Les riches traitaient souvent leurs domestiques comme quantité négligeable. Les employés de maison, on pouvait les voir, mais on ne devait pas les entendre. Ils devaient se plier aux ordres sans broncher.
Les défenestrés ne laissent pas toujours de lettre.
Quand on était une femme, ce n’était pas de l’argent qu’il fallait, mais la jeunesse, un corps de rêve, une grosse poitrine et une bouche pulpeuse.
La colère était une force destructrice, une force puissante. L'un des sept péchés capitaux. Celui contre lequel il lui fallait souvent se battre.
Ce n’est pas parce que je ne lirai pas le journal aujourd’hui que ça va changer quoi que ce soit à l’ordre du monde. Les nouvelles seront aussi mauvaises demain. Et après-demain.
Quand on vit au paradis, on renonce sans regrets à certaines choses.