Alcatraz, tome 1 : Alcatraz contre les infâmes bibliothécaires

Vous croyez connaître vraiment le monde dans lequel on vit ? Et bien accrochez-vous à vos baskets car tout ceci n'est qu'un mensonge, et Alcatraz va l'apprendre à ses dépens le lendemain de son anniversaire quand son grand-père apparaît dans sa vie. le monde du Chutland est contrôlé par les Bibliothécaires, tout n'est que mensonge, ils veulent garder secret toute la magie qui existe au sein de ce monde. Par chance Alcatraz, au travers de ce livre classé en Fantasy, va nous remettre dans le droit chemin.

J'ai adoré ce premier tome, j'ai aimé l'idée, j'ai aimé la façon dont c'était écrit. L'ironie et les sarcasmes d'Alcatraz, sa façon de narrer son histoire. On a envie d'y croire. En tout cas une chose est sûre, la famille Smedry semble du genre à foncer droit dans les ennuies. Et même si Bastille, leur garde du corps (une jeune fille de treize ans comme Alcatraz) essaie de les en empêcher, ils y vont quand même. Même Alcatraz qui pourtant au début peine à comprendre ce qu'il se passe, fonce un peu dans le tas. Cela mène à des dialogues marrants, des remises en questions qui paraissent illogiques (les escaliers mieux que l'ascenseur ?), et des scènes d'action.

On n'a pas le temps de s'ennuyer au cours de la lecture, en effet les chapitres sont rythmés et même si Alcatraz aime nous rappeler qu'il est l'auteur et qu'il s'amuse bien à nous faire languir, j'étais à fond dedans, et ses coupures me faisaient sourires. J'avais envie de voir comment tout ce petit monde allait s'en sortir, comment Alcatraz allait se servir de son Talent et d'ailleurs à quoi pouvaient bien servir ces Talents qui paraissaient ne pas en être.

C'était original et drôle, prenant, on ne s'ennuie pas et les pages se tournent toute seule. Ca donne envie de s'échapper du Chutland. En bref, j'ai bien ris, j'ai eu parfois peur, et j'étais bien prise dans l'histoire. Je serai ravie de lire le tome deux.
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🤯 le plus gros Kamoulox de l'histoire des Kamoulox 🤯

Ce livre est COMPLÈTEMENT barré 😆
Imaginez si Percy Jackson avait pris de la cocaïne ou que Harry Potter était sous acide 🤣
À lire au 2nd voir au 3ème ou 4ème degré 🤪

Si vous commencez ce livre et que vous ne bitez rien, pas d'inquiétude, c'est normal, Alcatraz non plus 😆

J'aime pas le terme antihéros parce qu'il est souvent abusivement employé, mais là, on peut pas faire moins héros qu' Alcatraz Smedry 😅

Il casse tout, c'est un gros boulet 🤷🏻‍♀️
Exemple, il essaie de faire chauffer de l'eau, il met le feu à la cuisine 😆
Il passe de familles d'accueil en familles d'accueil, personne ne veut le garder plus que plusieurs mois ou semaines 😕

Le lendemain de ses 13 ans, un vieux papi vient sonner à la porte pour lui dire qu'il est son grand-père et qu'il est un Oculateur 🤯 et que casser des choses, c'est son "pouvoir" 😱
C'est quoi un Oculateur ?
Aucune idée 🤣
Tout va vite, très vite, trop vite, Alcatraz n'a pas le temps de comprendre quoi que ce soit et nous non plus 😱

Heureusement, au fil de l'histoire, on a pas mal d'explications sur le pourquoi du comment et on réussit à raccrocher les wagons 😅

J'ai beaucoup aimé les personnages qui entourent Alcatraz 💜
Bastille la garde du corps qui défonce des têtes à coup de sac à main, Papi Smedry dont le pouvoir est d'arriver en retard et les cousins Smedry : Quentin qui a le don de dire n'importe quoi et Sing qui sait trébucher mieux que personne 🤭
Une sacrée bande de bras cassés, vous avez pas idée 🤣

Un conseil, si vous lisez ce livre : laissez vous porter, n'essayez pas de comprendre 😂
En plus, il fait moins de 300 pages, si vous aimez pas, le calvaire sera vite terminé 🤣

Mais j'ai quand même une question pour Brandon Sanderson :
Est-ce qu'il y a quelquechose qu'il ne sait pas faire ? 💜

djdk'frfi'endlekkejfndn (langue oubliée)

Alcatraz (oui, comme la célèbre prison) Smerdy de son petit nom de famille est un brise-tout. Aucun objet ne lui résiste et c'est bien là le soucis ! Personne ne veut de lui. Ta envie de te retrouver avec un gosse qui fout le feu à ta cuisine ? Personnellement non ! 🔥🔥

