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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Pour avoir fait un stage au FBI (quinze jours sans grand intérêt lors de son cursus universitaire), la jeune criminologue Seon-geyong Lee est surnommée Clarice Starling par ses étudiants. Sobriquet prémonitoire puisque, à l'instar de Jodie Foster dans le silence des agneaux, elle est sollicitée par le célèbre tueur en série Byeong-do Lee qui attend la mort dans une prison séoulite. Pourquoi elle, encore si peu connue dans sa profession ? Et pour lui dire quoi ? Veut-il raconter les circonstances qui l'ont poussé à tuer des dizaines de femmes ? Lui donnera-t-il des indices sur les lieux de ses charniers ? Effrayée mais guidée par sa conscience professionnelle, Seon-geyong rencontre ‘'le diable au visage d'ange'' et rentre chez elle, secouée par cette brève confrontation, pour découvrir que son mari a recueilli chez eux sa fille Ha-young. Née d'un premier mariage, la fillette âgée d'une dizaine d'années vient de réchapper à un incendie qui a tué les grands-parents qui l'élevaient depuis le décès de sa mère un an plus tôt. Seon-geyong va devoir développer des trésors de patience pour apprivoiser cette enfant perturbée et hostile.

C'est étrange comme les lectures se suivent, totalement différentes, et pourtant reliées par le thème central de la maternité. Après Nili et sa mère oscillant entre indifférence et froideur dans La mer noire dans les grands lacs et la mère trop tourmentée pour aimer de Betty, Mi-ae Seo nous raconte l'enfance perturbée de Byeong-do abreuvé d'insultes et de coups par une mère plus que défaillante qui a fait d'un petit garçon apeuré et assoiffé d'amour un des plus célèbres serial-killer de Corée.
Différents lieux, différentes époques et ce fil conducteur des conséquences du désamour maternel…
Confrontée à ce tueur sans pitié qui lui confie des bribes de son passé, la criminologue doit aussi gérer les difficultés de l'arrivée d'une enfant dans son couple jusqu'ici équilibré. Son mari lui avait caché la mort de son ex-femme ainsi que les détails de leur séparation mal vécue par la mère de sa fille. Et le voilà qui amène cette enfant triste et mutique dans l'appartement conjugal pour finir par la laisser à la garde exclusive de Seon-geyong, lui étant trop pris par son travail. Seule et inexpérimentée, la jeune femme fait ce qu'elle peut face à une fillette difficile et inquiétante. Au rythme de ses visites à la prison et de ses tentatives de rapprochement avec Ha-young, des regards, des comportements chez l'enfant lui rappellent Byeong-do, au point qu'elle finit par en avoir peur…
Un thriller psychologique glaçant, perturbant, effrayant. Qui décortique les motivations d'un tueur de sang froid mais oppose aussi la société coréenne à ses lacunes. Une société où il ne faut pas faire de vagues et garder pour soi ses sentiments et où l'on se sent bien seul. Seul avec ses fêlures, ses deuils, ses colères, ses chagrins, ses angoisses…
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Séoul, Seon-Gyeong, criminologue, donne son dernier cours du semestre, et reçoit un appel surprenant. Byeong-do Lee, tueur en série en attente de son exécution a demandé à ce qu'elle vienne l'interroger, il accepte d'expliquer le pourquoi et comment des douze meurtres qu'il a commis mais à elle et seulement à elle... Tâche difficile et à hauts risques pour une débutante mais elle ne peut qu'accepter la mission.
Bien sûr le silence des agneaux s'impose à l'esprit de tout un chacun mais on en est fort éloigné le diable à la tête d'ange n'est pas, loin s'en faut, Hannibal Lecter.
Seon-Gyeong, encaisse vaillamment les rencontres, résiste à la pression que lui impose Byeong-do Lee , elle est là pour comprendre pourquoi il a agi.. le choc émotionnel est difficile à gérer d'autant plus que son mari lui amène la fille issue de son premier mariage, elle est sortie indemne de l'incendie qui a ravagé la maison de ses grand-parents où elle vivait depuis le divorce de ses parents. Ils ont péri dans l'incendie et elle va devoir venir vivre avec son père et sa belle-mère. Ha-yeong est une enfant perturbée, capable de violentes colères, seul son père arrive à la calmer immédiatement. Comment Seon-Gyeong, arrivera t'elle à l'apprivoiser? si seulement elle y arrive..
Premier voler d'une trilogie, seuls les deux premiers tomes sont actuellement disponibles, ce roman glaçant offre un portrait perturbant d'un tueur en série sans pitié, et nous décrit une société coréenne gangrenée par la violence, une société où la réussite s'impose à tous, quite à étouffer dans l'oeuf sentiments, émotions . Impressionnant
Seo Mi-Ae est sans conteste une auteure à découvrir, vis aux amateurs.

