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3,82

sur 2319 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'avais lu ce livre en 6e, ou 5e, je ne sais plus.
Le style de l'auteur m'avait déplu à l'époque car trop dépouillé, alors que l'histoire avait retenu mon attention. Beaucoup ont jugé ce court roman comme un conte moral ou une fable socio-philosophique. Effectivement, tous les ingrédients sont propices à la réflexion : mieux vaut être pauvre mais heureux ; être riche attire ennemis et ennuis...
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I've read the Pearl in English in a shorter version, found on a shelf in the library. Unfortunately I didn't take a look at the reading level, too low for me, with a vocabulary too poor.
Because in my opinion if you understand 100% of the book it's not enriching.
The story is quite interesting : the pearl clearly represents material properties, money, luxe… that ends to control everyone in despite of their will. Anyway you got it, hundreds of reviews tell you more about it and surely in a better way.
I definitely preferred Of mice and men. However I read the full version in French so I can't really compare.

Enjoy your reading !
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Un texte court de Steinbeck qui se lit facilement et rapidement mais qui ne m'a enthousiasmé ! L'histoire est pourtant émouvante avec une morale qui laisse la place aux plus forts, qui n'autorisent pas la réussite aux gens du peuple. Rien ne change tout particulièrement dans les pays pauvres !
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Ce petit conte philosophique, nous entraîne dans la vie de Kino, un pêcheur d'un pays pauvre, de sa femme et de son fils. Il trouve une perle, la plus grosse du monde, et tente par tous les moyens de la vendre... Jusqu'à ce que le malheur s'abatte sur les siens. Il partira alors de son village, et tentera d'atteindre des cieux plus clairs, où on lui proposera une vraie fortune pour cette perle. Mais le périple est long, et les embûches sont sur son parcours.

Dès le début, on connaît la fin. Ensuite, durant la lecture, on cherche à comprendre comment un tel engrenage a pu arriver à cet homme. Un homme comme les autres, pourtant. Cette parabole se lit vite, à deux niveaux si on le souhaite, mais elle reste longtemps en mémoire...

A conseiller à tous ceux qui veulent encore plus apprécier les petits moments importants de leur vie...

J'ai aimé, mais sans réel coup de coeur... on est loin Des souris et des hommes !
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Un homme trouve la plus belle perle du monde. Pour lui, cette découverte lui apportera la richesse : une chemise propre, un mariage à l'église, la possibilité pour son fils d'aller à l'école. Mais c'est sans compter sur la jalousie des hommes. C'est court, mais intense. Comme le couple de personnages principaux, on passe de l'espoir au désespoir en quelques pages, avec l'impression que chacun doit rester à la place que le destin lui a attribué au risque d'être puni, et un grand sentiment d'injustice qui en découle.
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Un court roman, presque une nouvelle. C'est raconté à la manière d'un conte. Quelques personnages, un événement hors du commun presque magique. Mais où sont les méchants? Les gens, le sort, la part sombre des personnages? Et où est la morale?
Très rapide à lire, bien écrit, mais sans rien de clair qui se dégage pour moi à la fin.
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Se lit bien
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Voilà encore un auteur pour lequel je n'avais aucune attirance, sans vraiment savoir pourquoi et sur lequel je me trompais.
Son écriture est très accessible, l'histoire est courte, on va à l'essentiel sans être alourdi par des tonnes de descriptions, elles sont juste bien dosées. le récit a une vraie ambiance, et les personnages très réalistes, j'ai trouvé cette lecture très prenante. Seul bémol, le résumé en début du livre raconte toute l'histoire.
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Une fable intéressante pour aborder l'argent, la pauvreté et les malheurs qui font tomber les hommes dans la folie : le matérialisme, la cupidité, la jalousie,... C'est très court, un peu indigeste parfois mais ça reste intéressant et à lire. On tire des leçons importantes qui font réfléchir et qui sont cruellement modernes.
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Kino est pêcheur de perle. Il vit dans une maison modeste dont le sol est en terre battue. Son épouse est Juana. Ils ont un bébé qui s'est fait piqué par un scorpion. le bébé à de la fièvre, son visage est bouffi, il faut le faire voir par un docteur. Celui-ci n'est pas pressé de venir pour des pauvres gens. Lors d'un premier contact avec le domestique du docteur, Kino pour payer présente de petites perles et le docteur ne se montre pas intéressé à intervenir. Alors Kino s'en va pécher d'autres perles et en trouve une grosse comme un oeuf de mouette la plus grosse du monde. de cette pêche tout le village est au courant depuis les huttes sur la grève jusqu'au village en ciment où habitent les riches. Tous convoitent sa perle, plein de projets dans la tête. A tous ceux-là Kino fait obstacle. Autant le docteur était désintéressé de soigné l'enfant, à présent, il dit pouvoir soigner l'enfant mais il se fait qu'entre-temps le mal de l'enfant a disparu.

Kino était dans le rêve, il pourrait acquérir différentes choses – un fusil par exemple et son fils irait à l'école, il saurait lire et cela lui serait profitable ;

La perle on a voulu la lui voler. Avec le souci que lui cause la perle Juana est d'avis à la détruire ou la jeter au fond de la mer. Kino n'est pas de cet avis, il décide de la vendre mais les acheteurs pour leur propre bénéfice cherchaient à en donner le moins d'argent possible. Alors, Kino voulu aller loin de chez lui à la capitale pour en avoir un bon prix.

En convoitant la perle un homme attaque Kino dans le noir et Kino cherchant à se défendre le tue avec son couteau. Il sera poursuivi, il lui reste à partir mais il constate que l'on a brûlé sa maison et troué le fond de son bateau. Il part avec Juana et l'enfant et prend la précaution de dissimuler les traces de son passage. Il arrive à tuer ses trois poursuivants.

Steinbeck nous montre que posséder attise de la convoitise, de la jalousie, une soif d'appropriation et que l'homme qui possède peut-être en péril.

Faut-il chercher le bonheur hors de l'argent ? Oui, mais nous savons que l'argent est indispensable.

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