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Amazing spider-man tome 3 sur 17

Giuseppe Camuncoli (Illustrateur)Olivier Coipel (Illustrateur)
EAN : 9780785192343
168 pages
MARVEL - US (28/07/2015)
4.25/5   4 notes
Résumé :
It's the biggest Spider-event ever! When the evil Inheritors begin exterminating spider-characters throughout the multiverse, every single Spider-Man ever is needed to save the day! A spider-army gathers to fight Morlun and his deadly family, and the Superior Spider-Man intends to lead it! Our universe's amazing Spider-Man has an issue with that...but the army doesn't have time for this in-fighting, as the Inheritors continue slaughtering Spider-totems left and righ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Ce tome fait suite à Spider-Verse prelude (épisodes 7 & 8, ainsi que les épisodes 32 & 33 de Superior Spider-Man, et 5 histoires courtes) qu'il vaut mieux avoir lu avant. Il comprend les épisodes 9 à 15, initialement parus en 2015, tous écrits par Dan Slott. Olivier Coipel a dessiné les épisodes 9 à 11, ainsi que l'épisode 14, avec un encrage de Wade von Grawbdger. Giuseppe Camuncoli a dessiné les épisodes 12 à 15, avec un encrage de Cam Smith. La mise en couleurs a été réalisée par Justin Ponsor. Ces épisodes font également partie de l'intégrale Spider-Verse : Spider-verse.

Un coup de téléphone de J. Jonah Jameson tire Peter Parker de son sommeil. Il se rend au Parc Armstrong pour investiguer sur d'étranges lueurs et tombe sur Morlun. Celui-ci n'en fait qu'une bouchée. C'est la fin du Spider-Man de la Terre 449. Sur la Terre 001, Morlun rentre dans la demeure de sa famille, où il croise Verna et Daemos, 2 des membres de sa famille.

Sur la Terre 616, Peter Parker est réveillé par Silk (Cindy Moon). En se baladant entre les buildings, ils repèrent un vol à main armé. Ils interviennent et ont la surprise de bénéficier de l'aide de Sipder Woman (Jessica Drew), Spider-Girl (Anya Corazon), Spider-Man (Miguel O'Hara), Spider-UK (Billy Braddock), Spider-Girl (Mayday Parker), et Spider-Ham (Peter Porker). Une fois le cambriolage réglé, les nouveaux arrivants les emmènent à Central Park sur la Terre 13.

Le tome précédent l'avait annoncé : Dan Slott pioche dans les épisodes écrits par Joe Michael Straczynski pour alimenter son intrigue. Plus précisément, il reprend l'idée de l'araignée comme animal totémique, et d'une race d'individus ayant pour vocation de se nourrir de la force vitale des personnes affiliées à cet animal totémique. C'est donc le retour de Morlun, et en plus il a des frères et soeurs, et même un papa. Devant une menace dépassant tellement l'entendement, Peter Parker a la chance de pouvoir disposer de l'aide de toutes ses contreparties des autres dimensions (enfin, ceux encore vivants) et d'autres superhéros rattachés de plus ou moins près à l'araignée (parce que Jessica Drew, ce n'est pas sûr que la source de ses pouvoirs ait encore à voir avec une araignée).

Avant même d'ouvrir ce tome, le lecteur a bien compris la nature du récit. Il s'agit d'une forme de crossover d'un genre un peu particulier, puisque les seules séries impactées sont celles reliées à Spider-Man. Il sait également qu'il s'agit plus d'un événement, que d'un crossover. Il a donc en tête les spécificités de ce genre de récit : beaucoup de personnages, beaucoup d'actions de grande ampleur, peu de temps d'exposition pour les personnages, des raccords compliqués avec les épisodes des autres séries, et des expédients narratifs pour que tout ça ne dure pas des mois et des mois.

