Le Manoir des glaces

Je remercie #NetGalleyFrance et les Éditions du Seuil / Cadre Noir pour m'avoir permis de découvrir #LeManoirdesglaces de Camilla Sten.

Victoria Eleanor, orpheline, souffre de prosopagnosie : elle ne reconnait pas les visages... Lorsqu'elle croise l'assassin de sa grand-mère, Viviane, quelques minutes avant la mort de la vieille, elle est incapable d'en fournir un portrait à la police. Quelques mois plus tard, son cabinet d'avocats lui envoie Rickard, pour l'aider à faire l'inventaire du manoir secret que Viviane lui a légué. Eleanor se rend au domaine de Haut Soleil en compagnie de son conjoint, Sebastian, et de sa tante, Veronika, pour découvrir le manoir qui recèle tant de mystères.
L'autrice nous projette ensuite en 1965. A travers le récit d'Anushka, cousine servante de Viviane, nous tentons de découvrir en même temps qu'Eleanor les terribles événements qui ont conduit Evert, le grand-père d'Eleanor à y mourir et ce qui a incité Viviane à quitter le domaine pour toujours et à le dissimuler à sa petite-fille. Qu'est ce qui a pu rendre Viviane aussi méchante, versatile, énigmatique, incapable d'amour pour sa descendance ?

J'ai aimé ce roman d'ambiance qui mêle thriller, saga familiale et enquête. le huis-clos contemporain et les secrets qui entourent le manoir m'ont autant intéressée que l'intrigue démarrant en 1965. Les mystères sont aussi épais que la neige qui emprisonne les quatre personnages dans le manoir pour quelques heures. Je me suis rapidement attachée aux deux héroïnes principales, Eleanor et Anushka, torturées, courageuses et mystérieuses. le charisme de la méchante Viviane me laissera un souvenir doux-amer.
Le style est fluide, imagé, presque scénaristique. Les courts chapitres s'enchaînent rapidement et l'alternance entre le récit d'Eleanor et celui d'Anushka rend le rythme haletant, parfaitement maîtrisé. Lu en quelques jours seulement, j'ai passé un agréablement moment de lecture, entre le blanc aveuglant de la neige et la noirceur de l'âme humaine.

#LeManoirdesglaces #NetGalleyFrance

Eleanor en se rendant chez sa grand-mère qui l'a élevée, trouve celle-ci assassinée, baignant dans son sang, le meurtrier s'enfuit à son arrivée , mais Eleonor atteinte de prosopagnosie ne peut l'identifier.
Elle apprend par le notaire qu'elle hérite d'un imposant manoir isolé dans la campagne suédoise dont elle n'avait jamais entendu parler. Elle décide d'aller voir sur place son héritage avec son fiancé sa tante et un avocat.
Elle va être confrontée à de lourds secrets de famille qu'elle ne soupçonnait pas .Une atmosphère lourde pèse sur le manoir qui va très vite se transformer en cauchemar le régisseur est introuvable,un meurtrier rode sur le manoir et agresse nos visiteurs, de plus, une panne d'électricité,des pannes de voiture, un froid glaciale tout va compliquer la fuite d'Eleanor et des siens.
Le roman articulé en deux temporalités nous permet des aller-retours entre présent et passé et peu à peu les pièces du puzzle s'imbriquent les unes dans les autres et cela permet au lecteur de comprendre cette histoire un peu ténue au départ. . Un roman stressant et haletant qui livre peu à peu ses secrets .
Je tiens à remercier Babelio et les éditions Seuil qui m'ont envoyé ce roman dans le cadre d'une masse critique privilégiée.

Merci à Babelio et aux éditions Seuil pour l'envoi de ce livre.
Cela m'arrive rarement, mais ma critique n'est pas positive pour cet ouvrage : trop de situations clichés et faciles dans ce huis-clos : un personnage va seul dans une cave, on sait d'avance qu'il va lui arriver quelque chose. Des lumières qui s'éteignent pile au moment adéquat. La trouvaille de cette maladie qui empêche de reconnaître les visages est une aubaine pour un auteur de polars, etc.
Les personnages ne sont pas attachants. La narratrice Eleanor est traumatisée par la mort de sa grand-mère Viviane, certes, mais elle cumule les comportements inappropriés, limite stupides. Quant aux autres personnages, ils sont inconsistants. Seule, l'ombre malsaine de Viviane plane efficacement sur l'ensemble de l'histoire.
Quant aux tours de passe-passe des personnages du passé qui reprennent vie sous d'autres noms au présent, j'ai trouvé ça un peu trop tarabiscoté et pas très crédible.
Bref, je ne suis pas entrée dans l'intrigue, d'autant plus que l'écriture ne m'a pas convaincue non plus. Cela vient-il de la traduction ? Des deux je pense.
Je lis beaucoup dans toutes sortes de genres et je sais ce qu'est un bon livre qui vous embarque. Celui-ci m'a laissée de marbre.