Balancé comme une épluchure de carotte de famille d'accueil en famille d'accueil, il erre comme une âme en peine. 👻👻

Jusqu'au jour où il reçoit un sac de sable pour son 13e anniversaire. Et jusqu'au jour où, un vieux timbré frappe à la porte en se présentant comme... son papy. 👴👴

C'est abracadabrantesque cette histoire. Il faut la lire pour y croire. 📚📚. Des bibliothécaires remodelant le monde que l'on connait , des armes d'une autre époque. On marche sur les bras de la tête 😁

Ce que j'ai particulièrement adoré dans ce livre, c'est que le narrateur te parle ! Je trouve ça très immersif et drôle. Ça n'a nullement gêné ma lecture. 😁😁

Alcatraz Smedry est orphelin. Depuis son plus jeune âge, il enchaîne les familles d'accueil. Ce n'est pas de sa faute, il cumule les maladresses et finit toujours pas détruire quelque chose. Mais le jour de ses 13 ans, il reçoit un étrange colis... de la part de son père sensé être mort ! Et le lendemain, c'est son grand-père, qu'il n'a jamais vu, qui se présente à son domicile. Avec un discours plus que surprenant : Alcatraz doit l'aider à sauver le monde - des mains d'infâmes bibliothécaires !

***

Si vous aimez les histoires loufoques, avec de grands antihéros soi-disant méchants (mais pas trop non plus), welcome !

J'ai découvert Brandon Sanderson avec ses sagas fantasy, Fils-des-Brumes étant un gros coup de coeur, et c'est amusant de le lire dans un tout autre style, un roman plus ado à l'humour décapant.

De l'action à tout va, beaucoup d'imagination, un complot planétaire mené par de dangereux bibliothécaires - qui ne sont pas du tout ceux que vous croyez, attention ! -, des dinosaures (dans la bibliothèque, vous me suivez ?), un narrateur qui s'adresse non stop au lecteur pour le mettre en garde, des pouvoirs qui semblent ne pas en être (qui voudrait être tout le temps en retard ? Et pourtant...), des gadgets dignes d'un James Bond, c'est un véritable festival de rebondissements.

Et si tout ceci peut laisser penser à un gros blockbuster, on en est pourtant loin. Car rien n'est simple, nos héros ne triomphent jamais vraiment... Parlons-en d'ailleurs, de nos héros ! Atypiques, agaçants, maladroits... et au final, bien attachants ! Mention spéciale à Bastille, ma préférée avec ses répliques percutantes !


En bref, une lecture menée tambour battant, qui si je préfère les ouvrages fantasy de l'auteur, reste tout de même une très belle expérience (que je compte renouveler assez vite avec le tome 2 qui est déjà dans ma PAL).

Quelle n'est pas la surprise d'Alcatraz quand le jour de son treizième anniversaire on lui apporte un cadeau de ses parents.
Un cadeau de ses parents ? Il est orphelin.
Un cadeau dans sa nouvelle famille d'accueil ? Comment pouvaient-ils savoir à l'avance qu'il fêterait son anniversaire dans cette famille d'accueil là, lui qui enchaine les lieux d'accueil épuisant la patience de ses familles adoptives par sa maladresse crasse.
Et quel cadeau ? du sable ?
Comme une surprise n'arrive jamais seule, voilà que survient un vieil homme passablement cinglé qui se dit son grand-père et qui l'entraine dans une quête échevelée qui sauvera le monde.
Lors de cette journée très, très particulière Alcatraz va découvrir qu'il existe un autre monde dont les membres de sa famille sont très puissants. Il va découvrir que sa propension à casser tout ce qu'il touche est en réalité un Talent. Il va découvrir le rôle des bibliothécaires qui fabriquent l'information et détournent des vérités pour mieux contrôler les habitants de Chutland (entendez « nous »).
Le récit est vraiment très drôle, et si les situations sont bien loufoques l'univers imaginé par Brandon Sanderson, oups, imaginé par Alcatraz Smedry tient parfaitement la route. Les dialogues sont truculents. J'ai vraiment adoré les Talents des membres de la famille Smedry. Ca semble débile mais en fait non.
Je ne regrette que les incursions du narrateur qui interpelle sans cesse le lecteur. Elles sont certes amusantes mais le côté systématique casse le rythme et m'a un peu lassée.
Cela ne m'empêchera bien sûr pas de lire la suite.

