La vie de Norman, tome 1

Petite pépite découverte par hasard sur un site de BD!

Norman a 8 ans et comme l'indique l'arrière de l'album, sa petite passion est de tuer des gens et plus particulièrement ses camarades de classe.

Alors que le trait est plutôt enfantin et d'ailleurs très plaisant pour ma part, des personnages limites mignons avec de bonnes petites bouilles. Cela tranche complètement avec l'humour gore et noir qui sort de cette album.

L'humour noir et violent ne plait pas à tout le monde mais personnellement j'ai apprécié, je ne suis pas difficile en BD humour, mais celle là sort du lot car c'est pas de l'humour pour enfants quoi. (Même si à 9 ans j'étais déjà friand d'humour noir et que si j'avais eu cette BD à sa sortie, je l'aurai adoré également).

Tous les personnages sont assez stupides, la professeure est complètement tarée, bref tout le monde est un peu dérangés dans cet univers.

Il y'a meme une intrigue qui se prépare, je vais essayer de me procurer le tome 2 très vite car j'ai aimé.

Un début de série BD comico-horrifique où l'on suit la vie de Norman, 8 ans, dont le passe-temps est de tuer les gens. Accompagné d'un petit diablotin violet, il porte durant ses forfaits le masque du célèbre tueur de Vendredi 13, Jason, son idole et massacre ses victimes à coups de couteau. Entre des zombies chez lui, des camarades très archétypaux et une maîtresse alcoolique oscillant entre sadisme et dépression, le moins que l'on puisse c'est que l'on ne s'ennuie pas de ce premier tome.
La disparition de Garance va dévoiler un mystère bien plus complexe que quelques coups de couteau bien placés.
Beaucoup d'humour noir et un rendu graphique assez gore, cette BD lance une bonne intrigue glauque à souhait sur le thème de la manipulation génétique. Les psychopathes sont légion mais ne se ressemblent pas. Ames sensibles s'abstenir. Si vous goûtez les parodies de films d'horreur et l'hémoglobine humoristique, vous pourriez bien vous amuser à la lecture de premier tome. J'irai lire la suite par curiosité pour cette fin alléchante.

A 8 ans, Norman est un petit garçon au quotidien semblable aux autres enfants de son âge. Il va à l'école, croit au père noël, aime les bonbons, rentre chez lui après l'école…Et là c'est le drame. Norman a une passion dévorante plutôt particulière. Fan de films d'horreur, il s'est découvert un goût prononcé pour le meurtre. Non, finalement Norman n'est pas un petit garçon comme les autres…
La série commence par le meurtre de Jérémy, le nouveau de la classe qui était venu vendre des billets de tombola sans comprendre qu'il tombait dans un piège. Garance, camarade de classe de Norman, va alors avoir des soupçons. S'en suit alors une enquête palpitante et pleine d'humour. L'effet comique est à son comble tout au long de l'histoire. Norman est fou mais drôle. Il est en permanence accompagné d'un petit diablotin violet bourré de mauvaises intentions. Ce duo de choc aux idées complètements farfelues n'a eu de cesse de me faire rire, et j'espère, vous fera rire aussi. Mais il n'y a pas que le personnage principal qui semble fou. C'est à vous de le découvrir.

Attention, avant d'ouvrir cette bande dessinée, il faut s'armer de second degré, aimer l'humour noir, et ne pas avoir peur du sang. Ce premier tome vous sera alors indispensable et vous irez rapidement l'acquérir après l'avoir feuilleté.

"Je m'appelle Norman, j'ai 8 ans et ma passion c'est de tuer les gens"

Comment résister à une quatrième de couverture pareille. Un gentil petit garçon de 8 ans, serial killer ! En pleine période d'Halloween, le moment était trop beau pour découvrir cette série de bande-dessinée !

Les couvertures nous montre les doubles faces des personnages (le côté gentillet et kawaï d'un côté et la face sombre et terrifiante de l'autre)

On commence cette série par le gentil petit Jeremy qui doit vendre ses billets de tombola et qui va se laisser tenter par une maison, façon "manoir hanté très glauque" et qui sera une des victimes du "gentil petit blondinet" qu'est Norman.
J'ai avalé les 5 tomes en un week-end, et je peux vous dire que malgré le côté très sanglant, on rit... et oui des allusions à des films d'horreurs, à des tueurs en série (j'ai adoré l'allusion "Emile Georges"... oui je sais... c'est très humour noir, mais c'est tellement bien fait !).

