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Dans cette quatrième partie du 'Poids des secrets”, nous entrons en contact avec la vision de monsieur Takahashi qui a épousé Mariko au grand dam de sa riche famille. Cela recoupe et enrichit ce récit très particulier de deux familles japonaises dont les destins sont intimement reliés. On continue aussi d'en apprendre sur le culture nippone, ici sur l'importance des lignées familiales et la honte qui entoure la stérilité notamment. Les personnages principaux continuent de se révéler peu à peu et n'en deviennent, pour la plupart, que plus attachants. L'écriture toute simple, et pourtant si juste, de l'auteure donne un cachet vraiment charmant à cette oeuvre.
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Tome 4 centré sur Kenji Takahashi le mari de Mariko.
Très belle histoire de cet homme sensible et blessé par la vie.
Belle écriture et belle suite!
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Me voici arrivée au tome 4, toujours une lecture agréable par cette plume aérienne, fluide, c'est un vrai bonheur.
Un nouveau secret est dévoilé sur le mari de Mariko, et ma foi, c'est bien là ce qui pouvait nous surprendre, faire tant d'histoire pour une histoire de naissance, c'est toujours le cordonnier le plus mal chaussée.
J'ai bien aimé ce personnage, discret, généreux, humble et plein de bonté, remonter son histoire fut touchant, rien ne lui a été épargné, et connaitre la vérité sur sa nurse Sono, a été aussi un "coup" oui et non.
Voilà ce quatrième volet qui s'achève, et le dernier qui se profile.
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Un signet de petites fleurs de myosotis séchées et voilà Kenji Takahashi qui pense à celle qui le lui a envoyé. C'est sa nurse, Sono, qui ne l'a pourtant gardé qu'un mois mais qui lui a laissé de jolis souvenirs de pique-niques et de découverte de la nature alors qu'il avait quatre ans.

Je suis toujours surprise par la lecture de ces tout petits livres. Ils sont d'une simplicité extrême et pourtant leur richesse transpire au fil des chapitres.
Pour ce quatrième volet, l'espace d'une petite soirée, j'ai été confrontée aux différents poids qui ont pesé sur Kenji Takahashi. Le poids de sa condition sociale, le poids de l' héritage familiale et de devoir perpétuer le nom d'une famille illustre, le poids de ses choix, le poids des paroles, le poids des remords et bien sûr le poids des secrets de famille.

J'ai refermé ce livre en gardant dans ma tête la légèreté des petites fleurs de myosotis, la sagesse de Sono et l'image de tous ces personnages si attachants qui nous livrent tout à tour, au fil de cette pentalogie, leurs secrets de famille.
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Un quatrième tome mélancolique et doux sur Monsieur Takahashi, le mari de Mariko. de son enfance peu heureuse avec ses parents et les rares bonheurs avec sa nurse Sono, à son adolescence de jeune héritier, dirigé par ses parents, son premier mariage et la honteuse révélation qui s'ensuit puis son courage de renier les traditions par amour. Et ce lien final qui l'attache encore plus fortement et le rapproche de son épouse.

Un personnage tout en délicatesse, les émotions sont à fleur de peau, affleurent à peine sous la poésie des images. le style est toujours aussi aérien malgré la pesanteur des thèmes abordés : la stérilité, l'abandon, l'adoption. Autant de thèmes cachés par la société traditionnaliste japonaise. Ce qui reste de cet opus, c'est le tapis bleu des myosotis survolé par les hirondelles. Et comme toujours le titre, prend sens à la toute fin du tome et est associé au passé du narrateur. Une série de romans merveilleux dont j'ai hâte de connaître le dénouement.
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A vrai dire, je ne me souviens plus des épisodes précédents. « Wasurenagusa », 4ème tome de la pentalogie. J'aime prendre mon temps pour lire la plume d'Aki Shimazaki. Ses livres sont si petits que pour faire durer le plaisir, je me retiens. A quoi sert d'éjaculer tout de suite, si le bonheur t'attend encore un peu plus loin. Donc, j'attends et je le garde en moi. Un homme, une femme, chabadabada. Ça sent l'histoire d'amour, d'où ma précédente réflexion car il n'y a pas d'amour sans éjaculation, chabadabada. Oui, je lis des romans d‘amour, et même des romans d'amour sans fluide qui gicle ou qui coule. C'est mon côté fleur bleue, mon esprit myosotis. Et là, tu ne me crois peut-être pas ; mais sache que « wasurenagusa » signifie justement myosotis. CQFD.

