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3,39

sur 189 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un petit roman sympathique, frais, gentil, bon enfant. Parfait pour remonter le moral du lectorat (plutôt féminin). On y découvre la vie quotidienne, dans les années soixante, d'un groupe de jeunes (ou moins jeunes) femmes travaillant dans les rayons prêt-à-porter d'un grand magasin. Les personnages sont sympathiques, la condition féminine est mise à l'honneur, l'auteure humanise avec beaucoup de bienveillance ces petites vendeuses, anonymes et désindividualisées par leur tenue de travail, sobre et impersonnelle. On les découvre toutes bien différentes, avec des personnalités riches et des vécus uniques.
Un bel hommage aux femmes indépendantes qui s'assument, dans un monde pas encore mûr pour les soutenir.
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Je m'attendais à un roman léger, un peu sentimental et drôle.

Au final, c'est un roman très -trop- court, qui m'a laissé de marbre niveau humour et que j'ai trouvé peu approfondi. Les personnages sont quelconques, ils n'ont pas d'épaisseur psychologique. L'intrigue est simplifiée à l'excès et j'avais presque l'impression d'être plutôt dans un scénario.

Bref, pas un mauvais moment, parce que ça se lit vite, que ça détend, et que l'univers du magasin est sympathique, mais vite lu, vite oublié!
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A Sydney, Lisa, 30 ans, est une étudiante innocente et naïve.
Elle vit chez ses parents et passe son temps libre à lire.
Elle travaille depuis peu dans une boutique de vêtements de haute couture où elle rencontre Magda qui vit en couple avec Franck.
Ce livre est agréable à lire en tout cas sur toute la première moitié après c'est bien aussi sauf que ça s'essouffle un tout petit peu.
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Bienvenue chez Goode's, temple de la consommation australien. Dans ces dédales de couloirs, vous pourrez vous perdre dans les méandres de taffetas, de broderies, de perles et de soieries. Ne craignez rien, vous ressortirez avec une tenue, nos petites robes noires y veilleront. Mais ne vous y trompez pas, votre achat vous déterminera. Car selon le modèle choisi, vous serez ou ne serez pas, la seule, l'unique… Goode's vous ouvre ses portes, entrez, n'ayez crainte, nous saurons vous révéler. Et qui sait si vous vous reconnaîtrez?
Dans cet univers impersonnel et froid tel que peut l'être un grand magasin, Madeleine St John a magnifiquement su donner une âme à ces quelques mètres carrés entièrement dédiés à la beauté et à l'élégance féminine. Nous y découvrons alors les vendeuses affublées d'informes petites robes noires qui, à l'aube des fêtes de Noël devront travailler d'arrache-pied pour satisfaire ces dames fortunées.
Tout d'abord, il y a Patty Williams qui a troqué son voile de mariée contre un voile de tristesse tant elle désespère de voir son ventre s'arrondir. Puis vient Fay Baines, célibataire cherchant en vain l'homme qui fera battre son coeur. Miss Jacobs, quant à elle, continue d'auréoler sa vie personnelle de mystère, tant elle souhaite vivre en marge de cette vie professionnelle. Malgré tout ce qui les oppose, ces trois femmes devront se partager cet espace dédié aux multiples robes de cocktail.
Mais en levant le regard par-delà l'étendue des robes créées en série s'ouvre un tout autre univers. Celui des modèles Haute Couture, celui de Magda, celle que l'informe robe noire ne parvient pas à enlaidir. Ici, tout n'est que luxe, excentricité, exclusivité. Y acheter une robe, c'est la promesse de ne jamais la voir porter par autre que soi.
Un gouffre sépare ces deux mondes. Car si les robes de cocktail ne peuvent rivaliser avec les modèles Hautes Coutures, les vendeuses, elles, ne se côtoient pas, voire se défient du regard. Jusqu'à ce qu'apparaisse la jeune Lisa. Petite chose pâlichonne et tellement frêle que la plus petite des informes robes noires s'avère trop grande. La jeune femme fera le lien entre ces deux mondes et tissera des liens qui s'avèreront indéfectibles.
Les petites robes noires parle avant tout de la condition de la femme dans les années 1950. Souvent cantonnées au rôle de mère au foyer, certaines parviennent néanmoins à s'émanciper. Malgré tout, le poids et la main-mise de l'homme restent de rigueur. La culpabilité d'une non-grossesse revient à la femme, la poursuite d'études à l'université ne se fera qu'avec l'accord du patriarche. de l'influence et de la richesse du mari dépendra la tenue de la femme, robe de cocktail ou modèle unique. La femme de cette époque ne saurait vivre sans l'homme qui lui partage les cordons de la bourse. La concurrence entre les classes sociales est rude et acharnée. Et pourtant, ne dit-on pas que l'habit de fait pas le moine? Madeleine St John n'a pas son pareil pour mettre à mal cet adage. le lecteur suivra, fasciné ou amusé, la transformation de Lisa, vilain petit canard bientôt drapé de plumes de cygne. Avec Lisa, c'est la féminité même qui naît, qui s'ouvre au monde. de là à dire qu'un bout de tissu peut apporter de l'aisance et de l'assurance, il n'y a qu'un pas...
Les petites robes noires est un roman comme il est doux d'en lire parfois. Au charme suranné, un brin féministe, il brille grâce à la plume incisive et ironique de Madeleine St John. Les destins y sont si subtilement brodés qu'il en devient impossible de déceler le vrai du faux. Tout n'est ici qu'histoire de paraître. Mais au fond, quelque soit l'étoffe derrière laquelle nous nous drapons, ce que l'on cache n'est-il pas plus important que ce que l'on montre?
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Sidney, 1959 : dans ce grand magasin, au moment des fêtes de fin d'année puis des soldes de janvier, le rayon des " robes de cocktail" a besoin de renfort. La jeune Lesley -- qui a décidé de se faire appeler " Lisa" -- vient de finir le lycée et en attendant les résultats de ses examens, se fait embaucher. Elle découvre alors un monde  nouveau. On découvre des femmes au travers de différents points de vue grâce à l'écriture précise et au talent de Madeleine St John. Ainsi, nous suivrons Fay (Miss Baines) à qui on présente de jeunes gens australiens qui la fatiguent tant ils sont insipides et tous pareils. Sa collègue, Patty (Mrs Williams) est à peine plus âgée qu'elle mais elle est déjà mariée depuis plusieurs années à Frank, un époux un peu fade. le couple n'a pas d'enfants. le médecin a insinué que le problème venait du mari mais, évidemment, on n'en parle pas, sans compter que Frank semble s'en fiche. Patty s'ennuie... Enfin, il y a l'incroyable Magda qui impressionne les deux autres : elle s'occupe de la haute couture et, attention, elle est européenne !
Ah, et pourquoi les petites robes  noires ? Parce que c'est l'uniforme du magasin en quelque sorte.
Quand Lesley/Lisa débute au magasin, très vite Magda décide de la prendre sous son aile et de lui montrer que, oui, on peut s'émanciper.
Le ton est celui de la comédie, mais finalement, assez caustique (Jane Austen n'est pas loin). Madeleine St John sait dénoncer avec malice les rôles qui sont attribuées aux femmes dans la société des années 50. Rien de révolutionnaire mais des petites touches qui font mouche (le roman a été écrit en 93 mais s'appuie pour beaucoup sur la jeunesse de l'autrice qu'on devine sans peine au travers du personnage de Lisa).

