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Citations sur Lincoln au Bardo (18)

De nombreux convives se rappelaient en particulier le magnifique clair de lune de cette soirée.
(in « Une saison de guerre et de perte » d’Ann Brightney)

Dans plusieurs témoignages de cette soirée, il est fait mention de l’éclat de la lune.
(in « La longue route vers la gloire » d’Edward Holt)

Un détail commun à tous ces récits est la lune dorée qui éclairait la scène de sa lumière étrange.
(in « Soirées à la Maison-Blanche : Une anthologie » de Bernadette Evon)

Il n’y avait pas de lune ce soir-là et le ciel était gros de nuages.
(Wickett, op. cit.)

Un épais croissant vert surplombait cette scène de démence tel un juge imperturbable, insensible à toute la folie des hommes.
(in « Ma vie » de Dolores P. Leventrop)

La pleine lune ce soir-là était d’un rouge jaunâtre, comme si la lumière de quelque feu terrestre s’y reflétait.
(Sloane, op.cit)

Au gré de mes déplacements dans le salon, j’apercevais un morceau de lune argentée çà et là derrière les fenêtres, tel un vieux mendiant implorant qu’on l’invite à entrer.
(Carter, op. cit.)

Au moment où le dîner fut servi, la lune brillait, haute, petite et bleue dans le ciel, son éclat intact quoique un peu diminué.
(in « Une époque révolue » (mémoire inédit) de I.B. Brigg III)

La nuit avançait, sombre et sans lune ; un orage approchait.
(in « Ces si joyeuses années » d’Albert Trundle)

Les invités commencèrent à quitter la fête alors que les étoiles du martin cernaient déjà la pleine lune jaune.
(in « Les puissances de Washington » de D.V. Featherly)

Les nuages étaient lourds, chargés, et bas, d’une teinte rose passé. Il n’y avait pas de lune. Mon mari et moi nous arrêtâmes un instant pour lever les yeux vers la chambre où le petit Lincoln était à la peine. J’adressai au ciel une prière silencieuse pour que le garçon recouvre la santé. Nous rejoignîmes notre voiture et rentrâmes chez nous, où nos propres enfants, loué soit le Seigneur plein de miséricorde, dormaient paisiblement.
(in « Une mère se souvient » d’Abigail Service)
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« Bevins » avait plusieurs paires d’yeux Partant dans tous les sens Plusieurs nez Flairant partout Ses mains (il avait plusieurs paires de mains, ou alors ses mains étaient si rapides qu’elles semblaient plusieurs) gesticulaient de-ci de-là, ramassaient des choses, les portaient à son visage avec la plus curieuse des
Un peu effrayant
À mesure qu’il racontait son histoire, il lui avait poussé tant d’yeux et de nez et de mains supplémentaires que son corps avait presque disparu Des yeux comme des raisins sur une grappe Les mains tâtant les yeux Les nez reniflant les mains
Des entailles à chacun de ses poignets
willie lincoln

Le nouvel arrivant, assis sur le toit de sa maison de souffrances, observait Mr. Bevins d’un air ébahi.
hans vollman

Et vous jetait de temps à autre un regard non moins stupéfait, monsieur. Lorgnant votre énorme –
roger bevins iii

Allons, allons, inutile de mentionner mon –
hans vollman

L’autre homme (celui sur qui était tombée une poutre) Entièrement nu Le membre gonflé dans des proportions Je ne pouvais quitter des yeux
Ce membre qui bondissait tandis qu’il
Corps comme une boulette
Nez large et plat comme le museau d’un mouton
Vraiment tout à fait nu
Crâne horriblement enfoncé Comment pouvait-il se mouvoir et parler avec une si vilaine –
willie lincoln

Or voici que le Révérend Everly Thomas se joignit à nous.
hans vollman

Lequel arriva, comme à son habitude, au petit trot, sourcils circonflexes, regardant par-dessus son épaule d’un air inquiet, cheveux dressés sur la tête, bouche arrondie en un O parfait de terreur. Et prit cependant la parole, comme à son habitude, d’une voix absolument calme et composée.
roger bevins iii

Un nouvel arrivant ? dit le Révérend.
Je crois que nous avons l’honneur de nous adresser à un Mr. Carroll, dit Mr. Bevins.
Le garçonnet nous observait sans rien dire.
hans vollman

