Il y a un truc dans la littérature, outre l'emprise, c'est la manipulation émotionnelle qui me transforme en Booba, j'ai envie d'hurler OCTOGONE OCTOGONE OCTOGONE dès qu'une intrigue tourne autour d'une personne qui se fait écraser mentalement par un autre avec des sourires mielleux.
Heureusement que, souvent, l'histoire est sauvée par la force de l'amitié / l'amour / un smiley dessiné sur 4 mains / le méchant qui implose par la force de la volonté du lecteur. Ici, c'est aussi par la gentillesse de l'héroïne et les plats de cassoulets et de rognon de Mère-Grand et Choupette.
Ca se laisse lire, il n'y a pas de grands enjeux, c'est très fluide, une lecture détente qui ne m'a pas spécialement convaincue, mais me rend curieuse du reste de la bibliographie de la prolifique Steel.
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