Côté plein de personnages, Dan Slott avait promis que toutes les incarnations diverses et variées de Spider-Man à travers les décennies et les Terre parallèles feraient une apparition. Il n'a pas menti. Sur la couverture, il est possible d'identifier Miguel O'Hara (Spider-Man 2099), Jessica Drew (Spider Woman), Ben Reily (Spider-Man de la Terre 94, un clone de Peter Parker), Anya Corazon (Spider-Girl) et même Miles Morales (Spider-Man de l'univers Ultimate, Terre 1610). À l'intérieur le lecteur familier de l'histoire du personnage retrouve la version Captain Universe, la version Superior (Otto Octavius), et même la version Spider-Monkey, ainsi que de nombreuses autres. Olivier Coipel et Giuseppe Camuncoli ont fort à faire pour pouvoir les représenter tous, en conservant à l'esprit les caractéristiques de leur costume, parfois des variations mineures.

Slott s'amuse à mettre en valeur quelques-uns d'entre eux, le temps d'une séquence. Il faut avoir le coeur bien accroché pour contempler Spider-Ham tout nu. Dans le cours de l'épisode 11, le lecteur tombe sur 2 pages extraordinaires dans lesquelles Spider-Man 616 et un autre passent par l'univers du dessin animé de Spider-Man de 1967 (ce crossover se poursuit dans le numéro 1 de "Spider-verse team up"). le scénariste ramène donc le temps de cette histoire le Superior Spider-Man, et il intègre de nouvelles versions, telle Spider-Gwen (et d'autres).

Grâce aux épisodes préparatoires du tome précédent et à un véritable investissement affectif dans cette mythologie, Dan Slott réussit à impliquer le lecteur dans cette réunion massive, et à faire décoller son intrigue pourtant lourde de personnages. Il bénéficie des dessins somptueux d'Olivier Coipel dont les personnages dégagent une présence impressionnante sur la page. Ils sont à la fois élégants, élancés (pas de bodybuilding systématique), mutins dans certaines expressions, avec des postures vives et cinétiques. Coipel conçoit des mouvements de caméra pour éviter l'enfilade de têtes en train de parler, et pour montrer un maximum de Spider-Man à tour de rôle. Il est bien secondé par le travail de Justin Ponsor qui ajoute des halos de lumière quand nécessaire pour faire ressortir le passage entre les dimensions.

Il est visible dès le deuxième épisode que Coipel fatigue pour les décors et les arrière-plans. Il est vrai que le scénario ne propose pas des environnements très variés, et que le lieu de rassemblement des Spider-Man manque de caractère. Par la suite les dessins de Camuncoli souffrent du même défaut, de manière un peu moins patente, mais tout aussi présente. Malgré ce défaut, Coipel et Camuncoli savent mettre en valeur chaque apparition de nouveau Spider-Man, ou chaque moment de gloire de l'un d'entre eux (l'attaque massive du robot géant japonais par exemple).

Le lecteur se laisse donc porter par cette intrigue de grande ampleur qui rassemble tout ce que la création a porté de Spider-Man, tentant tant bien que mal de reprendre pied face aux adversaires qui ont déjà tué tant des leurs. Les actions d'éclats sont bien au rendez-vous, et les petits expédients narratifs commencent à apparaître. Pour commencer, Dan Slott fait bien attention d'expliquer que Spider-Man 2099 est en vadrouille dans le présent, ce qui explique qu'il coexiste avec Spider-Man 616. Par contre, il n'explique pas pourquoi ou comment Mayday Parker se retrouve à la même époque que tous les autres, alors qu'elle vient d'un futur alternatif. Allez, soyons bon prince, et admettons que l'évolution sur cette Terre s'est faite avec de l'avance ce qui expliquerait qu'elle soit contemporaine de Spider-Man 616 (et puis on applique le même raisonnement au Spider-Man 1602).

Il y a aussi d'autres aspects qui exigent une augmentation significative du niveau de suspension consentie d'incrédulité, à commencer par cette histoire d'animal totémique. Straczynski ne s'était pas trop étendu sur le détail, et Slott le reprend en l'état. du coup le lecteur se demande pourquoi certains personnages qui n'ont aucun superpouvoir apparenté aux capacités d'une araignée sont aussi sous la tutelle de cet animal totémique. Slott ajoute encore une couche avec une histoire de prophétie concernant le Descendant, l'Autre et la Promise. Pourquoi pas ? Mais le lecteur ne sait pas trop ce qui désigne les 3 Spider-Man comme étant ces 3 individus annoncés, et les rouleaux de la prophétie remis à Jessica Drew ne servent finalement pas à grand-chose.