Eleanor visite avec son compagnon, sa tante et un avocat, le manoir que lui a légué sa grand-mère assassinée, Vivianne. Un lieu dont il ignorait tout et dans lequel des événements familiaux dramatiques semblent s'être déroulés...

Huis-clos et lourds secrets de famille au programme du second roman de Camilla Sten (la fille de...), après "Le village perdu", lu il y a quelques années. Je dois avouer avoir eu un pas de mal à entrer dans l'histoire, peu intéressé par les différents personnages, un brin froids et caricaturaux. Il faut dire aussi que j'ai un peu bloqué sur la maladie dont souffre Eleanor, la prosopagnosie, c'est à dire le fait de ne pas reconnaître les visages. Je ne ne veux pas dire que j'en nie l'existence, c'est juste que j'ai du mal à concevoir comment cela est possible. Bref, cette perplexité a un peu affecté ma lecture... et puis il y a eu les différents rebondissements, plus ou moins attendus, les révélations prévisibles. Il n'empêche, j'ai trouvé que la fin de l'intrigue relevait plutôt le niveau de l'histoire, dominée par la personnalité de Vivianne.

Un avis au global donc mitigé pour cet ouvrage. Je remercie néanmoins Babelio et les éditions du Seuil de m'avoir adressé celui-ci dans le cadre d'une récente opération masse critique.

Je garde un excellent souvenir du premier roman de l'autrice « le village perdu », c'est pourquoi je n'ai pas hésité une seule seconde lorsque Babelio m'a proposé de recevoir celui-ci au travers de l'opération Masse Critique. de plus, le résumé m'intriguait. J'y percevais déjà l'ambiance angoissante d'un huis clos dans un manoir isolé au milieu d'une tempête de neige !

Eleanor n'aurait jamais imaginé assister au meurtre de sa cruelle mais bien-aimée grand-mère Vivianne. Sur le seuil de l'appartement, elle croise le tueur. Mais atteinte d'une maladie rare, la prosopagnosie, elle ne peut reconnaître les visages.
En état de choc, elle apprend de surcroît que Vivianne lui a légué un manoir isolé dans la forêt suédoise dont elle n'avait jamais entendu parler.
Accompagnée de sa tante Veronika, de son compagnon Sebastian et d'un avocat un peu étrange, Eleanor se rend, angoissée, dans ce lieu inconnu. le manoir dévoile peu à peu ses secrets et semble avoir été le témoin d'un passé terrible. Que cachait Vivianne ? Pourquoi n'avoir jamais mentionné l'existence de cette bâtisse ?
Beaucoup d'interrogations et si peu de temps, car le blizzard se lève et l'ombre des bois pénètre dans le domaine de Haut Soleil.
Beaucoup d'interrogations et si peu de temps, car le blizzard se lève et l'ombre des bois pénètre dans le domaine de Haut Soleil. Commence alors un huis clos pour le moins glaçant...

Secrets de famille enfouis, alternance entre passé et présent, le schéma est plutôt classique certes, mais cela peut parfaitement fonctionner si les personnages sont attachants, la tension palpable et le dénouement surprenant.

Si j'ai dévoré la deuxième partie du roman, je ne peux pas en dire autant de la première. J'ai eu des difficultés à entrer dans l'histoire et à trouver les personnages crédibles. Heureusement, le dernier tiers est plus rythmé et apporte son lot de surprises.

Une lecture en demi-teinte pour moi. Pas mauvais, mais pas non plus le livre de l'année. Beaucoup de longueurs et des personnages lisses en font un ouvrage un peu trop fade à mon goût.
Attention, je dis bien à mon goût !
En revanche, ça se lit bien même si ça ne fait pas mal à la tête.

Un roman qui se tente pour les vacances d'hiver, sous un plaid au coin du feu. Vous devriez pouvoir le poser quelques jours et vous y replonger sans perdre le fil.
Lien : https://livrite.fr/le-manoir..

Malheureusement je ressors complètement perdue de cette lecture. L'alternance entre le passé et le présent donne un côté très mystérieux au roman. Cependant, je trouve qu'on s'y perd assez vite dès le départ.

J'avais adoré son roman le Village Perdu, que je conseille très fortement. Mais celui-ci ne m'a pas emballée. Il m'a manqué ce petit plus qui m'avait autant tenue en haleine lors de ma lecture du Village Perdu.

Je tiens à souligner le fait que la fin aide à comprendre tout ce mystère. Mais j'ai eu du mal à tourner les pages. Il m'a manqué du suspense. de plus, le fait de me perdre dès le début dans l'histoire n'a pas facilité ma lecture.

Eleanor, une jeune fille, souffre de prosopagnosie. Lorsqu'elle découvre le corps de sa grand mère Viviane et qu'elle croise son meurtrier, elle ne parvient pas à l'identifier car sa pathologie l'empêche de reconnaître les visages. Et si elle côtoyait l'assassin de Viviane sans le savoir?
Sa grand mère lui a légué un manoir isolé dans la forêt suédoise… et même si les lieux sont anxiogènes, elle décide de s'y rendre accompagnée de sa tante et son compagnon.
Quels secrets enfouis cette maison va t'elle révéler?

