viticole, près de Libourne, avec Henri, son mari, avait gardé quelques bonnes bouteilles…
Youssef, infirmier attentionné, comprend mieux que quiconque les désirs de liberté d'Yvonne et de ses six amis, même s'il essaie de les retenir lorsqu'ils entreprennent une fameuse fugue qui se terminera par le plongeon.
Tout est remarquablement dessiné par Victor L. Pinel. Certaines planches sont d'une éloquence impressionnante qui en dit plus long que les plus beaux discours. Victor L. Pinel a bien dessiné vieilles et vieux et n'a pas hésité à les représenter nus lorsqu'il le fallait. Il a osé et c'est bien fait.
Enfin, accompagnant une histoire pleine d'enseignements, sur ce monde clos des EHPAD et des relations avec la famille, les textes de Séverine Vidal sont toujours bien choisis, percutants, terriblement tristes quand il le faut.
L'humour et la joie de vivre les dernières années d'une vie imprègnent cet album qui offre non seulement un bon moment mais une belle occasion de réfléchir au sort que nous réservons aux personnes les plus âgées.

Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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Avec le plongeon, j'ai découvert un splendide album tout en sensibilité avec, déjà, une couverture magnifique !
Écrire un livre sur la vieillesse, les personnes âgées en EPHAD , il fallait se lancer. Séverine Vidal a osé et peut être fière du résultat. Il faut dire que Victor L. Pinel a merveilleusement accompagné son récit par des dessins délicats et épurés. Les visages et les corps sont vraiment très expressifs et Yvonne, cette grand-mère octogénaire, est on ne peut plus actuelle et vivante.
L'histoire de cette dernière démarre avec la vente de sa maison avant d'être admise à l'EPHAD « Les mimosas ». Elle pense aux soixante années ou presque, passées dans cette maison avec son mari Henri, décédé depuis peu. « Je n'aurai plus rien ici, aucune fête, aucune chute, plus aucune nuit d'amour. Je n'ouvrirai plus les volets sur le matin frais. Je ne m'assiérai plus, un verre à la main pour contempler le soleil se coucher. Je pars. »
Mais ne nous laissons pas aller à la mélancolie car Yvonne a encore des ressources et de l'énergie ! Preuve en est lorsqu'elle intervient dans une partie de scrabble ou encore lors de sa création personnelle à l'atelier poterie. Quant à son dernier pied de nez à la monotonie de cette vie en EPHAD, un véritable soleil, on peut le considérer comme un dernier plongeon dans l'eau fraîche, mais je vous laisse le soin de le découvrir.
Néanmoins, les coups de « moins bien » sont également bien présents quand, par exemple, une visite attendue avec tout le soin apporté à se préparer, à se faire belle, se désiste au dernier moment. Plus grave, ces instants où maintenant, Yvonne s'éclipse, c'est à dire perd le fil de la réalité et qui lui font peur.
Heureusement, tout n'est pas perdu et l'amour peut être encore possible, grâce à la connivence et à la complicité de cet infirmier si compréhensif et si humain !
C'est une BD de toute beauté que j'ai eu le privilège de découvrir grâce aux Éditions Grand Angle et à Babelio. C'est une BD où le scénario et le dessin sont particulièrement complémentaires. Les expressions du visage d'Yvonne doivent correspondre à chaque sentiment exprimé dans l'action et ils sont nombreux. La mélancolie, la tristesse, la colère, l'étonnement, la moquerie, l'amour, la joie de même que la douceur ou la dureté doivent être rendus dans les dessins et Victor L. Pinel les a restitués à merveille. Quant aux couleurs, le bleu de la couverture, couleur de l'eau, plus pastel, à l'intérieur, il colle bien avec les émotions d'Yvonne.
J'ai lu et même relu une deuxième fois le plongeon, tant j'ai été séduite et émue à sa lecture. J'ai pu avoir les larmes aux yeux, quelques fois, mais j'ai aussi jubilé avec Yvonne à ses facéties, et j'ai avant tout apprécié la poésie qui règne tout au long de cet album.

Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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Il y a 30 jours déjà je recevais le plongeon dans ma boîte aux lettres. le temps passe si vite, ce n'est pas ma grand-mère qui aura bientôt 83 ans qui dira le contraire. le temps passe vite, la vie défile jusqu'à ce que peu à peu la vieillesse fasse son effet, que vivre seul devienne trop compliqué.