Comme dans toute histoire de ce genre, les responsables éditoriaux font tout pour en tirer tout le chiffre d'affaire possible, en y ajoutant des récits connexes. Dans l'intégrale Spider-verse, le lecteur peut ainsi lire les 2 épisodes de la minisérie Spider-verse, les 3 numéros de Spider-verse team-up, les 4 premiers épisodes de Spider Woman, les 3 épisodes de Scarlet Spiders, et les 3 épisodes de Spider-Man 2099 afférents. On passe ainsi d'un récit de 160 pages à un récit de plus de 600 pages. Donc dans le présent tome, à de nombreuses reprises, des personnages sortent de l'intrigue pour aller accomplir une mission ailleurs, et ne revenir qu'un ou deux épisodes plus loin. Cela peut s'avérer un peu frustrant par moment.

Ce Spider-verse s'impose comment un événement majeur dans la mythologie de Spider-Man Dan Slott et Olivier Coipel réussissent à faire décoller le récit, installant un suspense quant à l'affrontement contre les Héritiers (la famille de Morlun), tout en gérant une distribution pléthorique de Spider-Man. le dessinateur tient le choc en faisant en sorte que le lecteur puisse distinguer entre les dizaines de version de Spider-Man, par contre il a bien du mal à donner de la consistance aux décors, dont l'importance dans le scénario est toute relative. Giuseppe Camuncoli ne fait pas beaucoup mieux, avec des arrière-plans un peu plus présents, mais pas beaucoup plus substantiels. Arrivé dans son dernier acte, le récit peine à donner des réponses satisfaisantes, et même à conserver l'emphase des premiers actes. 4 étoiles pour le plaisir de voir tous ces Spider-Man, et pour leur représentation très élégantes d'Olivier Coipel. 3 étoiles pour un lecteur plus attaché à l'intrigue.
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 Spider-verse est sortie en France sous l'excellente collection MARVEL NOW! (où vous trouvez déjà le génial Massacreur de dieux d'Esad Ribic), avec le numéro Amazing Spider-man volume 3. Il réunit des épisodes qui se suivent dans le périodique américain, ce qui permet une continuité de l'histoire et évite l'éternelle impression d'avoir raté quelque chose. L'histoire n'en comporte pas moins plusieurs ramifications dans d'autres publications liées au Spider-verse. Il est entièrement dessiné par Olivier Coipel (rhââ!) et Giuseppe Camuncoli. L'ouvrage comporte l'intro habituelle de l'éditeur (qui n'apporte pas grand chose), les couvertures originales (magnifiques!) entre les parties et les couvertures alternatives. Rien d'exceptionnel.

La famille Morlun est composée de vampires multidimensionnels qui se nourrissent de l'énergie de toutes les incarnations Spider-man du multivers. Lorsque le patriarche déclare l'extinction des Spider-men, ces derniers se réunissent pour préserver leurs semblables dans une guerre entre époques et dimensions où la victoire n'a jamais été aussi improbable...

Comme beaucoup d'amoureux du dessin j'ai été touché par l'exceptionnel buzz autour du Spider-man: into the spider-verse (Spider-man: New generation chez nous... allez savoir pourquoi!) sorti en fin d'année dernière. Découvrant à l'occasion de ce film dingue le concept de Spider-verse et adorant le principe de variantes (comme le Red Son pour Spider-man ou le crossover Looney toons/Batman), j'ai déniché le run de Dan Slott et Olivier Coipel en me demandant quelles étaient les inspi du film. Alors soyons directe, la couverture à elle seule justifie la lecture de cette histoire qui arrive largement au niveau des seules séries Marvel que je trouve accessibles aux non fanatiques, à savoir X-men.