J'ai apprécié ce huis clos, tous les ingrédients du frisson sont réunis, le manoir isolé, le froid, la nuit, la route coupée bref… et pourtant il m'a manqué quelque chose…. du rythme… du suspense… de la tension… je m'attendais à ce que l'autrice exploite le trouble neurologique de son personnage mais non c'est très dommage…
Un bon thriller toutefois avec lequel j'ai passé un agréable moment..

Merci à #netgalleyfrance et #editionsseuil pour cette découverte.

📖 Eléanor a un trouble ne lui permettant pas de reconnaître le visage des gens : la prosopagnosie. Aussi, quand elle croise l'assassin de sa grand-mère, 2 secondes après son meurtre, elle ne peut l'identifier.
Lorsqu'elle se rend dans une ancienne propriété de sa grand-mère pour l'estimation de l'héritage, elle découvre petit à petit le passé troublant de cette dernière...

👍🏻 J'ai aimé ce côté troublant des personnages : on ne sait pas d'où viennent les traumatismes d'Eléanor et pourquoi elle est sujette aux hallucinations, on découvre 2 visages très différents de sa grand-mère entre le portrait qu'elle en fait et les chapitres relatant le passé, ... Tout cela est assez déstabilisant et l'on ne sait plus vraiment où est la réalité...

👎🏻 J'ai eu du mal à m'attacher aux personnages (Eléanor, Anushka, Sébastian) et du coup, je pense être passée à côté d'une partie du roman car je n'étais pas très inquiète pour eux 😅

🤔 Etant moi-même atteinte de prosopagnosie, je ne sais pas trop quoi penser de la description qu'en fait le roman. Les autres lecteurs la jugeront-ils crédible ? J'ai du mal avec cette définition qu'en fait Google et ce roman : les visages des gens ne sont pas vides et blancs. Cela reste des visages d'humains, plein d'expressions, que nous avons l'impression de ne pas connaitre ou au contraire de reconnaître à tort.

⏩️ L'histoire devient prenante à partir de la 2ème partie.
Pour moi, le côté thriller n'est pas très palpitant mais l'intrigue et le mystère qui entourent ce manoir sont bien présents !
A lire de préférence en hiver, pour rentrer dans l'ambiance 😊

Merci aux éditions du Seuil et à NetGalley

#bouquiner #litterature #lire #lectrice #livreaddict #bibliophile #netgalleyfrance #lemanoirdesglaces

Huis clos dans une résidence à la campagne en plein hiver. Une petite fille, une fille, un copain et un avocat se retrouvent à la campagne dans un manoir en plein hiver après le décès de la grand-mère pour régler les détails de la succession.
Eleanor, la petite fille, n'avait jamais entendu parler de ce manoir avant le décès de sa grand-mère. Grand-mère autoritaire qui s'est fait assassinée sous ses yeux il y a quelques mois. Mais Eleanor souffre de prosopagnosie, un trouble de reconnaissance des visages. Elle a vu le meurtrier mais est incapable de se souvenir de son visage.
Elle sent que la demeure renferme des secrets bien gardés et que sa tante et l'avocat lui cachent aussi des choses…

Huis clos qui fonctionne bien, avec des chapitres alternant le passé et le présent. Il fallait penser au témoin souffrant de cette maladie qui l'empêche de se souvenir des visages des personnes. L'idée est bonne.
Un bon moment.

Même si j'ai passé un bon moment en lisant ce huis clos, j'ai été moins emballée que lors de son précédent. Je n'ai pas trouvé qu'i lassez intense au niveau de l'angoisse alors qu'il y avait matière: un manoir isolé au milieu de la forêt, pendant une tempête de neige, 4 personnages et des bruits étranges… Voilà, sur le papier, il y a tout mais en fait, ça reste « mignonnet ».

Ce n'est pas un roman qui fera monté la pression, qui vous fera sursauter aux moindres bruits bizarres, on le lit et c'est tout.

C'est dommage car j'ai bien l'idée de ce personnage centrale incapable de reconnaitre un visage, j'ai bien aimé les retours en arrière mais finalement, croyez moi, on devine facilement certaines choses qui sont logiques, pas toutes, heureusement mais pas mal quand même.

Les personnages m'ont laissé un peu de marbre également, Eleanor n'est pas forcément un personnage qui m'a attirée, pour pas se mentir, elle est même franchement ch….e, toujours à geindre, à râler après son copain, une ado en puissance, bon en fait, elle m'a gonflée. Anushka est un personnage pour lequel on a au début de l'empathie puis finalement, plus rien, elle perd son visage (un parallèle à faire avec Eleanor qui ne les distingue pas peut être….) .

Bon, c'est une lecture qui fait passer le temps mais qui ne m'a pas enthousiasmée plus que ça.
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