J'ai le défaut d'être attirée par tous les livres qui parlent de livres ou de bibliothèques mais parfois ce n'est pas une bonne idée. Dans ce roman, Alcatraz Smedry, 13 ans et véritable "brise-fer" , passe de familles d'accueil en famille d'accueil, jusqu'au jour où débarque son grand-père paternel. L'histoire fantastique commence ici : la secte des bibliothécaires contrôle une partie du monde et fait la guerre à l'autre, maintenant les habitants du Chutland ( quelle ironie!) dans l'ignorance. le combat peut commencer.
Oui, sauf que, si le scénario parait alléchant, la réalisation l'est beaucoup moins. Au choix: verbeux (le narrateur s'écoute parler la moitié du livre), confus (on ne comprend pas grand chose au monde décrit), plein de clichés pas toujours très sympas (non, les bibliothécaires ne portent pas forcément le chignon ou le noeud pap')...Je n'ai pas l'habitude d'abandonner un livre en cours de route mais là, vraiment, j'ai hésité.

Brandon Sanderson nous livre ici son plus grand secret: il n'est pas celui que tous croient connaître. Son vrai nom: Alcatraz Smedry. Son talent: il peut tout casser. Son passé: Il a usé plus d'une vingtaine de familles d'accueil. Son jour de chance: le jour de ses treize ans, son papi est venu le chercher. Leur mission: combattre les infâmes bibliothécaires qui dominent notre monde, le Chutland.

Qu'est-ce que j'ai aimé ce premier tome d'une série jeunesse complètement déjantée ! L'auteur joue le jeu de l'autobiographie jusqu'au bout du bout.
Il entrecoupe son récit d'interpellations directes du lecteur qu'il entraine avec lui dans les entrailles d'une grande bibliothèque qui grouille de bibliothécaires chelous et... de dinosaures. C'est drôle, c'est pétillant, c'est trépidant, c'est inventif, c'est sacrément bien raconté et on en redemande pour la suite.
Le monde de Brandon Sanderson foisonne et plaira aux ados mais aussi à leurs parents. D'ailleurs, certains éléments sont bien là pour les adultes en utilisant des références qui échapperont sans doute à leur progéniture comme cette scène délirante où les dinosaures décident de faire un sort aux bouquins d'auteurs commençant par C, rapport à un certain Monde Perdu qui ne leur a pas plu.

Mon seul regret est que ce roman se lit très vite puisqu'une fois qu'on y est plongé on trouve à peu près n'importe quel prétexte pour ne pas en sortir et que maintenant, il faut que je trouve le tome suivant.

Quel est le roman de Brandon Sanderson que vous préférez ?

Est-ce que ça vous dit de découvrir un monde où les pouvoirs sont des choses que l'on considère en temps normal comme un défaut ?

Bienvenue dans la vie d'Alcatraz Smedry. Un jeune orphelin de 13 ans adroit comme un manchot aveugle. Pour son anniversaire, il va recevoir du sable dans un petit sac.

En même temps, il va se découvrir de la famille : un grand-père déjanté, des cousins et un oncle. Les bibliothécaires sont des êtres malfaisants ne souhaitant pas que du bien au monde. Cette petite troupe va partir à l'aventure pour sauver l'humanité de leur griffe.

Se réveiller avec une tête de déterré, se perdre, danser comme un pied, tout casser... Tant de Talent inhabituel vont animer le roman de Brandon Sanderson avec cet intégrale des quatre tomes de la saga.

Je trouve l'idée des Talent excellente. Ça permet de relativiser sur les "défauts" que nous pouvons avoir. En effet, ces derniers peuvent devenir des qualités quand c'est bien exploité ou alors bien analysé. le fait d'avoir des lunettes au lieu de baguettes magiques est plutôt innovant.

Mais par contre, j'ai détesté la narration où le narrateur nous coupe sans arrêt pour parler d'autre chose. C'est censé être humoristique, mais j'ai trouvé ça d'une lourdeur sans nom.

L'histoire promettait quelque chose de nouveau et d'intéressant, mais j'ai trouvé que l'intrigue traînait en longueur et qu'elle ne s'était pas beaucoup renouvellé.

Sans oublier le traitement des personnages avec lequel je n'ai pas été convaincu. Alcatraz n'est qu'un gosse perdu. Les autres sont plutôt insipides.