Ceci pour deux raisons. D'abord l'homogénéité du boulot et l'univers cohérent fermé: Spider-verse a un début, un milieu et une fin, avec une explication très simple de qui sont les méchants et de la problématique. le Big Two oublie trop souvent que les lecteurs ne lisent pas QUE leurs publi et se noient littéralement dans leurs univers. Pourtant l'amoncellement des Spider-men et women avait tout pour me paumer, à l'instar du Secret Wars, puissant, ambitieux mais trop pointu et perturbant pour être lu paisiblement. La bonne idée (comme souvent) est l'humour. le fait d'intégrer Spider-cochon (juste génial et bien plus présent que dans le film) permet plein d'interventions totalement décalées, mais il n'est pas le seul à ironiser sur le côté WTF de cette histoire. En effet, sans que l'on sache lequel à une origine dans une vrais BD (et on s'en fout royalement!!) les auteurs nous proposent aux côté des Spider-Gwen, Superior Spider-man, Spider-woman ou encore Miles Morales un spider-cheval, un loup-garou ou encore une araignée mutante, un robot (dont doit être issu celui du film) etc. La plupart ne sont que du décors ou de la chair à canon pour les Morlun qui vont en dévorer un bon paquet avant la fin du run. le multivers étant infini en intégrant en outre le passé et le présent, les possibilités donnent le vertige...

Mais tout ceci garde pourtant bien une structure, simple et relativement linéaire sous la forme d'une chasse à base de sauts entre différents univers (processus qui peut rappeler le Black Science de Remender). Assez vite on apprend que le groupe de base formé par Peter Parker et Superior Spider-man (originellement Dr Octopus) a la possibilité de se téléporter à volonté comme les Morlun et plusieurs Spider-team se réfugient en différents endroits de l'espace-temps. Dan Slott à la bonne idée de ne pas se perdre dans des analyses physico-philosophiques sur la trame du multivers pour rester dans le coeur: des spider-men partout, sous toutes les formes qui se frittent avec des méchants vraiment très très réussis!

C'est ma deuxième raison, j'y reviens toujours, pas de bonne histoire sans bon méchant. Ici il y a toute une famille totalement réussie tant visuellement que dans leur écriture. du patriarche au scaphandrier (qui aura un rôle particulier) on se régale de les voir intervenir tout en puissance devant laquelle les héros ne font pas le poids. D'ailleurs seule une pirouette finale un peu facile permet de résoudre cette intrigue mal barrée tout le long. A côté des Morlun, les séquences Spider-men sont structurées autour de la guerre de quequettes entre Peter Parker (l'original) et Superior qui revendiquent tous deux le leadership de la contre-attaque... mais bien d'autres spider sont vraiment cool, notamment le Spider-punk, Spider-UK et bien sur Spider-Gwen.

Visuellement si Coipel dessine moins de planches que le très correcte Giuseppe Camuncoli, elles sont toutes absolument renversantes, peut-être plus encore que ce que fait Esad Ribic, mon chouchou de l'écurie Marvel, avec notamment un surprenant aspect subtilement sexy, tout en élégance et qui change des archétypes musculeux et gonflés...

J'ai pris un grand plaisir à parcourir les dimensions en compagnie du Spider-verse et sachez qu'en lisant ce volume vous prenez le risque d'avoir très envie de revoir le film et de rechercher d'autres variantes (notamment le Spider-man noir). En raisons des problèmes du genre (éditeur, ficelles scénaristiques, changements de dessinateurs,...) il est compliqué de mettre 5 Calvin mais on en est très proche!
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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De quoi ça parle :

Au début de l'histoire, un appel réveille Peter Parker en sursaut. À l'autre bout du fil, J. Jonah Jameson. Ce dernier demande à Peter de se rendre, de toute urgence, à Armstrong Park, afin d'y prendre des clichés : un étrange individu, en effet, détruit tout sur son passage. Peter prend la décision d'y aller mais dans son costume de Spider-Man et non dans celui de photographe. Arrivé sur les lieux, il se trouve face à Morlun. Celui-ci ne met pas longtemps pour se débarrasser du Spider-Man de laTerre 449.

De retour sur la Terre 001, les Héritiers utilisent les capacités du Tisseur pour se rendre où ils le souhaitent, partout dans le multivers, afin de détruire toutes les autres araignées.

