T'as envie de te balader dans Londres en 1819 ?
Viens, je t'emmène, comme disait la chanteuse, tu sais, la blonde qui mangeait des sucettes.
Pourquoi 1819… Parce que.
1819, c'est l'année où Edgar Allan Poe, tu sais le mec qu'a écrit des histoires de chat, entre autres, a passé quelque temps à Londres.
Quand je dis des histoires de chat, je déconne.
Oublie pas que ce Monsieur, c'est lui a donné ses lettres de noblesse à la nouvelle, grâce à, je vais t'apprendre quelque chose, sa théorie de l'effet.
Cherche, tu trouveras. Si je t'apprends rien, c'est que t'es vachement pointu en littérature.
C'est aussi l'inventeur du roman policier, du fantastique… tu vois le truc ?
Un Monsieur.
Bon.
Dans ce roman, quasiment gothique, Edgar Allan Poe n'a pas réellement une place prépondérante. Il n'est qu'un personnage parmi d'autres.
C'est un texte long, et c'est rare aujourd'hui. Tu vas suivre les gens durant 650 pages.
Moi qui râle tout le temps parce que j'en ai pas pour mon argent, là, j'avoue avoir été servi.
L'auteur, puisqu'il s'agit d'un journal, c'est Thomas Shield. Me demande pas s'il a existé, j'en sais rien, et on s'en fout. C'est le précepteur de Charlie Frant et d'Edgar Allan Poe.
Jusque-là, rien de transcendant, tu vas me dire.
C'est vrai.
La suite de ma chronique, sur mon blog...
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