L’art de la révolte est un combat quotidien !
En 2009, c’étaient les classes moyennes éduquées qui se révoltaient, aujourd’hui c’est tout l’Iran. Sans distinction économique ou ethnique.
C’est les élites, le peuple, les familles. C’est l’intime qui devient politique.
Une des institutions économiques les plus influentes est liée au CGRI (Corps des Gardiens de la Révolution Islamique).
Le CGRI est devenu une entreprise gigantesque qui contrôle les économies officielles et souterraines de l’Iran. Ils ne font plus la Révolution. Ils sont là pour s’enrichir.
Ils divisent la nation et les individus en groupes car il est beaucoup plus simple de maintenir un joug injuste et dictatorial des groupuscules qu’un peuple uni.
La survie de la République islamique d’Iran est intrinsèquement liée à eux. On appelle souvent le régime iranien, le « régime des mollahs ». Il serait plus pertinent de l’appeler le « régime des gardiens » ! Sans les gardiens de la Révolution ; la République islamique ne tiendrait même pas un mois. Ils ont les armes et ils ont l’argent. Pour le moment…
- Nasrin (Sotoudeh) a été condamnée à 38 années et demie de prison et à 148 coups de fouet.
- Mais si tous les gens qui ont insulté le guide vont en prison, tout le monde va aller en prison !
- Ce pays EST une prison…
L’Iran possède de nombreuses richesses naturelles, mais aussi un système très CORROMPU, qui contrôle tout. On ne peut pas faire d’affaires sans avoir des bonnes relations avec les dirigeants politiques.
Le corps des Gardiens de la Révolution islamique (les Pasdarans en persan) est une organisation paramilitaire dépendant directement de Khamenei, le guide suprême. Comme l’indique leur nom, les gardiens ne sont pas chargés de défendre l’Iran, mais de « protéger la Révolution islamique », ce qui, in fine, veut dire défendre le régime iranien, et ce, à n’importe quel prix !
Le résultat est que, depuis plus de quatre décennies, ils font régner la terreur en Iran. Depuis quarante-quatre ans, ils arrêtent, torturent et volent le peuple iranien. De la prison d’Evin aux champs de pétrole du golfe Persique, de l’aéroport de Téhéran aux centres commerciaux d’Ispahan, ils sont le bras armé du régime islamique. En bref, ils représentent à eux seuls la violence, le fanatisme et la corruption dans notre pays.
Que dire des Gardiens de la Révolution ?
Tous les iraniens les connaissent et une majeure partie d'entre eux les craignent et les haïssent. Leur histoire est longue et pénible. Elle n'est pas facile à expliquer en quelques pages, d'autant plus que leur violence est si immense que le fait de les dessiner me donne des crampes aux doigts. Mais il est impossible de parler de la révolution « Femme, Vie, Liberté » sans les mentionner.
Le corps des Gardiens de la Révolution islamique (les Pasdarans en persan) est une organisation paramilitaire dépendant directement de Khamenei, le guide suprême. Comme l'indique leur nom, les gardiens ne sont pas chargés de défendre l'Iran, mais de « Protéger la Révolution islamique », ce qui, in fine, veut dire défendre le régime iranien, et ce, à n'importe quel prix !
Le résultat est que, depuis plus de quatre décennies, ils font régner la terreur en Iran. Depuis quarante-quatre ans, ils arrêtent, torturent et volent le peuple iranien. De la prison d'Evin aux champs de pétrole du golfe persique, de l'aéroport de Téhéran aux centres commerciaux d'Ispahan, ils sont le bras armé du régime islamique. En bref, ils représentent à eux seuls la violence, le fanatisme et la corruption dans notre pays.
La survie de la République islamique d'Iran est intrinsèquement liée à eux. On appelle souvent le régime iranien, le « régime des mollahs ». Il serait plus pertinent de l'appeler le « régime des gardiens » ! Sans les Gardiens de la Révolution, la République islamique ne tiendrait même pas un mois. Ils ont les armes, ils ont l'argent. Pour le moment...
Nos jeunes sont destinés
au martyr et l'héroïsme .
Ayatollah Khomeini