Quitter sa maison où on a vécu une bonne partie de sa vie, son foyer, se voir peu à peu décliner ne doit pas être évident. Que cela soit pour intégrer un EHPAD comme c'est le cas d'Yvonne dans cette BD où allez vivre chez l'un de ses enfants les choses ne sont pas évidentes. C'est un changement de vie, de rythme, d'habitude, une perte d'indépendance. Cependant malgré cela la vie continue avec ses joies et ses peines. La vieillesse est là en effet mais il y a aussi l'envie de vivre encore de nouvelle expérience, de se faire des amies, de rire, d'être aimé et d'aimer.

J'ai trouvé cette BD vraiment très touchante, j'ai été triste lors de cette lecture mais où j'ai aussi de nombreuses fois souris. Je l'ai relu le lendemain avec ma grand-mère dont la santé ces dernières semaines se détériore de plus en plus de façon inquiétante. Un moment de lecture et d'échange singulier ou ont été abordé des souvenirs passés joyeux et tristes, le présent et l'avenir. Je sais que je vais conserver cette BD toute ma vie, j'ignore cependant si je la relirai un jour attachant désormais à cette lecture l'un de ses rares moments un peu hors du temps que l'on peut avoir en compagnie de nos proches.

Merci à Babelio et à Bamboo Edition pour l'envoi de cette BD.
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PLOUF ! Plongez !... au pays de "la vieillerie" et pourquoi cela devrait rimer forcement avec maladie, nostalgie et fin de vie et compagnie? .....Séverine Vidal nous entraîne avec délicatesse et subtilité vers cet univers où son héroïne a encore toute sa tête et de l'énergie à revendre et à faire partager !! Elle doit rejoindre un EPAD après avoir vendu sa maison et doit se séparer à contre coeur de son chien...
Vaste sujet de société ..à but lucratif pour certains et casse tête chinois pour d'autres..."pourquoi parquer nos anciens? les faire sombrer irrémédiablement vers la solitude....
...Nos sociétés où nous n'avons plus l'habitude de voir et de côtoyer des morts ; où la mort est camouflée (les corbillards ont changé de couleur...) ...entre faux-semblants des familles et l'entourage, dans un monde où la dignité humaine est plus que transparente.. que de bravoure et de dévouement pour ces équipes médicales qui n'ont de cesse que de faire du mieux possible, entre carcans médicamenteux et animations obligatoires..." S'amuser, c'est tromper la mort" disait PASCAL, et justement il n'y a pas d'âge pour la gaieté, quelques petits plaisirs et des balades !..cela n'a jamais fait de mal à personne, c'est ce que compte bien faire cette" mamie" !
Séverine VIDAL traite le sujet sans tabou, avec subtilité et intelligence, cette histoire nous renvoie à nos propres questionnements pour appréhender une étape finale qui pour tous et toutes restera toujours difficile à prédire et à anticiper avec sérénité...

Et je ne peux que penser à cette réflexion de Monsieur Pierre RABHI :
" Quand je me suis amusé à refaire l'itinéraire de l'être humain dans la modernité, je me suis aperçu que notre monde avait des allures carcérales. de la maternelle à l'université, on est enfermé (on appelle cela le « bahut » d'ailleurs), ensuite on est dans des casernes, puis tout le monde travaille et vit dans des « boîtes » plus ou moins petites ; pour s'amuser, on va en boîte et on y va dans sa « caisse » ; « enfin, on rentre dans une boîte à vieux et on retrouve la dernière boîte que je vous laisse deviner !"


Sortons un peu des boîtes ! essayons de penser autrement...
















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Des décennies qu'Yvonne Lhermitte habite la même maison. Elle y a vécu de nombreux moments inoubliables, fêté de nombreux anniversaires. Mais aujourd'hui, maintenant que son mari, Henri, n'est plus là depuis quelques mois, elle ne sent plus capable de rester là, seule, sachant que plus rien ne l'attend. À 80 ans, elle décide alors de vendre sa maison et de s'installer dans un EHPAD. C'est, évidemment, le coeur serré et les larmes aux yeux qu'elle referme, pour la dernière fois, la porte de sa maison. Accompagnée de ses enfants et petits-enfants, elle part s'installer aux Mimosas, où la directrice l'accueille et lui fait découvrir son nouveau lieu de résidence mais aussi ses futurs compagnons. D'emblée, rien ne lui plaît ici, ni la directrice trop bavarde, ni sa chambre monacale. Mais, Yvonne n'a d'autre choix que de s'adapter si elle veut continuer à vivre, tout simplement...