Un petit délice à découvrir. Il a été adapté en film.
Lien : https://imaladybutterfly.wor..
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Je n'avais jamais entendu parler de ce petit livre.
C'est la couverture qui m'a tapé dans l'oeil (qui pourrait manquer ce orange totalement flashy 📙???), et cette jolie petite robe noire.
On y suit, pendant plus de 200 pages, l'histoire de plusieurs jeunes femmes qui ont toutes en commun de travailler pour le grand magasin Goode's de Sydney.
L'une cherche l'amour, une autre espère pouvoir intégrer l'université afin d'y poursuivre ses études, une dernière aimerait tomber enceinte.
Certes, les féministes crieront au scandale tant la place des femmes y est peu considérée (le récit se déroule à la fin des 50') , mais pour ma part, j'ai passé un bon moment de lecture.
J'ai beaucoup aimé les premiers paragraphes du chapitre 40, qui décrivent l'ouverture des soldes comme on décrirait l'arrivée des troupes sur un champ de bataille.
Tout est un peu désuet dans ce petit livre, mais c'est finalement cela qui fait tout son charme.🌼
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Grâce à la masse critique de Babelio, j'ai pu recevoir l'épreuve non corrigée du roman Les petites robes noires. Un roman écrit par Madeleine St Jones en 1993 et qui sort pour la première fois en France cette année 2019.

Ici, nous découvrons Patty, Fay, Magda et Lisa, vendeuses au magasin F.G. Goode's de Sidney, en 1959, et portant chacune une petite robe noire pour uniforme.

L'auteure nous montre la vie bien différente de ces 4 femmes. Patty n'est pas heureuse dans son ménage, Fay cherche désespérément l'homme de sa vie, Magda apprécie sa vie mondaine et Lisa rêve d'entrer à l'université contre l'avis de son père.