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Bonjour les babeliophiles aujourd'hui petit retour sur ma dernière lecture.
Je me suis lancé dans cette lecture de Seo Mi-Ae auteure coréenne et QUELLE LECTURE aucun regrets.
Un serial killer Lee Byong Do emprisonné ne désire parler qu'à Seon Gyong criminologue. Pourquoi elle c'est ce qu'elle va essayer de découvrir en se rendant à ces rendez-vous à la prison. Dans le même temps la vie personnelle de Seon Gyong est un peu chamboulée car elle doit accueillir la fille de son mari qu'il a eu d'un précédent mariage. Un incendie a tué les grands parents qui s'occupaient d'elle.
Mais cette nouvelle venue dans sa vie n'a t-elle pas des choses à cacher comme ce serial killer?
Thriller que l'on a du mal à lâcher tant on veut savoir la fin,tiens parlons en de la fin et puis non je vous laisse la découvrir 😉😉
1er opus d'une trilogie à ce que j'ai pu voir.
J'espère que "Chut c'est un secret" sera à la hauteur de ce Bonne nuit maman en tout cas je ne manquerais pas de vous tenir au courant.
Mais comme je dis toujours ceci n'est que mon avis personnel.
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Bonne nuit maman est un roman à la fois déroutant et surprenant. Il est déroutant, parce qu'il nous parle d'une société qui n'est pas la nôtre, tout en tissant un lien avec une oeuvre occidentale bien connue, le silence des agneaux. Seon-Gyeong est une jeune criminologue qui a suivi un stage de quinze jours (quasiment une simple visite guidée) au FBI. Par conséquent, ses étudiants l'ont surnommée Clarice, comme l'héroïne du film (oubliant un peu vite que le film était d'abord un roman de Thomas Harris). Elle aussi va être confrontée à un serial killer, Byeong-do. Il a déjà tué une douzaine de femmes et ne veut parler qu'à Seon-Gyeong. Pour lui dire quoi ? ai-je envie de demander. Quel peut être l'intérêt de s'entretenir avec une telle personne ? Je le dis souvent, ce qui se passe dans la tête d'un tueur, d'un terroriste, ne m'intéresse pas. Seon-Gyeong elle-même dit bien qu'il peut mentir, c'est même ce qu'il fait le plus souvent. Elle enseigne aussi à ses étudiants que ce n'est pas parce qu'on retrouve dans l'enfance les trois faits qui, parait-il, font de vous un futur serial killer en puissance que l'on va en devenir un. Alors ?
Alors Seon-Gyeong lui rend visite et cède à ses exigences, ses « caprices », presque, lui qui a fait venir une équipe de télévision, les a fait attendre, pour finalement refuser de s'entretenir avec eux. Elle écoute, prend des notes, et doit en même temps faire face à une vie privée qui prend un tournant inattendu.