Nous retrouvons, alors, notre Spider-Man à nous, qui a, semble-t-il, passé la nuit avec Cindy Moon, alias Silk. Dès qu'ils sont bien réveillés, les deux super-héros enfilent leurs costumes respectifs et partent faire leur ronde habituelle. Alors qu'ils s'affairent à arrêter un cambriolage, une myriade d'Araignées, venues d'autres dimensions, débarquent sur les lieux…

Mon avis :

Spider-Man n'a pas le temps de profiter des bienfaits d'avoir retrouvé son corps (cf. Superior Spider-Man), qu'il doit faire face à une menace qu'il connait bien : Morlun, le célèbre vampire. Dans cet arc du Tisseur, Morlun n'est pas tout seul, il est accompagné d'autres suceurs de sang. Ensemble, ils parcourent le Multivers et tuent toutes personnes possédant des capacités arachnéennes.

L'auteur prend plaisir à jouer avec toutes les versions de Spider-Man. En effet, pour vaincre les Héritiers, les Araignées vont devoir s'unir pour avoir la moindre chance de battre leurs ennemis.

Avant de commencer ma lecture de ce troisième tome des aventures de Spider-Man, j'avais peur que l'intrigue parte dans tous les sens et que l'on se perde avec toutes les Terres. Mais, Dan Slott a réussi à rendre le tout très lisible et facile à suivre. L'histoire est vraiment maîtrisée et nous capture dans sa toile.

Le point le plus positif de cet opus est la qualité de ses dessins. Pour l'instant, je trouve que c'est l'album le mieux réussi. Les personnages sont dessinés à la perfection tout au long de l'histoire. C'est donc, vous l'aurez compris, un Comics très complet avec des graphismes magnifiques et une histoire qui change de l'ordinaire. Vivement que je me procure le quatrième tome pour voir si l'évolution continue dans ce sens !!!

Ma note : 16/20
Lien : https://nexus-quest.fr/the-a..
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Le spider-verse est enfin arrivé et c'est une multitude de spider-men d'univers différents qui s'unissent pour faire face aux Hériters.
Une sage très rythmée et très prenante. La famille des hériters, un peu stéréotypée genre "grande famille vampire" forme un groupe d'ennemis intéressant. Seul bémol, on aurait aimé en apprendre encore un peu plus sur eux.
C'est aussi un plaisir de retrouver Miles Morales, Spider-Gwen et autres. La saga Spider-man a décidément encore de beaux jours devant elle.
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critiques presse (1)
ActuaBD
20 mars 2017
Dan Slott lance le tisseur dans une grande épopée haletante avec notamment Olivier Coipel aux dessins. Le résultat est forcément beau.
Lire la critique sur le site : ActuaBD

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Top rééditions Aurélien :
Silver Surfer (Marvel Omnibus) de Dan Slott et Mike Allred Silver Surfer Parabole (Marvel Must-have) de Stan Lee et Moebius Collection anniversaire Avengers (Marvel Hors collection)
Top rééditions Emile :
Miracleman (Marvel Omnibus) du Scénariste Originel, Garry Leach et Alan Davis Génération X : L'intégrale 1994-1995 (Marvel Classic) de Scott Lobdell et Chris Bachalo X-Statix (Marvel Omnibus) de Peter Milligan et Mike Allred
Top nouveautés Aurélien :
Punisher (100% Marvel) de Jason Aaron, Jesus Saiz & Paul Azaceta Les Eternels + A.X.E Judgement Day (100% Marvel) de Kieron Gillen et... beaucoup de monde ! Made in Korea (Panini Graphic)
Top nouveautés Emile :
King Conan Colossal de Timothy Truman et Tomas Giorello Fantastic Four : Les Nouveaux Fantastiques (Marvel Epic Collection) de Walt Simonson, Tom DeFalco, Arthur Adams & Paul Ryan Fantastic Four (100% Marvel) de Dan Slott et... beaucoup de monde !
Tous nos remerciements à Emmanuel Peudon pour le montage et à ClemB pour le générique. Plus d'infos sur notre site internet : https://www.panini.fr/
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