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Citations sur Irréparable (17)

D'expérience, Abigail pensait que les femmes aimaient leur mère, mais il y avait toujours quelque chose qui se mettait entre elles. L'envie ? L'histoire familiale ? La haine ? Cette chose (en italiques), quelle qu'elle soit, poussait les filles à se tourner vers leur père.
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On ne pouvait pas imiter cela. La terreur absolue était un langage secret que l'on n'apprenait qu'avec l'expérience.
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Dans les parcs, les lieux publics, les pères et leurs fils jouaient toujours au baseball ou au Frisbee, le seul contact physique qu'ils semblaient avoir se résumait à une main passée dans les cheveux ou une tape dans le dos. On avait l'impression que c'était ainsi que les pères apprenaient à leur fils à devenir des hommes, mais il y avait forcément un moment, peut-être au début, où ils se tenaient la main. Une main minuscule enfouie dans une grande. Adam avait dû avoir besoin d'aide pour traverser la rue. Ou dans une foule, le père n'aurait pas voulu qu'il s'en aille de son côté.
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Malgré le bâton pendu d’un côté de sa ceinture et la bombe de gaz lacrymogène de l’autre, il avait l’air aussi inoffensif qu’une mouche. Fort heureusement, seul un flic pouvait s’en rendre compte. Les agents de sécurité étaient là pour donner un sentiment de sécurité aux parents et aux enfants. Dans un monde dans lequel des jeunes filles blanches et riches risquaient d’être tuées ou kidnappées, ce genre de démonstration de force était la moindre des choses.
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Je sais que nous avons merdé, mais on ne dit pas ce genre de choses à la presse. Ça n’encourage pas les contribuables à nous respecter.
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Abigail ne voulait pas que sa fille grandisse en pensant que le seul moyen d’obtenir quelque chose, c’était de faire appel à un homme. Emma était intelligente, drôle, belle, et elle réussirait à avoir tout ce qu’elle voulait si elle travaillait pour cela. Malheureusement, c’était trop séduisant de voir Paul se ruer à ses pieds dès qu’elle claquait des doigts. Il avait réussi à construire pour elle un monde parfait, où rien ne pouvait aller de travers.
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À l’âge de seize ans, quand elle trimbalait son fils d’un an sur sa hanche, elle devenait rouge comme une tomate quand les gens lui parlaient de son petit frère. À vingt-cinq ans, elle enrageait quand certains hommes pensaient que l’âge de son fils avait une corrélation directe avec son niveau de désir. À trente ans, elle avait fait la paix avec elle-même et se sentait capable d’assumer son passé. Tout le monde faisait des erreurs, et la vérité, c’était qu’elle aimait son fils. La vie n’avait pas été facile, mais le simple fait de l’avoir compensait largement les ragots et les regards désapprobateurs.
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Faith s’était trouvée sur les lieux du crime, et elle s’était contentée de papoter avec la mère pendant que tous les indices attendaient d’être découverts et interprétés. Elle était la partenaire de Leo, pas sa subalterne. Tout ce qu’il n’avait pas décelé, Faith l’avait aussi raté.
Malgré cela, la curiosité commençait à la démanger, et la colère à monter. Elle était détective des services de police d’Atlanta, pas une bonne à tout faire. À cause du poste de sa mère, toutes les promotions dont elle avait bénéficié avaient toujours donné lieu à des rumeurs, mais au sein de la brigade des homicides, tout le monde s’était vite rendu compte que c’était parce qu’elle était sacrément compétente qu’elle avait eu le boulot. Cela faisait des années qu’elle n’avait plus besoin de prouver ses compétences, et cela ne lui plaisait pas du tout d’être mise de côté à présent.
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Faith était flic, et elle connaissait par cœur le code bleu du silence. Elle savait cependant aussi que c’était la trahison de ses propres hommes, ces connards cupides qui pensaient qu’on pouvait parfaitement commettre des vols tant qu’il s’agissait de l’argent de la drogue, qui avait fini par lui ôter toute volonté de se battre.
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Il n’y a rien sur la scène du crime qui pourrait laisser penser qu’il s’agit d’un rituel. Je ne dis pas que tu as tort d’envisager cette possibilité, mais je propose que nous traitions cette affaire comme un enlèvement pur et simple tant que nous n’avons pas d’indice qui nous fasse croire à quelque chose de plus tordu.
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