Ce qui m'a frappée, dans cette société coréenne, est l'extrême solitude des gens, enfants, voire même adultes. Seon-Gyeong a perdu sa mère à l'adolescence, son père plus récemment, et elle s'est mariée avec un homme rencontré peu après le décès de celui-ci, la première personne avec laquelle elle a pu parler de son chagrin. Je n'ai pas vu de traces d'un autre membre de la famille qui aurait pu la soutenir, la guider, non plus que d'amis, de collègues à qui elle aurait pu se confier, à l'exception de son amie psychologue qui apparaît presque trop tard dans le récit. Elle est seule, comme bien d'autres. Elle savait que son mari était divorcée, qu'il avait une fille. Et… rien, ai-je envie de dire. L'ex-femme empêchait son mari de voir sa fille, et il ne tentait pas vraiment de la voir, tout comme il n'a pas récupéré sa garde à la mort de sa première femme, un an plus tôt. Pourquoi ? le lecteur peut légitimement se le demander, tout comme Seon-Gyeong se le demande. Elle se rend compte assez rapidement (le temps presse, il faut bien le dire) que la situation n'est pas aussi simple que son mari veut bien le dire, surtout quand la petite fille arrive à la maison, après la mort de ses grands-parents. Elle se rend compte aussi que son mari ne s'occupe pas assez de Ha-yeong, sa fille, pour ne pas dire qu'il ne s'en occupe pas du tout, qu'il ne cherche pas à la comprendre, à prendre soin d'elle, comme si elle n'était qu'un paquet déposé là, dont sa femme devrait prendre soin – parce que les femmes sont là pour cela ? J'ai trouvé étonnant aussi que Seon-Gyeong ne prévienne pas l'école de la pré-adolescente de ce qu'elle a vécu, pour éviter qu'ils aient des idées préconçues sur elle. Certes. Mais ne faudrait-il pas prendre plus de précautions avec un enfant qui a vécu trois deuils en un an ? Ne faudrait-il pas lui demander son avis quand il s'agit de meubler sa chambre ou de choisir ses vêtements ? A nouveau, je tourne en rond en disant cela : que fait son père ? Il est très occupé par sa carrière.
J'en ai dis beaucoup sur ce roman ? J'ai pourtant passé sous silence une des composantes essentielles – parce que, même si je n'aime pas être dans la tête du tueur/des tueurs, certains chapitres nous y emmènent – sans mensonge, sans faux semblant, dans les méandres de leurs sensations, de leurs névroses ou dans leur absence d'empathie. Parce que rares sont ceux qui en ont manifesté à leur égard. Oui, j'ai employé le pluriel à dessein : tous les tueurs ne dorment pas en prison.
A découvrir si vous aimez explorer de nouveaux continents littéraires.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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J'ai commencé cette trilogie par le tome 2 qui spoile complètement celui-ci donc pourquoi lire le tome 1 ???
je répondrai tout simplement : Premièrement pour l'ambiance de ces histoires, deuxièmement pour les personnages et troisièmement pour la plume de cette autrice ! Eh mon dieu que j'ai bien fait !!! Sur la couverture, il est écrit "entre le silence des agneaux et mindhunter" c'est exactement ça ! J'ai beaucoup aimé le 2ème opus mais j'ai préféré celui-ci ... Je comprends mieux la psychologie du personnage principale ! Je suis à l'affût pour la sortie du tome 3 !!! Si l'autrice reste fidèle aux 2 premiers tomes, le troisième qui concluera l'histoire devrait être terrible ! J'ai déjà ma petite idée de ce qu'elle pourrait écrire mais j'ai hâte de savoir !
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Quand Seon-Gyeong, criminologue, est sollicitée par un serial killer en prison pour un entretien, elle est à la fois inquiète et excitée. En parallèle, elle doit faire face à des responsabilités inattendues au sein de son foyer, avec l'arrivée de sa belle-fille, dans des circonstances tragiques. Sous tension, elle va devoir se confronter à des situations à la frontière de la peur et du danger...

Deux salles, deux ambiances : un dangereux criminel avéré, de surcroît incarcéré, et une fillette de onze ans au comportement trouble et dérangeant. Les deux inspirent la méfiance et la crainte.

Seon-Gyeong est dans une position délicate avec des difficultés à cerner ses interlocuteurs, qui se jouent d'elle. Malgré tous les éléments qui sautent aux yeux, elle s'enferme dans un déni optimiste et rassurant.

L'écriture est fluide et addictive. Les entretiens au parloir sont attendus et malaisants. J'ai trouvé qu'elle ne prenait pas suffisamment de distance, ce qui la rend vulnérable et l'expose à toutes les imprudences. Les scènes liées à l'enfance nous renvoient à une détresse et une solitude extrême. Il y a une volonté farouche de comprendre, sans jamais pourtant admettre l'insurmontable et indéfendable vérité...

Ce roman nous perturbe et nous anéantit avec des révélations tranchantes dont on a bien du mal à se relever !
Lien : https://www.sophiesonge.com/..
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J'ai adoré me plonger dans ce roman et je ne l'ai lu qu'en quelques heures !

Comment élève-t-on une enfant traumatisée par le suicide de sa mère et survivante d'un incendie où ses grands-parents vont décéder à leur tour ?

Seon-Gyeong, criminologue et professeure à l'université, va expérimenter tout ça. Son mari va lui imposer cette fille qu'il a eu lors d'un premier mariage et qu'elle ne découvre qu'un an après leur propre mariage. Les débuts vont être plutôt difficiles et la fillette de onze ans va montrer des facettes insoupçonnées jusque-là...

En parallèle, la jeune criminologue va être sollicitée par un détenu jugé et condamné à mort. Ce dernier est un tueur en série qui a assassiné treize femmes et ne veut lui parler qu'à elle seule.

Du début à la fin, on a le parallèle entre la fillette de onze ans que Seon-Gyeong héberge et élève et le détenu qui, en quelque sorte, joue avec elle.

Elle va se poser énormément de question sur ce dont le tueur en série a pu manquer pour en arriver à tuer toutes ces femmes. Elle va aussi se demander comment élever sa belle-fille qui semble la tenir responsable du suicide de sa mère et d'avoir éloigné et retenu son père. Père qui sera absent de plus en plus, se déchargeant sur sa jeune épouse qui devra gérer les humeurs de la fillette.

Un excellent moment de lecture qui m'a fait beaucoup penser au film "Le silence des agneaux", d'ailleurs cité dans le livre parce que la criminologue est surnommée Clarisse Starling.