Il était intéressant de suivre ces femmes dans une société traditionnelle des années 50. J'ai été particulièrement touchée par l'histoire de Patty. Et Magda est le personnage que j'ai le moins apprécié.

La plume de l'auteure est agréable, toutefois, j'ai trouvé le roman assez platonique. Je pense que je m'attendais à autre chose en lisant ce livre, ce qui m'a un peu déçue. J'ai failli abandonner ma lecture mais c'est l'histoire de Patty qui m'a fait tenir jusqu'à la fin.

Lien : http://bookaddict.e-monsite...
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Les petites robes noires
Madeleine St John
roman, Albin Michel, 258p, 2019
traduit de l'anglais(Australie)par Sabine Porte


C'est une découverte : ce livre, paru en 1993, et déjà considéré comme un classique,
n'avait jamais été traduit en français. On, ou les éditions Albin Michel, à la suite des éditions Text, parlent d'un petit chef-d'oeuvre, et cet adjectif devant un tel nom, ne manque pas d'étonner, à moins qu'il ne renvoie à la brièveté du roman, allongé par deux présentations de l'auteure par un réalisateur de film qui a adapté son livre, et le journaliste qui a rédigé sa nécrologie.
Les petites robes noires entraînent le lecteur dans un monde féminin, très précisément dans un grand magasin de prêt-à-porter et de robes du soir. Ce grand magasin propose des robes à la mode de Londres ou d'Italie ou d'ailleurs, de France là où on confectionne des robes pour de vraies femmes, qu'on réussit à faire paraître minces. Les petites robes noires sont l'uniforme des vendeuses, choisies pour leur adaptabilité et leur avantage de demander peu de tissu, et elles dégagent une drôle d'odeur, pas déplaisante mais curieuse. Madeleine St John dresse avec vivacité et une certaine acidité le portrait des employées, dont Patty, une femme mariée sans enfant, Fay, une presque trentenaire encore célibataire, qui se rend compte que sa troupe d'« amis » n'est pas intéressante. Une toute jeune fille, parfois appelée « l'enfant », qui travaille comme intérimaire au moment de Noël, période d'affluence ou comme dit le patron avec exagération, d' « émeute ». L'action se passe à Sydney, ville beaucoup plus intéressante que Melbourne qui ne peut offrir que de bons gâteaux et un musée avec de belles collections de tableaux, en 1959, quand « la nuit de l'été austral palpite».
La grande affaire pour une femme d'alors, c'est d'abord de se marier, ensuite d'avoir des enfants. Aussi Miss Jacob à la forte poitrine, la chef de rayon mais accaparée par les retouches, reste-t-elle un mystère. On ne connaît pas même son prénom , mais c'est une perle pour le magasin, son patron paternaliste qui a un peu pitié d'elle, le sait. Fay ne parle que d'hommes. Les garçons, eux, « attendent des filles qu'elles soient idiotes ou du moins écervelées... mais la plupart d'entre elles font semblant de l'être pour leur faire plaisir ».
Un autre mystère, c'est Magda, une Européenne, une Slovène, qui partage avec ses compatriotes la manie d'embrasser, officie dans la grotte rose des Modèles Haute Couture, ne porte pas l'uniforme mais après compromis, jouit de toute une collection de robes noires, et à plus de quarante ans, demeure magnifique. Elle est mariée à un Hongrois épris de culture.
le personnage principal du livre est la jeune fille, prête déjà à l'émancipation. Elle vient de passer son diplôme de fin d'études, attend ses résultats pour entrer à l'université, se fait appeler Lisa parce qu'elle déteste son prénom Lesley. Elle pourrait pour une part représenter l'auteure. Elle est intelligente, aime la littérature et un poème en particulier de Blake, elle a toujours un livre à la main, elle veut devenir poète. Maigrichonne, petite, elle est encore une adolescente, mais peu à peu, parce qu'elle est dans le monde du travail, que Magda, qui empiète sur la place de sa mère, l'ouvre à la vie d'adulte, elle devient une belle jeune fille. Naturellement, on lui présente un jeune homme qui lui aussi fait de belles études. Avec sa mère, elle décide d'entrer à l'université, tandis que son père, qui joue aux courses régulièrement, ne voit pas ce qu'une femme a à faire dans un tel lieu.
Ce petit monde de femmes n'est pas épargné. Les vendeuses, qui n'ont pas de relations étroites entre elles, s'épient et se dénigrent. Patty aime bien jouer à la chef quand elle est sûre de ne pas rencontrer d'opposition, Fay ne parle que d'hommes, toutes les deux jalousent Magda. Elles aiment la toilette, mais les robes du magasin sont chères, malgré leur prime de Noël , les soldes, et la remise du personnel. Cependant Patty craque pour une nuisette et Lisa pour la robe nommée Lisette, qui la délivrera des habits confectionnés par sa mère, soucieuse de faire des économies et consciente de la modestie de son milieu.
Il y a les vendeuses, mais aussi les femmes qui achètent, les « hordes de ménagères », « la phalange des viragos ». Et Madeleine St John de montrer des mères dépassées par leurs enfants, et ne laissant pas de pourboire aux vendeuses qui réparent le désordre qu'ils causent ; le désir des femmes d'avoir une robe unique, parce qu'elle n'aime pas porter la même robe qu'une autre, et poussées par une loi biologique, non par la vanité ni l'avidité, à se faire belles ; la bataille des femmes dans les magasins au moment des soldes. L'autrice décrit l'affairement des femmes, le rôle des vendeuses, avec justesse, sympathie, et distance ironique. « Vous pourriez vous laisser aller à votre fantaisie un petit moment, cela fait du bien à l'âme ». La femme achète un habit pour se remonter le moral ou pour sortir de sa vie médiocre, comme Patty dont le mari est « un con standard ni cruel ni violent, mais qui n'a rien à dire ». « Pour une femme, il ne s'agit jamais uniquement d'amusement ».
La nuisette qu'elle achète provoquera le tumulte dans le corps et le coeur de son mari qui, après une nuit torride et féconde, partira un moment, car comme tout homme, il est bête et a besoin de faire le point.
La fin du roman est un conte, c'est la période de Noël : Patty est enceinte, son mari est revenu, Fay a trouvé soudainement l'amour de sa vie, Lisa, dont les résultats sont brillants, commence une vie plus variée, qui attire, même si l'âge adulte lui reste mystérieux, bien que la quadragénaire Magda soit également choquée par les imprévus.
C'est un livre court, écrit dans un style incisif et sur un rythme très alerte, sans que rien ne pose. C'est un roman de formation. C'est surtout la peinture d'un monde de femmes, placées dans un endroit pour femmes, à une certaine époque, qui prennent plus ou moins conscience de leur condition, et qui, pour certaines, en tout cas les personnages principaux du livre, se démènent pour en sortir. Même l'école n'a pas pour premier but d'éduquer, mais de se flatter des mentions très bien obtenues par les élèves. C'est un livre féministe.
C'est un bon livre, intéressant et agréable. Mais ce n'est pas un chef-d'oeuvre, même petit.
Merci à Babelio et à Masse critique de m'avoir offert ce livre et de m'avoir fait découvrir cette auteure.
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Que dire...