Alors voilà, de temps en temps, je me fais plaisir en ouvrant un roman à destination de la jeunesse, et aujourd'hui mon choix s'est porté sur cette tétralogie d'Alcatraz, qui trônait dans la bibliothèque des enfants depuis un sacré moment.
C'est également parce qu'elle est écrite par Brandon Sanderson, qui de mon point de vue, a, tout comme Robin Hobb, révolutionné le genre fantasy à sa manière, que je l'ai choisie.
La première chose qui m'a frappé à la lecture de ce premier tome, c'est l'humour de l'auteur que je connaissais pour avoir lu de lui, entre autre, Skyward (deux tomes à ce jour en français). En effet, l'humour est souvent présent dans les livres de Brandon Sanderson et sous bien des formes différentes. Que vous lisiez Warbreaker, Coeur d'acier, Les légions de Poussière ou d'autres romans, vous y dénicherez cet humour qui lui est tant particulier. On peut le qualifier d'extrêmement fin, tant l'auteur est doué dans le genre.
Ici l'humour est plus qu'évident et sert même de ressort au récit.
J'ai ensuite énormément et immédiatement accroché au style de l'auteur, que je commence à connaître plutôt bien, et à l'univers qu'il nous propose et qu'il développe.
Et on peut dire qu'il se fait plaisir!! Mais où va t'il chercher ses idées...? Il créé tout un système de "magie" autour des lunettes et autres monocles...!! Et le pire, c'est que ça fonctionne!!
Je vous garantis qu'on passe un fabuleux moment à la lecture de ce tome un, à se fendre la poire pratiquement à toutes les pages, à suivre les aventures rocambolesques de ce jeune héros malgré lui.
On appréciera plus ou moins les interventions de l'auteur lui même dans la narration, s'adressant directement au lecteur (au cinéma, on dit qu'il brise le quatrième mur, en littérature, je ne sais pas!!) mais on louera le style et la manière de celui ci à glisser dans son récit une réflexion intéressante sur l'information, ou la désinformation pour être exact, et le pouvoir que donne l'un ou l'autre sur la masse lorsqu'on la contrôle...
Ce premier tome constitue une entrée en matière sans fautes. Nul doute que Sanderson a compris et maîtrise parfaitement tous les outils de la littérature pour créer des oeuvres de qualité...

Brandon Sanderson est généralement considéré comme une valeur sûre, et même si vous n'avez jamais lu ses romans, vous avez déjà probablement entendu son nom.

J'avais lu le cycle Alcatraz il y a quelques années, et je l'avais trouvé sympa quoiqu'oubliable. Et là, pour ce mois spécial, je l'ai relu. Et si je devais résumer mon avis en un mot : meh.

Alors, commençons par le bon point (oui, le) : le système de magie. Comme toujours avec Sanderson, on a un système de magie vraiment chouette. Ici, des lunettes (on attend avant de se facepalmer, merci). Des lunettes, donc, fabriquées avec du sable, et chaque modèle permet de produire des effets différents, qui vont du pistage au laser. Basiquement, ce sont plus ou moins des baguettes magiques à 1 effet, mais je trouve l'idée très chouette. On a par ailleurs toute une technologie basée sur le verre. On a aussi quelques individus dotés de pouvoirs particuliers, appartenant à la même lignée, tels que : se casser la figure ou arriver en retard (je déconne pas, ce sont de vrais pouvoirs).

Pour le reste, par contre, c'est moins glorieux. Pour ce qui est des personnages, malgré ce qu'on peut croire avec la 4e de couverture, c'est qu'Alcatraz n'est pas un Artémis bis. C'est juste un gamin paumé rejeté de partout. Les personnages sont globalement assez fades, même si leurs pouvoirs les rendent souvent amusants.

Ensuite, l'univers, et là ça commence à se corser. Pourquoi ? Parce que je n'ai pas réussi à y croire tellement c'est absurde. Quand je lis le Disque-Monde, je n'ai aucun problème à croire en l'existence d'un monde en forme de disque qui repose sur le dos d'une tortue géante, et sur lequel on peut faire du vin avec des fruits qui seront plantées l'année suivante. Mais là, je pense que le soucis c'est que c'est censé se passer dans notre monde. On nous dit qu'il existe un continent caché technologiquement plus avancé, qu'une organisation de bibliothécaires filtre les informations pour nous empêcher de découvrir cette technologie. Et quelle technologie ? Alors, oui, le verre, mais on a le droit à : les torchères c'est plus avancé que l' »électricité (et donc les bibliothécaires utilisent des torchères. Dans une bibliothèque. Avec des livres auxquels ils tiennent comme à la prunelle de leurs yeux. Ok), ou : les escaliers c'est plus avancé que les ascenseurs parce que ça fait de l'exercice (ok, donc les personnes agées et handicapées peuvent aller se faire voir, c'est ça ?).

Mais je crois que le pire, c'est la narration. le narrateur, Alcatraz, interrompt son récit toutes les 2 minutes pour s'adresser au lecteur, en mode « vous voyez que je suis méchant, hein ! je vous raconte pas la suite ! ». Mais en fait, c'est juste chiant, ça casse complètement le rythme. Y'a une ou deux interventions qui sont marrantes, mais 90% du temps, ça fait juste sortir de l'histoire. C'est déjà pas facile d'adhérer à l'univers, mais avec le 4e mur qui est brisé sans arrêt…

Bilan
Un peu déçue par ma relecture. J'avais gardé de ce livre le souvenir d'un petit roman sympathique, mais même si je trouve le système de magie toujours aussi intéressant, je n'ai pas réussi à croire en l'univers et les incessantes interventions du narrateur, sous couvert d'humour, sont la plupart du temps plus agaçantes qu'autre chose.
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