Quel bouleversement pour Yvonne de quitter toute la vie qu'elle s'est construite dans sa maison, son mari à ses côtés depuis tant d'années. Mais maintenant qu'elle est seule, qu'aucun rire ne résonnera, qu'aucune larme ne sera versée, qu'aucune fête ne sera célébrée, elle sait que l'EHPAD est la seule solution. Et c'est aux Mimosas que sa vie va continuer, et certainement se finir. En compagnie, notamment de PF, de Thérèse ou encore d'Angelina Jolie, elle va vivre des moments inoubliables... avant le plongeon ! Séverine Vidal nous offre un album touchant et intimiste au coeur duquel elle dépeint les bouleversements que doit affronter et surmonter Yvonne maintenant qu'elle est seule. de par sa fougue, son humour, son entrain, Yvonne est un personnage vraiment attachant et permet d'avoir un autre regard sur les personnes du 3ième, voire 4ième âge, mais aussi sur les EHPAD. L'auteure dépeint aussi bien les relations entre les résidents, les moments collectifs comme les ateliers ou les repas, les moments de solitude mais aussi, inévitablement, les moments de déchéance. de par les témoignages récoltés et les échanges, cet album fait montre d'une profonde sincérité et d'une tendre humanité. Graphiquement, le trait réaliste tout en finesse et les couleurs douces de Víctor L. Pinel apportent eux aussi tendresse et bienveillance.
Un album émouvant...
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critiques presse (4)
Bedeo
01 février 2021
La mise en scène et les compositions des pages savent aussi ralentir le rythme pour nous faire percevoir le temps qui passe, pour suspendre ainsi un moment, le temps de saisir une crainte, une envie, un désir.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Auracan
15 janvier 2021
On referme Le plongeon ému mais...avec le sourire !
Lire la critique sur le site : Auracan
BDGest
12 janvier 2021
Le Plongeon dresse un tableau de notre civilisation empli d’humanité avec, comme fil conducteur, le bout d’existence aussi petit soit-il qu’il reste à vivre, à croquer à pleines fausses dents !
Lire la critique sur le site : BDGest
ActuaBD
29 décembre 2020
Si le pitch ne brille pas par son originalité, on appréciera le ton et la sensibilité du récit de Séverine Vidal. Venue de la littérature jeunesse et forte d’une expérience d’ateliers d’écriture en EHPAD, la scénariste connaît bien son sujet, sa description du cadre du récit et le portrait de ses personnages sonnent particulièrement juste. Une bonne touche de fantaisie et d’humour, parfois un peu caustique rend cette chronique attachante et séduisante.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (78) Voir plus Ajouter une citation
J'ai eu vingt ans ici, un mariage sous le tilleul, mes cheveux retenus en queue-de-cheval.

J'ai eu trente ans ici, et quatre fois le ventre gros. Trois bébés qui ont grandi, comme on court dans les hautes herbes. Et l'autre, celui qui n'a pas vécu, est enterré plus loin. Nous n'avons pas fleuri sa tombe.

J'ai eu quarante ans ici, un monde à mener à la baguette, avec le sourire. Et puis des années douces, le rire de mon homme, sa calvitie et ses mains baladeuses.

J'ai eu cinquante ans ici, sans jamais craindre les lendemains.

J'ai eu soixante ans, la fête un jour d'orage, et soixante-dix ans, la marche plus lente, toujours main dans la main avec lui.

J'ai eu quatre-vingts ans ici, Henri avait disparu quelques mois avant et les enfants me disaient "tourne la page". Depuis, j'avance en manquant de tomber à chaque pas, puisque chaque pas m'éloigne encore de lui.

Je n'aurai plus rien ici, aucune fête, aucune chute, plus aucune nuit d'amour. Je n'ouvrirai plus les volets sur le matin frais. Je ne m'assiérai plus, un verre à la main pour contempler le soleil se coucher.