Le Synday Times, journal anglais, qualifie ce roman de "véritable diamant brut". Et c'est peut-être ce mot qui le décrit le mieux : brut. le récit est brut, écrit comme parlé en fonction du narrateur. Parfois on s'y perd, on ne comprend pas tout.

Et puis on s'en fout parce que malgré cette écriture pure sans fioriture, on se laisse prendre au jeu : Lisa ira-t-elle à l'université ? Fay trouvera-t-elle un mari ? Patty sera-t-elle heureuse ?

À Sydney dans les années 60, on suit la vie de plusieurs femmes toutes employées dans un grand magasin de luxe, chacune rêvant de liberté dans un système encore très patriarcal que l'époque commence doucement à remettre en question.

Toutes les questions qu'on se pose trouvent une réponse, mais quelque part on en demanderait encore, on aimerait plus de détails, plus de développement... et en même temps ce roman se suffit à lui-même.

Je n'ai pas été transportée, je ne suis pas exaltée par sa lecture, je ne me suis pas ennuyée et je n'ai pas détestée 😅
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Les petites robes noires, ce sont les vendeuses du grand magasin F.G. Goode's à Sydney à la fin des années 1950. Parmi celles-ci, il y a la jeune Lisa, en attente de ses résultats scolaires, Fay et Patty, au rayon des robes de cocktail et enfin, Magda, une immigrée slovène au rayon des robes Haute Couture.

C est un roman avec peu d actions, qui dépeint essentiellement les femmes australiennes des années 50-60.
J ai été perplexe au commencement de l histoire car je m attendais à ce qu il survienne quelque chose. Au lieu de ça, l auteure, par ailleurs décédée, décrit la vie de chaque femme et son quotidien au magasin. Ce sont des tranches de vie.

Si je n ai pas trouvé cette lecture désagréable, ce ne sera pas une lecture marquante. C est assez léger.

J ai apprécié les notes en fin d ouvrage sur la vie de l auteure, cela permet de contextualiser un peu plus son oeuvre.
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