Je vous recommande ce tome et son suivant : "Chut, c'est un secret".
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Bonjour amis lecteurs,
Aujourd'hui je vous propose le livre de Seo Mi-Ae : « Bonne nuit maman »J'ai beaucoup aimé ce thriller coréen, premier opus d'une trilogie que j'ai lu sans pouvoir m'arrêter avant le mot Fin.
L'auteure nous plonge dans une intrigue passionnante, parfaitement maîtrisée et sans temps mort. La psychologie des personnages est bien décrite, ce sont des êtres peu attachants, à la fois monstrueux et émouvants et on suit leurs parcours avec addiction. On ressent une oppression permanente au fil de la lecture. L'atmosphère est anxiogène, inquiétante et mêle interrogations et suspicions. Un thriller haletant comme je les aime. Hâte de lire la suite .
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Aujourd'hui paraît en librairie un thriller coup de coeur : Bonne nuit maman !

Avec cette deuxième parution, la maison d'édition Matin Calme s'impose déjà comme une référence pour tous les amoureux du polar. Vous souhaitez ouvrir vos horizons littéraires ? Je vous invite à découvrir la vague du polar coréen !

Bonne nuit maman est le premier tome d'une trilogie extrêmement prometteuse (et qui peut en même temps se lire de manière indépendante comme un one shot), un thriller fascinant qu'on ne peut pas lâcher avant d'avoir tourné la dernière page, un thriller à l'atmosphère angoissante et très prenante, à l'intrigue passionnante, un page turner terriblement efficace !

Au travers de ce livre, le lecteur va être confronté à plusieurs intrigues qui s'entremêlent parfaitement : d'un côté il y a la confrontation entre Seon-gyeong -criminologue- et un tueur en série, de l'autre il y a l'arrivée dans la vie de Seon-gyeong de la fille de son mari, née d'un premier mariage. Les deux éléments de narration vont progressivement se lier jusqu'à un dénouement percutant où on comprend enfin qui est le véritable personnage central de cette trilogie.

J'ai été happée par ce livre, Seo Mi-ae maitrise parfaitement les codes du thriller et sait prendre son lecteur dans un piège littéraire redoutable, sait nous surprendre, faire monter la pression et nous offrir un final explosif qui ne donne qu'une seule envie : lire la suite !

Bonne nuit maman est pour moi un thriller universel qui peut plaire à tous : aux amoureux des thrillers, aux lecteurs/lectrices curieux(ses) qui souhaitent se lancer dans ce genre et aussi à celles et ceux qui voudraient découvrir la littérature coréenne.

J'ai apprécié les personnages et j'ai surtout aimé leurs failles, Seon-gyeong est une criminologue qu'on surnomme Clarice Starling suite à un léger malentendu sur son parcours professionnel mais elle n'hésite pas à profiter de cette aura pour mener ses cours universitaires. Lee Byeong-do, quant à lui, est un tueur en série qui a enchaîné tous les mauvais pas dans la vie, qui se confie progressivement pour nous révéler un destin violent et tragique. Autre protagoniste très intéressant et qui participe à l'angoisse très prenante du livre : Ha-yeong, la petite fille qui surgit brusquement dans la vie de Seon-gyeong...
En plus de l'intrigue policière, Seo Mi-ae met en avant la thématique de la mère, de son rôle dans la construction de la personnalité de l'enfant et de sa position au sein de la société coréenne.

Après la musique et le cinéma, il est temps pour la littérature coréenne de prendre son envol et de conquérir un public mondial. Je souhaite à ce livre un très beau succès !

En définitive, Bonne nuit maman est un thriller haletant et addictif, à lire d'une traite !
Tous en librairie !

Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Les émotions de lecture de Cécile
Bonne nuit Maman, les mots les plus tendres qu'une mère puisse entendre… ou comment l'auteure coréenne SEO Mi-ae en fait une ritournelle de l'angoisse. Son thriller est le parfait manuel d'éducation pour toutes les mères du monde pour élever leurs têtes plus ou moins blondes à devenir les plus efficaces des serial killers.
La plume est sûre et fluide. L'histoire de cette criminologue confrontée à la fois au tueur de 13 femmes assassinées sur un air des Beatles, et, à la petite fille de son mari et à ses fantômes se dévore d'une traite. C'est dur, c'est palpitant, c'est addictif. On aperçoit la patte de la scénariste qui construit son thriller comme une excellente série divisée en épisodes. Comme sur Netflix, il est dur de ne pas appuyer sur la fonction « Episode suivant ». Une réussite pour cette deuxième parution aux Editions MatinCalme !
La bonne nouvelle c'est le premier volet d'une trilogie, la mauvaise Bonne nuit Maman ne sera plus jamais une innocente parole une fois le livre refermé !
Lien : https://collectifpolar.com/
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