"Mais les principes, ce ne sont pas des vêtements que l'on enfile ou que l'on enlève quand ça vous arrange. On doit s'y tenir quelles que soient les circonstances."
"Il n'avait pas touché à son dîner. Olympia n'ayant pas découpé le morceau de poulet de Max, celui-ci continuait à dévorer des pommes de terre. Il avait faim. Et les grandes personnes lui paraissaient parfois bien compliquées."
"Au cours de cette soirée, Harry avait fait ses débuts dans un monde nouveau, alors que d'autre jetaient un coup d’œil en arrière vers un monde ancien. Quand le passé et l'avenir se rejoignaient, l'espace d'un instant étincelant, quand le temps s'arrêtait, la tristesse se dissipait et était oubliée, et la vie commençait."
"Elle se réjouissait simplement de sa présence samedi soir. Entre les filles qui seraient surexcitées et à cran, le cavalier de Veronica à garder à l’œil, Frieda avec des béquilles ou dans un fauteuil roulant et un ex-mari qui pouvait à tout moment ouvrir les hostilités, Olympia risquait de devenir folle."
"L'espace d'un instant, il avait renoncé à ses idéaux extrémistes, consenti à se laisser fléchir, et découvert que ce n'était pas piétiner ses principes que d'évoluer dans plusieurs mondes."
"Margaret était impressionnée par la manière dont Olympia réussissait à tout gérer. Enfants, travail, mari, crises diverses...Elle parvenait toujours à trouver une solution. Cela semblait être la loi des femmes actives : géniales au bureau et infatigables à la maison. Pour Margaret, cela faisait trop à assumer et c'est la raison pour laquelle elle avait choisi de ne pas avoir d'enfants."
Les hommes ne voient jamais les choses du même œil... Ce n'est probablement pas grave. Sans doute s'inquiète- t-il tout simplement de son avenir. C'est un moment difficile pour la plupart des jeunes. Que cela leur plaise ou non, ils sont obligés de quitter le nid et de grandir.
Elle préférait les garçons intelligents et originaux et s'intéressait plus à leurs qualités intellectuelles que physiques.
Les filles ont été invitées à faire leurs débuts dans le monde au bal des Arches, comme je l'avais été, dans le temps. C'est un événement désuet, mais délicieux. Certains, comme Chauncey, essaient d'en faire une condition à l'entrée dans la vie, mais c'est faux. C'est juste une belle soirée de conte de fées, superficielle certes, mais aussi magique que celle de Cendrillon. Pour moi, elle ne fait de tort à personne.
Ce n'est qu'une tempête dans un verre d'eau mais, en ce moment, tout le monde est à cran.