Les personnages sont juste géniaux : Norman, la maitresse Madame Plébaire alcoolique et violente, Garance la petite peste qui meurt et ressuscite à la façon de Kenny de South Park...
Stan Silas excelle par des dessins mélange de manga et de petits personnages tout mignons. On s'y perdrait presque (j'ai adoré pompom le chat trop mignon...
Lien : http://lecturesetgourmandise..

Brrr!, Berk !!, Oups !!!

Je ne m'attendais pas à un album aussi gore, trash, loufoque, déjanté, totalement «Horrifique» si digne d'Halloween !
le dessin de la couverture, je le prenais au second degré. J'avais tort !
C'est bien du vrai sang qui coule sur le grand couteau.
C'est bien de Norman dont il s'agit, le héros, un serial Killer de huit ans qui ne pense qu'à exterminer ses petits camarades de classe, tour à tour et il s'y prend très efficacement, à commencer par Jérémy, le petit nouveau à peine arrivé.
La seule chose que j'ai pu apprécier, c'est le dessin, tout mignon, naïf, drôle, plein de détails rigolos mais à part ça, les personnages sont presque tous de vraies petites pestes mais c'est la maîtresse d'école, la pire. Méchante, injuste, violente, pochtronne, nymphomane ... etc. elle a tous les défauts du monde.
J'aurais dû rire mais je n'ai pas réussi.

Lien : http://liratouva2.blogspot.f..

Une très bonne découverte. Je lirais les tomes suivants avec grand plaisir.

Norman a huit ans et une passion bien singulière. Il adore tuer ses petits camarades de classe. Parfois pour protéger son identité de serial-killeur mais le plus souvent par pulsion meurtrière.

Bien sympathique découverte que ce premier volume. L'humour absurde et noir sont au rendez-vous dans ce premier tome.

Bien-que le personnage central soit atypique de part sa nature, ce sont tous les personnages et leurs comportements qui sont décalés, au regard de leurs jeunes âges. Une enseignante égocentrique complément irresponsable, insensible du sort de ses élèves et des gosses de huit ans qui ont des comportements et des attitudes qui ne sont pas en cohérence leurs âges bien loin du monde des Bisounours.

le dessin de Silas est enfantin, grossier avec la reproduction des émotions et de la structure narrative propres au manga.

Norman s'adresse à public adolescent et adulte. le procédé est ingénieux et efficace. La narration est bien maîtrisée, en exemple: les interventions "parasites" dans les cases "flash-back".

Humour et hommage rendue au cinéma d'horreur (Scream en autre, Halloween) même si tournée en parodie.

Une BD a ne surtout pas mettre dans les mains des enfants... du gore de série Z drôlissime !!

Un humour noir, décalé, que je n'ai pas toujours goûté, parce que très sanglant parfois.
La construction de la BD est hybride et m'a lassée. Une intrigue principale en fait l'unité : Norman tente de cacher sa nature de tueur en série, avec plus ou moins de bonheur. Cependant, la BD est construite comme une série de gags à la page et c'est ce qui, à terme, m'a ennuyée.

J'ai adoré l'humour noir et très second degré qui se dégage de cette BD. Une pépite.

Norman est un petit garçon comme les autres, en apparences, sauf qu'il aime tuer ses petits camarades. Et pour ça, toutes les astuces sont bonnes : faire croire à un petit garçon que à telle adresse, on lui achètera tous ses billets de tombola. Et là, c'est Norman qui l'attend dans une maison digne des films d'horreur les plus connus. La maîtresse d'école, alcoolique et violente, n'est pas en reste pour semer la terreur dans la classe.

Le grand point fort de cette BD, en plus d'un humour hors du commun, réside dans la succession de références aux grands succès du cinéma d'horreur : Vendredi 13, Halloween, Scream, Psychose, … et j'en passe. Malheureusement, mon manque de connaissances dans ce domaine a dû me faire rater de nombreuses allusions. Les personnages sont excessivement originaux et trouvent tous un fondement dans la culture filmique : la petite fille pauvre rejetée, le petit garçon laissé par ses parents dans une caravane, la blonde riche et populaire, …

Au niveau du graphisme, les dessins de Stan Silas sont faussement enfantins, laissant croire à une BD pour enfants qui est loin d'en être une. L'ambiance ne cesse de se modifier, passant de planches sombres pour les meurtres, à des illustrations plus acidulées lors des passages en classes. A chaque fois, cela correspond bien au film parodié. Une grande réussite.
La fin laisse pantois et me donne qu'une envie : me procurer rapidement la suite.
Lien : http://www.chaplum.com/la-vi..