Le nouvel arrivant était un garçon âgé de dix ou onze ans. Un élégant petit monsieur qui clignait des yeux et jetait autour de lui des regards circonspects.
le révérend everly thomas

Tel un poisson qui, échoué sur la grève, demeure figé et alerte, saisi par la conscience de sa vulnérabilité.
hans vollman

Il me rappelait mon neveu qui était tombé un jour dans un trou de la rivière gelée et était rentré à la maison transi jusqu’aux os. Redoutant la punition qui l’attendait, il n’avait pas eu le courage de passer la porte ; je l’avais trouvé recroquevillé sur le seuil, ramassé sur lui-même pour se procurer un tant soit peu de chaleur, choqué, honteux, quasi paralysé de froid.
roger bevins iii

Sans doute sentez-vous qu’une force vous attire ? demanda Mr. Vollman. Un besoin impérieux ? D’aller ? Dans un endroit ? Plus confortable ?
Je sens que dois attendre, répondit le garçon.
Ça parle ! s’écria Mr. Bevins.
le révérend everly thomas
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« Vous savez, me dit Mrs. Lincoln, le Président est censé donner une série de dîners de gala chaque hiver, et ces dîners sont extrêmement onéreux. Si j’organisais trois grandes réceptions, nous pourrions supprimer tout bonnement ces dîners du programme. Si je parvenais à faire en sorte que Mr. Lincoln rejoigne mes vues sur ce sujet, croyez bien que je ne manquerais pas de mettre cette idée en pratique.
– Je pense que tu as raison, intervint le Président. Tes arguments sont convaincants. je crois que nous devrions en effet opter pour ces réceptions. »
Ainsi fut-il décidé, et aussitôt l’on se mit à tout organiser en prévision de la première réception.
(in « En coulisses, ou Trente ans d’esclavage et quatre ans à la Maison Blanche » d’Elizabeth Keckley)

Les abolitionnistes critiquèrent les réjouissances de la Maison-Blanche et beaucoup déclinèrent l’invitation. Ben Wade exprima ses regrets, dit-on, de la plus verte des façons : « Le Président et Mrs. Lincoln sont-ils au courant qu’une guerre civile fait rage ? Mr. et Mrs. Wade, eux, en sont conscients, et pour cette raison refusent de participer à la ripaille et à la gaudriole. »
(in « Réveil à Washington, 1860-1865 », de Margaret Leech)

Les enfants, Tad et Willie, étaient couverts de cadeaux en permanence. Willie était si enchanté par un petit poney qu’on lui avait offert qu’il insistait pour le monter tous les jours. Or le temps était capricieux, et l’exposition au grand air entraîna un rhume sévère, qui dégénéra en fièvre.
(Keckley, op. cit.)

Willie était brûlant de fièvre, le cinq au soir, tandis que sa mère se préparait pour la réception. Il respirait avec difficulté. Elle vit que ses poumons étaient congestionnés et s’en alarma.
(in « Vingt jours » de Dorothy Meserve Kunhardt et Philip B. Kunhardt Jr.)
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Quoique en surface il semblât que chaque personne fût différente, cela n'était pas vrai.
Au cœur de chacun résidait une souffrance; notre propre fin à venir, les nombreuses pertes dont il nous faudrait faire l'expérience le long du chemin menant à cette fin.
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Chaque nation, race, rang, âge, taille, corpulence, tessiture, coiffure, posture et parfum semblait représenté : un arc-en-ciel vivant, qui bruissait dans une myriade d’accents.
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Ah le bon temps ! Aujourd’hui je ne saurais pas plus planter un rêve d’ours dans la tête d’un chien qu’emmener dîner notre jeune et mutique ami ici présent !
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Elle est là, toujours là. C’était comme si le cours d’une rivière impétueuse s’était détourné pour déferler dans ma maison, laquelle était emplie dorénavant d’un parfum d’eau fraîche et de quelque puissance prodigue, naturelle et stupéfiante dont la présence mouvante se faisait sans cesse sentir alentour.
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Je proposai que nous soyons… amis. Que nous nous comportions en apparence, à tous égards, comme si nous avions d’ores et déjà consommé notre arrangement. Qu’elle se sente à l’aise et heureuse dans mon foyer et s’évertue à en faire le sien. Je n’attendrais rien d’autre d’elle.
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