Premier roman d'EES que je lis et peut-être bien le dernier... l'idée est simple mais intéressante et s'inscrit logiquement dans son cycle de l'invisible que j'ai donc découvert avec cette entrée (mais que je n'ai pas spécialement envie d'explorer du coup..) mais ce n'est pas bon quoi.. L'écriture est affreusement niaise et fade, à la fois excessivement simpliste et parfois inutilement précieuse, les tournures de phrases m'ont plus d'une fois fair lever les yeux au ciel. C'est sans compter sur certaines phrases carrément discutables, une espèce de fausse ironie qui a un parfum un peu répugnant d'exotisme et de fausse conscience sociale. J'ai trouvé certains passages vraiment gênants, certaines réflexions m'ont vraiment dérangé, en plus de la galerie de personnages qui est d'un cliché sordide. Bref, ce roman m'a donné l'impression de lire un mauvais téléfilm du dimanche soir. Pas bon du tout..
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