Le premier album s'appelait "La Synagogue" et parlait de combat, de justice impossible et du modèle paternel. Si celui-là s'intitule "Les Idolâtres", je dois rester sur l'image, la mère et l'absence. En gros, le dessin, son chemin, les mirages.
C'est une excellente leçon de vie. On paie toujours pour les fautes qu'on a pas commises. Donc on passe son existence à s'angoisser pour rien.