J'avais déjà rencontré l'homme lors d'un précédent tome, je rappelle que c'est le principe de cette pentalogie, où l'acteur secondaire devient protagoniste principal lors de l'acte suivant. Même si je ne m'en souviens plus, j'espace mes relations avec l'auteure comme la rencontre avec une putain dont on a peur de tomber amoureux et peur surtout de ne plus s'en passer. Quoi que tomber amoureux de sa putain n'a rien de dramatique. Mais lire un autre roman d'amour après celui-là est nettement plus difficile. Parce que ce livre est beau, comme une fleur de myosotis. Il est bleu, comme la lune qui éclaire mes nuits. Et il y a cette femme, que la lune illumine à moins que cela soit son sourire, et qui lorsque les étoiles se réveillent, me donne envie de la caresser.

Lorsque j'ai lu les deux premiers tomes, que cela soit « Tsubaki » ou « Hamaguri », je me souviens m'être fait la réflexion que j'en attendais trop de ces courts romans. Ils étaient certes, bien écrits, mais ne méritaient pas l'engouement suscité, contrairement à la putain qui hantait mes nuits. Et puis, vint le troisième « Tsubame » qui pour le coup m'a convaincu totalement. Un petit bijou de tristesse et d'émotion. Et puis vint donc cette fleur de myosotis, et là je tomba encore plus sous le charme. Il fut si court, que cela en devint un plaisir d'éjaculer si vite. Il fut si beau, que cela en décupla même mon plaisir d'éjaculer tout l'amour et la passion que je lui portais (le livre !? la putain !?)
Lien : http://memoiresdebison.blogs..
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Toujours et encore des fleurs pour représenter la suite de la série le poids des secrets.
Cette fois ci Wasurenagusa, le myosotis en japonais, avec sa signification "ne m'oubliez pas" est tout à fait représentatif du personnage de Mr Takahashi, un homme serein mais aussi porteur d'un fardeau le concernant. Ce tome est différent des autres de par son absence de traumatisme physique. Mais comme chaque livre est consacré à un personnage de l'histoire eh bien, j'en arrive un peu à me mélanger les pinceaux dans l'histoire. Pas facile de situer tout le monde dans "l'arbre généalogique" d'Aki Shimazaki.
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Tout comme les précédents, encore un roman d'Aki Shimazaki que je recommanderais les yeux fermés. Une belle plume qui dévoile pourtant des éléments forts, que ce soit d'un point de vue historique ou d'un point de vue personnel. Chaque personnage a une histoire et ses secrets, et c'est un réel plaisir de les découvrir et de les délester en quelque sorte de ces poids.
Lien : https://comaujapon.wordpress..
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Shimazaki nous raconte ici l'histoire de cet homme qui a su faire les choix qui lui semblait justes. Un homme aimant, tendre, doux, amoureux. Ce roman est plein de tendresse et d'amour. Un personnage qui nous semblait effacé dans les autres tomes prend ici toute son ampleur. C'est avec délicatesse que j'ai lu son récit. La plume de l'auteur m'a ému et je suis encore une fois conquise du cadeau qu'elle nous fait.
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« Ne m'oubliez pas », ce pourrait être le titre, car « Wasurenagusa », c'est le nom japonais du myosotis.

La série du « Poids des secrets » se continue avec cette fois l'histoire de monsieur Takahashi, l'homme qui deviendra le père adoptif de Yukio.

On y retrouve la famille japonaise traditionnelle, qui cherche à arranger un mariage avantageux et qui désire surtout que le fils poursuive la lignée en ayant une progéniture. Mais il ne faudrait pas que la mère soit « d'origine douteuse », il faut préserver l'hérédité! Et un bon fils devrait toujours se plier aux volontés de ses parents, sous peine d'être déshérité…

Un opus moins riche en émotions fortes que les précédents : pas de bombe atomique ou de tremblements de terre, juste un petit coup de foudre qui ébranle la vie de Kenji Takahashi et, bien sûr, quelques révélations pour pimenter la complexité familiale.

Un petit roman, un petit plaisir… à ne pas oublier!
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