Nathalie appartient à un genre séculaire qui montre jusqu'où on peut aller trop loin. J'appelle ce genre onomagraphie. «L'histoire d'un nom, pas la vie d'une personne.» Eaton, Sombrelieu, Allatius, Laërce et bien d'autres, et des plus anciens, s'y sont essayés, racontant l'histoire des Georges, des Jules ou des Jacques. J'ai toujours voulu écrire l'histoire de Steve Savage, le nom nombreux, le vrai nom qui sonne faux, qui est faux, qui sert au lutteur professionnel,...
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