Autriche. La 2nd GM est terminée. Les villes sont à reconstruire.
Simon Robert a grandi dans un foyer. Il est orphelin. A 15 ans il quitte l'école. Très vite, les petits boulots aidant, il va acquérir l'idée qu'être un jour derrière le comptoir de son propre café donnerait une assise définitive à sa vie.
Alors lorsque que l'été 1966 le vieux café du marché des Carmélites dans le vieux faubourg populaire de Vienne ferme, Simon décide de saisir sa chance. Il va ouvrir son Café, mais un café sans nom puisque trop indécis pour faire un choix.
Des le premier jour les clients sont au rdv. Les habitudes se créent, les discussions s'animent. le café devient un lieu de vie. Pour l'aider Mila, jeune fille peu gracieuse mais façonnant, à sa façon l'atmosphère de ce café.
Vont se succéder des personnalités toutes différentes marquées par la vie.
Le rythme est lent, très lent, parfois trop. Les descriptions précises mais froides. Nous sommes à Vienne mais sans vraiment y être.
Difficile pour moi de m'attacher aux personnages même lorsque le café vivra ses derniers jours.
Un livre à côté duquel je suis probablement passé… cela arrive 🥹