Je pars.
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J'ai horreur de ce genre de couvre-lit. Tissu rêche, couleur moche, poussière, cendre. Couleur mort, on dirait qu'ils le font exprès.
Je déteste ce papier peint, cette peinture écaillée, cette odeur de vieillerie, de sang frais, de médicament.
Je hais le bruit du robinet qui fuit, ce ploc, ploc.
Oui, c'est à croire qu'ils le font exprès.
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Voilà. Ça arrive. Comme une bête sauvage qui attendait, tapie, et me saute à la gorge.
Les mots fuguent. Et les souvenirs aussi. Vos voix à tous, je ne les entends plus : je ne sais plus à quoi ressemblait la tienne, Henri. Hier, à l’atelier, j’avais à la fois trop de souvenirs et aucun. Une bouillie de mémoire, autant dire rien.
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J’aimerais que tu sois encore là Henri, que tu te perdes juste pour que je te retrouve. Je ne me fâcherais pas. Ta fugue serait pardonnée. J’enroulerais mes bras autour de tes épaules et je te dirais « viens ».
Cinquante-huit ans avec toi, et puis ce vide après. On dirait que je sombre et que la chute est sans fin. (page 49)
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J'ai eu vingt ans ici, un mariage sous le tilleul, mes cheveux retenus en queue-de-cheval.
J'ai eu trente ans ici, et quatre fois le ventre gros. Trois bébés qui ont grandi, comme on court dans les hautes herbes. Et l'autre, celui qui n'a pas vécu, est enterré plus loin. Nous n'avons pas fleuri sa tombe.
J'ai eu quarante ans ici, un monde à mener à la baguette, avec le sourire. Et puis des années douces, le rire de mon homme, sa calvitie et ses mains baladeuses.
J'ai eu cinquante ans ici, sans jamais craindre les lendemains.
J'ai eu soixante ans, la fête, un jour d'orage et soixante-dix ans, la marche plus lente, toujours main dans la main avec lui.
J'ai eu quatre-vingts ans ici, Henri avait disparu quelques mois avant et les enfants me disaient "tourne la page". depuis j'avance en manquant de tomber à chaque pas, puisque chaque pas m'éloigne encore de lui.
Je n'aurai plus rien ici, aucune fête, aucune chute, plus aucune nuit d'amour. Je n'ouvrirai plus les volets sur le matin frais. Je ne m'assiérai plus, un verre à la main pour contempler le soleil se coucher.
Je pars.
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Videos de Séverine Vidal (22) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Séverine Vidal
L'automne est une période chargée pour le rayon BD à Dialogues : entre la préparation de Noël et les Rencontres brestoises de la bande dessinée, festival qui se déroule chaque année le dernier week-end de septembre, nos libraires vivent une période de grande effervescence, et Adeline nous en dit quelques mots. Puis, place aux conseils de lecture : nos trois libraires Nicolas, Pauline et Adeline vous livrent leurs derniers coups de coeur !
Voici les bandes dessinées conseillées dans cet épisode : - Wonder Woman Historia, de Kelly Sue DeConnick, Phil Jimenez, Gene Ha et Nicola Scott (éd. Urban Comics) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22534423-wonder-woman-historia-the-amazons-kelly-sue-deconnick-urban-comics ; - le Visage de Pavil, de Jérémy Perrodeau (éd. 2024) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22528390-le-visage-de-pavil-jeremy-perrodeau-editions-2024 ; - Rosigny Zoo, de Cloé Wary (éd. Flblb) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22539785-rosigny-zoo-chloe-wary-flblb-editions ; - Échecs, de Victor L. Pinel (éd. Bamboo) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22446481-echecs-histoire-complete-victor-lorenzo-pinel-bamboo ; - le Grand Incident, de Zelba (éd. Futuropolis) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22392272-le-grand-incident-zelba-futuropolis.
Quelques titres cités au fil des conseils : - le Long des ruines, de Jérémy Perrodeau (éd. 2024) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22529076-le-long-des-ruines-jeremy-perrodeau-editions-2024 ; - Conduite interdite, de Cloé Wary (éd. Steinkis) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/10916331-conduite-interdite-chloe-wary-steinkis ; - Saison des roses, de Cloé Wary (éd. Flblb) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/15354644-saison-des-roses-chloe-wary-flblb-editions ; - La Maison de la plage, de Victor L. Pinel et Séverine Vidal (éd. Marabulles) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/15249795-la-maison-de-la-plage-victor-pinel-marabulles ; - Puisqu'il faut des hommes, de Victor L. Pinel et Philippe Pelaez (éd. Bamboo) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/16073127-puisqu-il-faut-des-hommes-joseph-joseph-victor-lorenzo-pinel-bamboo.
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